Les saints Anges gardiens

L'Association de Lyon


« Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux. »
(Mt 18, 10)





  Les premiers articles de la revue "L'Ange Gardien"




1892
N°6 - Octobre
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Saints Anges gardiens
Ange gardien d'un petit enfant
Saint Viateur - Fête le 21 Octobre

Voir également : 1891 - 1892 - 1893 - 1894 - 1895 - 1896 - 1897 - 1898 - 1899 - 1900 - 1901 - 1902 - 1903 - 1904


  Saints Anges gardiens

Le mois d'octobre a reçu de l'Eglise une double consécration : il est dédié à la Très Sainte Vierge sous le vocable de Notre-Dame du Saint-Rosaire, et aux saints Anges qui veillent sur nos destinées, et que Dieu a établis nos protecteurs.

Chaque homme a son Ange gardien. " Chose admirable ! dit saint Jean Chrysostome, le petit enfant qui vient de naître sous la chaumière du berger a son Ange, aussi bien que le plus puissant monarque. Toute âme rachetée par le sang de Jésus-Christ a droit à être gardée par un de ces esprits célestes. Le Créateur leur a dit : Vous veillerez sur les jours de l'homme ; vous le prendrez sous votre aile dans son berceau ; dans les mauvais chemins de la vie vous le porterez, pour que son pied ne heurte point contre la pierre ; vous garderez sa fragile nacelle, afin qu'il franchisse sans crainte de naufrage tous les écueils ; vous serez à côté de lui dans les batailles, pour détourner les traits qui le menacent, à côté de sa couche pour en écarter le démon qui rôde comme un loup cherchant sa proie à dévorer. "

Fidèle à sa mission divine, l'Ange gardien ne s'éloigne jamais de l'âme que le Seigneur lui a confiée ; jamais il ne la délaisse ; il a pour elle l'amour le plus tendre, le zèle le plus pur, le dévouement le plus constant.

Notre indifférence, notre ingratitude, nos fautes même ne le découragent pas ; elles lui inspirent une nouvelle ardeur pour nous aider à nous rapprocher de Dieu.

Il veille sur notre enfance, sur les années orageuses de notre jeunesse, sur notre âge mûr et sur notre débile vieillesse. Enfin, nous le retrouverons à notre lit de mort, veillant encore sur nos derniers moments pour nous rassurer, et combattre le démon qui voudrait, à cette heure décisive, s'emparer de notre âme ; pour nous inspirer des sentiments de repentir de nos fautes, d'amour de Dieu, de confiance en sa miséricorde, et pour recevoir notre âme à sa sortie de ce monde, afin de la présenter lui-même au tribunal du souverain Juge.

Remercions Dieu du bienfait qu'il nous a accordé, en nous donnant un de ses Anges pour nous garder et nous conduire, et ayons une grande dévotion à notre Ange gardien.

L'Ange Gardien n°6, octobre 1892 (pp.162-164)


  Ange gardien d'un petit enfant

C'est surtout pendant notre enfance que nos célestes Gardiens redoublent leurs soins pour nous préserver des nombreux accidents auxquels cet âge est sujet.

Voici le fait qu'a raconté une mère chrétienne et digne de foi :

" Chaque jour, je recommande à Dieu et aux saints Anges ma nombreuse famille. Une nuit, je suis réveillée par ces paroles très distinctement prononcées : Lève-toi. Je regarde autour de moi… tout est tranquille, je crois avoir rêvé, je me rendors. Une seconde fois, une voix plus impérative réitère l'avertissement : Lève-toi.

Alors je me décide, je fais le tour de ma chambre, et quel n'est pas mon effroi, et tout ensemble ma reconnaissance, quand j'aperçois le plus jeune de mes enfants, âgé seulement de vingt-deux mois, tombé de son berceau et tellement emmailloté dans ses couvertures, qu'il étouffait, sans pouvoir ni se débarrasser, ni pousser un cri !

Je le délivre, je le remets dans son berceau, l'embrassant comme un ressuscité, et remerciant son bon Ange et le mien, intimement persuadée de leur entremise dans ce fait si providentiel. "

L'Ange Gardien n°6, octobre 1892 (pp.164-165)



Saint Viateur


  Saint Viateur - Fête le 21 Octobre

Saint Viateur, disciple de saint Just, évêque de Lyon, vivait dans la seconde moitié du IV° siècle, époque où la croix venait de sortir victorieusement des catacombes, et où, devant la lumière de l'Evangile, disparaissaient peu à peu les ténèbres du paganisme.

