Les saints Anges gardiens

L'Association de Lyon


« Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux. »
(Mt 18, 10)





  Les premiers articles de la revue "L'Ange Gardien"




1900
N°9 - Janvier
N°10 - Février
N°11 - Mars
N°1 - Mai
N°3 - Juillet
N°4 - Août
N°5 - Septembre
N°6 - Octobre
N°7 - Novembre
La Croix miraculeuse de Caravaca
L'Ange gardien de sainte Françoise romaine
Vision du bienheureux Evagrius
La sainte Ombre
Les Anges et les martyrs de Sébaste
L'Ange du pieux paysan
Vision de saint Isidore et de saint Moïse
Bienheureuse Marie d'Oignies et son Ange gardien
La Mère Denise de Martignat

Voir également : 1891 - 1892 - 1893 - 1894 - 1895 - 1896 - 1897 - 1898 - 1899 - 1900 - 1901 - 1902 - 1903 - 1904


  La Croix miraculeuse de Caravaca

Au milieu du XIII° siècle, un vénérable prêtre espagnol appelé Jean Pérez, prisonnier des mahométans du royaume de Murcie, fut traîné devant l'émir Zeit-Abulet.
- Qui es-tu ? demanda l'Emir.
- Je suis chrétien et prêtre, répondit l'intrépide captif.
- Qu'est-ce que les prêtres chez les chrétiens, reprend Abulet, quel est son pouvoir, quelle est son autorité ?
- Le prêtre du vrai Dieu, dit alors Pérez, remplit un ministère sublime : son pouvoir surpasse celui des plus grands potentats ; il peut, au moyen de quelques paroles, changer le pain en corps du Roi du ciel et de la terre, et le vin en son sang.
- Pure forfanterie ! chose impossible ! répétaient le roi et ceux qui l'entouraient. Eh bien ! obligeons cet homme à nous montrer ce dont il se vante.
- Soit ! dit Pérez, après quelques minutes de recueillement. Envoyez donc un messager à Cuenta, afin qu'il apporte les vêtements sacerdotaux, les vases sacrés, et d'autres objets qui me sont indispensables pour offrir le sacrifice ; dés son retour, vos désirs seront satisfaits. »

Le messager est dépêché sur-le-champ, et, le jour de la Sainte-Croix, le prêtre se disposait à tenir sa promesse et se présentait devant l'autel élevé pour la circonstance, quand il s'aperçoit qu'il y manque l'image du Sauveur sur la croix.
Cette découverte le plonge dans une vive anxiété. Doit-il, malgré cela, commencer la messe ? Son hésitation ne fut pas de longue durée. Alors, dit l'historien sacré, « deux Anges, à la vue du roi et de sa cour, entrèrent par la fenêtre de la tour où tout le monde était assemblé, se dirigèrent vers l'autel, et remirent entre les mains du prêtre une fort belle croix, en le prévenant qu'elle contenait une parcelle du bois sur lequel le Sauveur fut crucifié, présent de Robert, patriarche de Jérusalem. »
Dès lors, le prêtre parut à l'émir plus qu'un homme, et lorsque le célébrant prononça les paroles de la Consécration, Zeit vit dans l'hostie un très bel enfant environné de rayons de lumière. Après la messe, le roi et les grands de sa cour voulurent être instruits des vérités de notre sainte religion, et, peu de temps agrès, ils reçurent le baptême avec une grande partie du peuple.
La croix merveilleuse apportée par les Anges est, encore de nos jours, entourée d'une grande vénération en Espagne, où elle est connue sous le nom de croix de Caravaca.

L'Ange Gardien n°9 - Janvier 1900 (p.296)


