Les saints Anges gardiens

Textes de référence


« Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car je vous le dis, leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux. »
(Mt 18, 10)





  Abbé Th. Laval

"Le Monde Invisible ou Traité dogmatique et ascétique des Anges" - Bruxelles, Librairie Albert Dewit, 1909.


ARTICLE I

REVOLTE DE LUCIFER ET DE SES ANGES

II nous est bien difficile, à nous autres hommes, dont les vues sont courtes et la volonté faible et languissante, de nous représenter avec quelle délibération et quelle énergie les démons rejetèrent le surnaturel pour se complaire dans leur nature et les dons magnifiques dont elle était douée. Ils avaient des lumières supérieures, une force de volonté merveilleuse dont ils abusèrent.

Voici comment, d'après de grands théologiens et de profonds penseurs, on peut esquisser cette lamentable histoire. En créant et en sanctifiant les anges, Dieu leur donna une première vue sur lui et une première impulsion à l'aimer. Cette première action de Dieu sur leur intelligence, pour l'illuminer par des idées innées et par les lumières de la foi, n'a pu aboutir à l'erreur ; ni sa première action sur leur cœur, pour y allumer l'amour, n'a pu aboutir au péché. Il y eut donc dans tous les anges, même dans ceux qui tout-à-l'heure devaient se révolter, une première vue vraie et un premier mouvement d'amour sincère vers Dieu. Tous les anges ont salué au premier instant, avec amour, leur Créateur et leur Sanctificateur.

Mais ce premier mouvement vers Dieu fut-il également libéral chez tous ? Nous ne le savons. Peut-être y eut-il, chez un certain nombre, négligence, et nous dirions tiédeur, à suivre la première impulsion de Dieu.

Ainsi bien des âmes, quand la raison s'éveille en elles, au lieu de s'élever vers Dieu pour l'aimer ardemment, se laissent absorber par la nature ; ainsi encore, chaque matin au réveil, un bon nombre d'âmes, au lieu de s'élancer avec amour vers leur Créateur et leur Sauveur, laissent retomber leurs pensées et affections sur elles-mêmes et sur le misérable monde qui les entoure.

Ce terrible mal qui perd tant d'âmes et qui s'appelle la tiédeur, la négligence, l'inconsidération, est bien ancien ; il fit, on peut le croire, sa première apparition dès l'origine, dans le monde Angélique. Dès lors les anges qui seront tout-à-l'heure les démons, se privèrent de grâces de choix, de la grâce efficace, en ne correspondant pas à la première impulsion divine, en se regardant eux-mêmes plutôt que Dieu.

Pour s'élever vers les mystères absolument divins de l'auguste et très-sainte Trinité, de l'Incarnation, de la Grâce et de la Gloire, il fallait aux Anges, comme à nous, de la générosité, tandis que pour se regarder eux-mêmes il ne fallait que suivre le penchant naturel. Pas plus que nous, ils ne voyaient ni ne pouvaient voir ces mystères absolument surnaturels ; ils devaient comme nous les croire humblement par la foi ; mais ils se voyaient eux-mêmes, eux-mêmes avec leurs perfections, splendides, magnifiques de lumière, de beauté, d'activité, de puissance. Au lieu d'élever énergiquement leurs regards vers ce monde divin que la foi leur révélait sans le leur montrer encore, ils les laissèrent s'abaisser vers les richesses et les gloires éblouissantes dont ils se voyaient dotés et entourés.

C'est ainsi que parfois des hommes admirablement doués pour l'intelligence, la parole, le caractère, se regardent, s'écoutent et s'admirent, au lieu de regarder Dieu, lumière et amour infinis, au lieu de regarder Jésus-Christ et le Ciel.

Ils commencèrent donc à se retirer de Dieu, et Dieu qui les avait comblés de toutes les grâces, dans la même mesure se retirait d'eux.

Or, dans l'un des chœurs les plus élevés, se trouvait un esprit auquel la tradition, fondée sur les Livres Saints, a donné le nom de Lucifer, qui signifie porte-lumière, ou Etoile du matin, parce qu'il resplendissait entre les anges, comme la planète qui porte ce nom entre les astres de la nuit. Son intelligence était comme un océan de lumière ; sa puissance, la beauté surnaturelle que la grâce avait ajoutée à ses dons naturels, tout le rendait l'objet de l'admiration du ciel entier. Les Saints Docteurs lui appliquent le passage suivant d'Ezéchiel :

Tu étais l'empreinte de la ressemblance de ton Créateur, tu étais plein de sagesse et parfait en beauté. Tu étais dans les délices du paradis de Dieu.