L'Eglise de Lyon, qui avait particulièrement souffert de la rage des persécuteurs, chantait la gloire des martyrs, recueillait pieusement leurs reliques, et puisait dans leur sang, comme dans une rosée céleste, cette foi ardente, cette générosité du cœur qui a toujours caractérisé la Primatiale des Gaules, et que ses enfants manifestent encore avec tant d'éclat. Saint Pothin, saint Irénée, sainte Blandine et leurs compagnons intercèdent toujours auprès de Dieu pour leurs frères de la terre, et leur obtiennent de donner l'exemple des plus admirables vertus.


Enfance de saint Viateur

On ne connaît pas exactement le lieu, ni la date de la naissance de saint Viateur, mais tout porte à croire qu'il appartenait à une de ces premières familles de la cité lyonnaise qui ne craignaient point de confesser la foi, et de se dévouer à la conversion des païens.

On le voit, dès sa plus tendre enfance, autour du sanctuaire, pieux, recueilli, édifiant ses petits condisciples, et aimant surtout à servir le prêtre à l'autel. Comme plus tard saint Louis de Gonzague et saint Stanislas Kostka, c'était une fleur de prédilection qui devait orner l'Eglise, en attendant que le divin Jardinier la cueillît, fraîche et pure, pour le ciel.


Le jeune Clerc

De si précoces vertus attirèrent l'attention de l'évêque saint Just qui proposa à Viateur d'entrer dans la cléricature. C'était aller au devant des pieux désirs de l'enfant qui montrait de si heureuses dispositions, et qui, par goût des choses saintes, passait son temps au service des autels. Aussi, l'appel du pontife fut pour Viateur la voix de Dieu, et il reçut l'ordre de lecteur qui le fit apôtre, car dès lors il enseigna, dans l'Eglise de Lyon, le catéchisme aux enfants, et lut l'Evangile aux fidèles. Son humilité ne visa pas plus haut dans la hiérarchie sacrée.

On ne saurait douter qu'il ne se soit rendu parfait dans les vertus que l'Eglise recommande aux clercs revêtus de cet ordre. Il mit un grand soin à s'instruire de ses obligations, afin de les remplir avec une exacte fidélité. Il lisait avec foi et respect la sainte Ecriture, et sa conduite très pure était un commentaire vivant de la parole divine. Il prêchait par l'exemple, en marchant sans hésiter dans la voie étroite qui mène à la sainteté ; genre de prédication à la portée de tous, et que Dieu rend fécond à proportion de notre humilité.


Prélude d'une destinée nouvelle

Bientôt une autre destinée échut au pieux adolescent, que saint Adon, évêque de Vienne, appelle un très saint jeune homme. Mais avant de le suivre dans cette nouvelle phase de sa vie, il est nécessaire de rappeler un événement qui en fut la cause éloignée.

Dans un accès de frénésie, un homme tua plusieurs personnes à Lyon, et courut ensuite se réfugier dans une église. Le peuple, justement indigné, voulait de vive force l'arracher du lieu saint pour le mettre à mort.

L'évêque saint Just s'opposa à cette violation du droit d'asile attaché aux églises. Mais, voyant la colère de la multitude augmenter, et craignant une émeute, il crut devoir livrer cet homme au gouverneur, après lui avoir fait promettre avec serment de le soustraire à la fureur de la foule.

A peine le meurtrier eut-il les pieds hors de l'église, que le peuple se précipita sur lui, comme une bête féroce, et le mit en pièces.

Ce tragique événement dont il se crut responsable devant Dieu, pénétra le saint évêque d'une très vive douleur. Il prit la résolution d'aller expier cette prétendue faute dans les déserts de l'Egypte, rendez-vous alors très fréquenté de l'innocence et de la pénitence.

Pendant plusieurs années, il médita ce projet, n'attendant qu'une occasion favorable de le mettre à exécution.

En 381, après le concile d'Aquilée, où il assista en qualité de Légat de toutes les Gaules, il crut le moment opportun de fuir dans la solitude.


Départ pour l'exil

Le jeune Viateur, confident de son secret, lui avait promis de le suivre en exil. Les travaux du concile terminés, saint Just revient en Gaule et congédie sa suite, sous prétexte de visiter sa famille, qui résidait à Tournon, mais en réalité pour épargner à son peuple les émotions et les larmes de la séparation. Viateur, averti de le rejoindre à Arles, quitte secrètement Lyon, abandonne ses parents, ses amis, sa vie paisible, renonce aux dignités auxquelles ses talents et ses qualités l'autorisaient à prétendre, et court se jeter aux pieds de son évêque : " Seigneur, vous m'avez appelé, me voici, voici votre fils. "

Dès ce jour, les liens de spirituelle affection qui unissaient les deux saints, devinrent plus intimes et indissolubles. C'était entre eux la véritable amitié, celle dont Dieu est le principe et la fin : d'un côté, la vigilante sollicitude du meilleur des pères ; de l'autre, la docilité et les soins affectueux du plus dévoué des fils.