  L'Ange gardien de sainte Françoise romaine

Voici un trait admirable emprunté à la vie de sainte Françoise romaine.
Un an après la mort de son fils, elle le vit au milieu d'une grande lumière, en compagnie d'un Ange. « Mère, dit l'enfant, je suis parmi les esprits du deuxième choeur de la première hiérarchie angélique, comme celui que vous voyez ici, plus resplendissant que moi, et qui occupe dans le même choeur un rang plus élevé. Dieu vous l'envoie pour vous conduire le reste de votre vie. »
A ces mots, la vision disparut ; l'Ange seul resta auprès de la bienheureuse. L'irradiation de la lumière qu'il projetait était telle que la servante de Dieu ne put jamais le regarder en face. « Quand je voulais, dit-elle, le fixer un instant, il m'arrivait comme à celui qui arrête ses regards sur le soleil en plein midi. »
L'Ange se tenait constamment à sa droite. Elle voyait en lui, ainsi que dans un brillant miroir, et la pureté de la nature angélique et sa propre indignité. L'Ange l'accompagnait partout, dans son oratoire, dans les rues, dans les églises. Si quelqu'un se rendait coupable d'un péché en présence de la sainte, l'esprit céleste se voilait aussitôt la face. Arrivait-il, que surchargée par les soins domestiques, ou importunée par les personnes qui venaient la voir, elle s'impatientât ou tombât dans quelque défaut, aussitôt l'Ange disparaissait jusqu'à ce qu'elle se fût humiliée et repentie.
L'Ange continua ainsi jusqu'à ce que la sainte consentît de vivre, s'il le fallait, au milieu des plus grands embarras jusqu'à sa mort. Dès lors, l'Ange lui révélait de temps en temps les secrets divins. Françoise voyait plus distinctement son céleste compagnon, lorsqu'elle priait, était tentée, ou parlait à son confesseur. L'Ange pria avec elle tout le reste de sa vie. A l'heure de la mort de la sainte, il parut redoubler de ferveur; il chantait les louanges de Dieu avec une joie incomparable, et se réjouissait d'avance de pouvoir présenter à Dieu cette âme si pleine de mérites.

L'Ange Gardien n°10 - Février 1900 (p.330)


  Vision du bienheureux Evagrius

Le bienheureux Evagrius, abbé, eut un jour une extase pendant laquelle son Ange gardien, le transportant dans le ciel, lui fit voir tous les choeurs angéliques, l'ordre admirable des hiérarchies célestes, ainsi que les glorieuses fonctions qu'elles remplissent auprès de la Majesté divine. Il fut surtout frappé d'admiration à la vue de l'amour dont brillaient éternellement les Séraphins pour Dieu dont ils contemplent sans voile les perfections et la gloire.
Cette vision lui inspira un si ardent désir de ressentir quelques-unes de ces saintes ardeurs, qu'il ne cessait de demander cette grâce au Seigneur. Ses prières furent exaucées, car, un jour, pendant qu'il suppliait Dieu de lui accorder cette faveur, son Ange gardien lui apparut, et, après avoir rempli son âme d'ineffables consolations, il lui dit : « Vous avez obtenu la grâce que vous demandiez si ardemment ; vous serez consumé du même amour dont brûlent les Séraphins ; mais pour conserver soigneusement cet amour en vous-même, éloignez-vous de tous les plaisirs du monde, car ils sont comme une eau qui éteindrait promptement ce feu divin. »
A ces paroles de l'Ange, le saint se sentit tout rempli de l'amour de Dieu et du désir des biens éternels. Afin d'éviter les occasions de perdre son précieux trésor, il se retira dans un désert, où, continuellement plongé dans l'amoureuse contemplation de 1'éternelle Beauté, il vécut plutôt de la vie des Anges que de celle de l'homme, commençant sur la terre cette vie d'amour qu'il alla un peu plus tard continuer dans le ciel.

L'Ange Gardien n°11 - Mars 1900 (p.365)


  La sainte Ombre

Il y avait, il y a longtemps, dit la légende, un saint si bon que les Anges étonnés descendaient tout exprès du ciel pour voir comment, sur la terre, on peut ressembler tant au bon Dieu.
Et lui s'en allait simplement dans la vie, répandant la vertu comme l'étoile répand la lumière, comme la fleur répand le parfum, sans jamais s'en apercevoir.
Deux mots résumaient chacun de ses jours : il donnait, il donnait, il pardonnait, et ces deux mots ne sortaient jamais de sa bouche, mais ils se traduisaient dans son sourire, dans son amabilité, dans sa condescendance, dans sa charité de toutes les heures.
Et les Anges dirent au bon Dieu : « Seigneur, accordez-lui le don des miracles. »
Et Dieu répondit : « Je le veux bien ; demandez-lui ce qu'il veut. »
Et les Anges dirent au saint : « Voulez-vous que vos mains, en touchant les malades, leur rendent la santé ?
- Non, dit le saint, j'aime mieux que le bon Dieu le fasse tout seul.
- Voulez-vous que votre parole convertisse les âmes coupables et ramène au bon chemin les coeurs qui s'égarent ?
- Non, c'est la mission des Anges, ce n'est pas celle d'une pauvre créature ; je prie, je ne convertis pas.
- Voulez-vous devenir un modèle de patience, attirant à vous par l'éclat de vos vertus et faisant ainsi glorifier le bon Dieu ?
- Non répondit le saint ; si ou s'attachait à moi, on se détacherait de Dieu. Le bon Dieu a bien d'autres moyens de se faire glorifier.
- Mais enfin, dirent les Anges, que voulez-vous ? »
Et le saint, souriant, disait : « Que puis-je vouloir ? Que Dieu me laisse sa grâce ! Avec elle n'ai-je pas tout ? »
Et les Anges insistant : « Il faut pourtant que vous nous demandiez un miracle ou nous vous en imposons un de force.
- Eh bien ! dit le saint, que je fasse beaucoup de bien sans le savoir jamais.