Le saint vieillard n'attendait que son jeune compagnon pour se mettre en route. Dès que celui-ci l'eut rejoint, ils gagnèrent ensemble Marseille, et s'embarquèrent sur le premier vaisseau qui fit voile vers l'Orient.

On peut supposer que les vents furent plus d'une fois contraires, et la navigation dangereuse ; que passagers et matelots, presque tous païens, se distinguaient par la brutalité des mœurs et du langage.

Quand la mer était en courroux, Viateur priait et s'abandonnait avec confiance à la volonté de Dieu, entre les mains de qui il avait fait le sacrifice de sa vie.

Il priait encore et fermait ses sens au moindre aspect du mal, bénissant Dieu, quand il l'entendait blasphémer, s'excitant à l'aimer davantage en présence de l'aveuglement de ceux qui l'outrageaient. Ses entretiens avec son évêque fortifiaient son courage et soutenaient sa vertu.

La vue de ce vieillard et de cet adolescent, l'un et l'autre si réservés, si dignes, et en même temps si affables, si charitables, commandait le respect. Le vice perd de son audace, il finit par rougir, quand il rencontre une vertu solide qui s'affirme naturellement et sans ostentation.


En Egypte

Arrivés en Egypte, terre jadis bénie par le séjour de l'Enfant Jésus exilé, nos deux saints voyageurs ne s'arrêtèrent pas à satisfaire une vaine curiosité. Que leur importaient les splendeurs de la riche vallée du Nil, ses magnifiques cités, ses immenses nécropoles, ses superbes pyramides, et les mille souvenirs d'un passé depuis longtemps enseveli dans la poussière ? Tout cela c'est l'homme, c'est le monde, c'est la vanité, et ils cherchaient Dieu. Ils le trouvèrent dans les déserts de la Thébaïde.

Où Dieu nous appelle, là, il se découvre à nous. Il se cache, au contraire, lorsque nous obéissons aux caprices d'une volonté déréglée ; nos lumières se changent alors en ténèbres, et nous courons le danger de tomber dans les embûches du démon.


Saint Viateur dans un monastère

Saint Just et son disciple allèrent donc frapper à la porte de l'un des nombreux monastères de la Thébaïde. Le pontife eut soin de cacher son nom et ses titres. Dans son humilité, il se présenta comme un pauvre pécheur venu pour se préparer à bien mourir. Viateur respecta le secret qu'il lui avait promis, et fut son parfait imitateur dans les exercices de la vie contemplative et de la pénitence.

Heureux qui se consacre à Dieu dès la jeunesse ! Viateur, enfant, avait goûté la suavité de cette consécration et les années ne firent que l'affermir au service d'un si bon Maître. A Lyon, il avait été un modèle de candeur et d'innocence ; dans la solitude, cette " arène des forts ", il nous donne l'exemple de toutes les vertus. Il y vécut dans un saint mépris de lui-même, dans l'amour de la pauvreté et de la souffrance. Il mortifia son corps par le jeûne et dompta sa langue par le silence.

La méditation de la parole de Dieu faisait ses chastes délices, et son cœur, détaché de la terre, s'élevait libre vers le ciel, dans une oraison continuelle.

Cependant Just touchait à ses derniers moments. Il avait à ses côtés, avec son fidèle lecteur, un prêtre de Lyon, nommé Antiochus qui, affligé de l'exil de son évêque, ne s'était donné de repos qu'après avoir découvert le lieu de sa retraite, et était devenu son compagnon de solitude.

Comme autrefois Jacob mourant dans ce même pays d'Egypte, saint Just fut saisi de l'esprit prophétique avant de quitter la terre ; au prêtre Antiochus, il annonça qu'il retournerait dans sa patrie et deviendrait évêque de Lyon ; cette prédiction s'accomplit.

Au jeune Viateur, qui le suppliait avec des larmes de ne pas l'abandonner, le saint vieillard répondit : " Ne vous attristez pas, mon fils ; car vous touchez au terme de l'exil et bientôt vous me suivrez dans la céleste patrie. "

Le cœur fortifié par ces paroles, Viateur sécha ses pleurs et rendit pieusement les derniers devoirs à celui qui avait dirigé ses pas dans les voies du salut.