Les Anges, embarrassés, tinrent longtemps conseil puis s'arrêtèrent à cette pensée : chaque fois que l'ombre du saint se projettera derrière lui, ou à ses côtés, de manière qu'il ne puisse 1'apercevoir, cette ombre aura le privilège de guérir les malades, de soulager les douleurs, de consoler les tristesses.
Et cela fut ainsi. Quand le saint marchait, son ombre, se dessinant à ses côtés ou derrière lui, reverdissait les chemins arides, fleurissait les plantes flétries, rendait l'eau limpide aux ruisseaux desséchés, aux petits enfants pâles les fraîches couleurs, aux mères en larmes la douce joie.
Et le saint s'en allait simplement dans la vie, répandant la vertu comme l'étoile répand la lumière, comme la fleur répand le parfum, s'en jamais sans apercevoir.
Et les peuples, respectant sa modestie, le suivant silencieux, ne lui parlant jamais de ses miracles, et peu à peu, oubliant jusqu'à son nom, ne l'appelèrent plus que la sainte Ombre.

L'Ange Gardien n°1 - Mai 1900 (pp.6-7)


  Les Anges et les martyrs de Sébaste

Il y avait à Sébaste, en Arménie, une légion de soldats, surnommée la Fulminante, à cause de son ardeur guerrière, de son impétuosité dans les combats. Or, en 320, sous l'empereur Licinius, cette légion, en partie composée de soldats chrétiens, donna à l'Eglise quarante illustres martyrs, tous jeunes gens forts et courageux.
On leur proposa de sacrifier aux idoles, et, sur leur refus énergique, le gouverneur Agricola ordonna de les exposer, durant une nuit, sur un étang glacé, hors de la ville de Sébaste, afin de les faire mourir par la rigueur du froid. Pour les tenter, il fit préparer un bain chaud tout à côté, pour y transporter ceux qui, succombant à la violence du tourment, voudraient renier Jésus-Christ.
Un de ces soldats, perdant courage, alla se jeter dans le bain ; mais il mourut aussitôt y être entré. Un garde païen qui se trouvait là pour observer les martyrs, vit des Anges descendre du ciel, et distribuer des couronnes et des palmes célestes à tous ces généreux soldats excepté à celui qui avait manqué de persévérance. Ce garde, converti par cette vision, se déclara chrétien, prit la place du déserteur, et reçut le baptême par sa propre foi et dans son propre sang.

L'Ange Gardien n°3 - Juillet 1900 (pp.78-79)


  L'Ange du pieux paysan

Un paysan avait pris, dès son enfance, la pieuse habitude d'assister tous les jours au saint sacrifice de la messe, et l'avait conservée jusqu'à un âge avancé. Dés qu'il entendait la cloche du village sonner la messe, il quittait ses occupations, même aux champs, pour aller à l'église.
Un jour, cheminant péniblement dans un sentier rendu impraticable par le mauvais temps, il se dit : « Me voilà un vieillard ; je ne puis plus faire comme dans ma jeunesse ; je dois désormais renoncer aux longues courses. Lorsque je serai aux champs, je n'irai pas à la messe et me contenterai de m'unir d'esprit à ceux qui auront le bonheur d'y assister. »
Tout à coup, il voit, à quelques pas derrière lui, un jeune homme d'une beauté merveilleuse, portant des roses fraîchement épanouies. Ne doutant pas que ce ne soit une vision céleste, le paysan tombe a genoux.
- Je suis ton Ange gardien, dit le jeune homme. Dieu m'a ordonné de te suivre chaque fois que tu quittes les champs pour te rendre à la sainte messe. Sous chacun de tes pas, s'épanouit une rose que je recueille ; voici celles que j'ai déjà trouvées aujourd'hui sur ton chemin ; je dois les porter au ciel. Si tu persévères d'aller tous les jours à la messe, je te couronnerai de roses à l'heure de ta mort, et j'ornerai de ces fleurs ton trône céleste. »
L'Ange disparut. Le vieillard, les yeux pleins de larmes, baisa la place où il avait vu son bon Ange, bénissant Dieu de cette insigne faveur. La beauté de l'Ange, le parfum des roses, en un mot, cette vision avait ravi son esprit et son cœur. Il mourut peu de temps après, plus consumé par le désir du ciel que par la maladie.
Nous ne saurions trop comprendre ni apprécier tous les mérites que nous avons, toutes les grâces que nous pouvons obtenir, en assistant dévotement au saint sacrifice de la messe.

L'Ange Gardien n°4 - Août 1900 (pp.114-115)


  Vision de saint Isidore et de saint Moïse

Saint Isidore, ermite, reçut un jour dans sa cellule la visite du saint abbé Moïse qui venait lui demander ses avis, aide et consolation au milieu des tentations incessantes dont il était assailli. L'ermite le conduisit sur une montagne voisine, du haut de laquelle il lui montra, du côté de l'Occident, une armée de démons rangés en bataille et s'animant mutuellement au combat qu'ils se disposaient à livrer aux hommes. Se tournant ensuite du côté de l'Orient, les deux saints virent des légions d'esprits célestes, tout éclatants de lumière, et infiniment plus nombreuses que celles des mauvais esprits. « Vous avez vu, dit saint Isidore à son compagnon, les ennemis qui attaquent les serviteurs de Dieu ; voyez maintenant combien leurs défenseurs les surpassent en nombre, en force et en vaillance ».
Ce spectacle remplit d'un nouveau courage et d'une inébranlable confiance le saint abbé Moïse dans les nombreux assauts qu'il eut encore à soutenir contre les démons.
Au moment de la tentation, invoquons avec confiance les saints Anges, et demandons-leur de nous secourir et de nous protéger.

L'Ange Gardien n°5 - Septembre 1900 (p.152)


  Bienheureuse Marie d'Oignies et son Ange gardien

La bienheureuse Marie d'Oignies eut avec son Ange gardien des rapports si fréquents et si intimes, qu'elle dépendait de lui en toutes choses, et se laissait conduire avec une entière confiance par les sages avis de ce guide aussi prudent qu'éclairé.
L'Ange l'avertissait lorsque l'heure de son repos était arrivée, l'éveillait lui-même à l'heure convenable, et la conduisait ensuite à l'église.
Pendant les hivers les plus rigoureux, son céleste Gardien la préservait des atteintes du froid, en remplissant son cœur de si vives ardeurs de l'amour divin, qu'elles se communiquaient même à son corps. Une grande partie des nuits, elle entendait le chant d'une multitude d'Anges qui venaient se joindre au sien pour louer Dieu, la réjouissant et l'associant ainsi à leurs célestes concerts. Enfin, elle rendit son âme très pure entre les mains des Anges qui l'avaient servie et assistée jusqu'à ses derniers moments. Elle eut la consolation de voir ces bienheureux esprits accorder la même faveur à son directeur qui la précéda de quelques jours au ciel.

L'Ange Gardien n°6 - Octobre 1900 (pp.187-188)


  La Mère Denise de Martignat

La vénérable Mère Marie-Denise de Martignat, dont toute la vie religieuse a été une suite continuelle de sacrifices offerts à Dieu pour le soulagement des âmes du purgatoire, avait des rapports très fréquents avec ces pauvres âmes, par l'intermédiaire des esprits célestes.
Un jour, méditant sur ces paroles de Notre-Seigneur : « Amassez-vous des trésors dans le ciel » elle comprit que, pour faire ce commerce de la terre au ciel, il faut que l'âme, emprisonnée dans le corps, ait quelque correspondant dans la cité de Dieu. « Les saints Anges, pensa-t-elle, sont les dépositaires de nos vœux, de nos prières, de nos bonnes œuvres, et ils nous apportent du ciel les lumières, les bonnes inspirations. »
Cette pensée lui fit faire un pacte avec son céleste Gardien, et par lui elle entretint un commerce admirable avec les saintes âmes qui souffrent au purgatoire.
« Cette communication merveilleuse était si évidente, dit son biographe, que souvent la Mère Denise avait le sentiment de la présence de leurs bons Anges qui lui découvraient les besoins de ces âmes, et l'excitaient à ce qu'elle devait faire auprès de Dieu pour obtenir leur délivrance. »

L'Ange Gardien n°7 - Novembre 1900 (pp.223-224)


Depuis 1891, la revue "L'Ange Gardien" créée et dirigée par les Clercs de Saint-Viateur, fait connaître et aimer tous les saints Anges.
Spécimen gratuit sur demande :
L'Ange Gardien - 21, Montée St-Laurent - 69005 Lyon - France
ou par notre boîte aux lettres, sans oublier d'indiquer votre adresse postale pour l'envoi.



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L. Laurand : Les Anges gardiens
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