Saint Just exhala son dernier soupir, le 2 septembre. Dès ce jour, la terre parut plus vile que jamais à saint Viateur.


Sa mort

Ses pensées, ses affections, ses désirs étaient tout célestes : l'amour de Dieu le consumait. Bientôt sa constitution succomba et sa belle âme, prématurément riche de mérites, alla recevoir au ciel la couronne des bienheureux. Cet événement arriva le 21 octobre, quelques semaines après le trépas de saint Just, dont la promesse eut ainsi son accomplissement.

Les religieux qui les avaient accueillis l'un et l'autre, apprirent enfin, après la mort du vénérable vieillard, quelle éminente dignité s'était voilée sous une si profonde humilité, et ils conçurent une haute opinion de sa sainteté.

Ils admirèrent aussi la conduite héroïque de Viateur, et, rapprochant de son passé la constance de sa vertu dans le désert, ils remercièrent le Seigneur d'avoir fait de leur monastère le vestibule du ciel pour cette âme si généreuse.


Le nom de Viateur

Par une disposition de la Providence, notre saint avait reçu en naissant le nom symbolique de Viateur ou voyageur. Il réalisa la signification de ce nom en accompagnant, dans ses voyages, l'évêque saint Just, dont il imita si parfaitement les vertus ; il la réalisa surtout par son détachement absolu des biens et des vanités du monde, en sorte que toute sa vie a été celle d'un voyageur qui, sur la terre étrangère, aspire de toute l'ardeur de ses désirs, à la possession de la patrie.


Sort des reliques de saint Just et de saint Viateur

On peut supposer que le même tombeau reçut les mortelles dépouilles de nos deux saints. Quoi qu'il en soit, les habitants de Lyon ayant appris la mort de leur bienheureux évêque, voulurent avoir son corps au milieu d'eux. Ils envoyèrent donc une députation en Egypte pour réclamer ces restes précieux. En ce temps-là, chaque ville ambitionnait le bonheur de posséder les reliques de ses saints, à cause des grâces temporelles et spirituelles dont Dieu se plaît à récompenser le culte qu'on leur rend.

Avec le corps de saint Just, on rapporta celui de saint Viateur. Pendant que leurs âmes jouissaient du même bonheur dans le ciel, leurs dépouilles devaient recevoir les mêmes honneurs sur la terre. La même église de Lyon devint leur tombeau : c'était autrefois l'église des Macchabées, qui a pris depuis le nom de Saint-Just.

Là, ces restes précieux furent religieusement conservés et honorés jusqu'au XVI° siècle. A cette époque les protestants s'emparèrent de Lyon, et selon leur sacrilège coutume d'insulter ce que les catholiques entouraient d'une pieuse vénération, ils profanèrent horriblement toutes les reliques qui leur tombèrent sous la main. Celles de saint Just et de saint Viateur ne furent pas épargnées : cette fois encore elles eurent un sort commun.

Cependant on put soustraire à la fureur calviniste la tête de saint Just, " qui se conserve précieusement dans l'église de la Primatiale ", et une relique considérable de saint Viateur. Celle-ci, jusqu'à la révolution, resta dans l'église de Saint-Just. Et comme l'impiété fanatique des révolutionnaires ne le cédait en rien à celle des huguenots, le sacristain de Saint-Just la mit heureusement à l'abri de nouveaux outrages.

Il la légua, en mourant, à M. Caron, prêtre sacristain de la Promatiale de Saint-Jean de Lyon. M. Caron, voyant un jour prier dans cette église M. Querbes, curé de Vourles et fondateur des Clercs de Saint-Viateur, lui remit le dépôt sacré dont il était le gardien, jugeant que ce riche trésor devait naturellement appartenir à la congrégation née sous le vocable de saint Viateur.

Le R.P. Querbes divisa la précieuse relique en plusieurs parties, qu'il distribua aux chefs-lieux d'obédience de son Institut, afin d'exciter chez tous ses enfants spirituels la dévotion à saint Viateur.

Ces restes vénérés seront leur palladium, leur sauvegarde, dans les fonctions, aujourd'hui si difficiles, d'instruire chrétiennement la jeunesse.

P. Combe

L'Ange Gardien n°6, octobre 1892 (pp.186-192)


Depuis 1891, la revue "L'Ange Gardien" créée et dirigée par les Clercs de Saint-Viateur, fait connaître et aimer tous les saints Anges.
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