C'est-à-dire que la beauté de Lucifer donnait aux autres anges une haute idée de la perfection de Dieu dont il était l'ouvrage, et qu'il jouissait d'un bonheur naturel parfait.

Toutes les pierreries ornaient ton vêtement : la sardoine, la topaze, le jaspe, la chrysolithe, l'onyx, le béryl, le saphir, l'escarboucle et l'émeraude.

Ces neuf pierres sont les emblèmes des dons naturels distribués entre les neuf chœurs des anges, et que Lucifer comme leur chef possédait à lui seul.

L'or brillait sur tes vêtements et toutes sortes d'instruments de musique ont été préparés pour célébrer ta naissance.

C'est-à-dire que Dieu s'applaudissait lui-même d'avoir produit un si bel ouvrage.

Tu étais comme les chérubins à l'aile puissante et protectrice.

Allusion aux chérubins du temple qui étendaient deux de leurs ailes pour couvrir et voiler le propitiatoire. Les ailes de Lucifer, c'était sa science qui embrassait toute la nature, et qu'il communiquait aux anges inférieurs.

Et je t'ai placé sur la montagne sainte de Dieu, tu as marché parmi les pierres de feu.

C'est-à-dire qu'il occupait parmi les êtres créés jusque-là la première place après le Créateur et qu'il entrait profondément dans la connaissance des divines perfections.

En un mot, tu étais parfait dans tes voies dès le jour de la création, jusqu'au moment où l'iniquité s'est trouvée en toi. (Ezéchiel XXVIII, 12-15).

- " Comment es-tu tombé, Lucifer, s'écrie Isaïe, toi qui te levais sur le monde comme un resplendissant soleil ? "

Le principe de sa perversion fut l'orgueil : sa beauté, sa science, l'admiration dont il était l'objet, lui inspirèrent, une vaine complaisance :

" Tu as perdu ta sagesse dans ta beauté, " dit encore Ezéchiel. Au lieu de la rapporter à Dieu, de l'en glorifier, d'en profiter comme les anges fidèles pour s'élever à Dieu et concevoir un ardent désir de la vision béatifique, il s'arrêta en lui-même : " Je m'asseoirai, dit-il, sur la montagne du testament. " Il se flatta de trouver sa propre félicité en lui-même et sans dépendre de Dieu. Ainsi l'orgueil le conduisit à ce que nous nommons aujourd'hui le naturalisme, qui n'est autre chose que l'apostasie, et qui est, selon le Sage, la source de toute iniquité et la plus grande de toutes.

Sachant d'ailleurs que le Fils de Dieu devait s'incarner, Lucifer sentit naître dans son cœur un secret sentiment d'ambition et d'envie, et le désir de se voir élever à la dignité de l'union hypostatique avec la nature divine, s'est emparé de lui. Ne comprimant pas les premiers mouvements de l'orgueil, il en est venu bientôt à convoiter d'une volonté positive, l'honneur fait à l'humanité du Christ et à se poser résolument en adversaire de l'Homme-Dieu ; " il fit entrer plusieurs anges dans cette orgueilleuse révolte, par la considération de leur propre beauté et de leur excellence au-dessus de toute nature humaine ; avec lui, une multitude d'anges, sous son influence et par leur propre ingratitude, levèrent l'étendard de la révolte, le choisirent pour chef de préférence à Jésus, qu'ils prirent dès lors en haine et en aversion, craignant qu'il ne fût exalté à la droite de Dieu. "


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ARTICLE II

FIDELITE DE SAINT MICHEL ET DE SES ANGES

Ainsi dès l'origine, la complaisance orgueilleuse en soi, l'amour de soi jusqu'au mépris de Dieu fit la Cité du monde. Mais en même temps l'amour de Dieu jusqu'au mépris de soi-même fonda la Cité de Dieu. Et de même que bien peu d'hommes déploient dans une longue vie autant de perversité que les anges rebelles en concentrèrent dans cet acte unique, par lequel ils se complurent et s'arrêtèrent dans leur nature au mépris du surnaturel, de même les saints anges ont mis dans l'acte unique qui décida pour eux de l'éternité, une générosité, une intensité qui laisse loin derrière elle la ferveur que les âmes saintes apportent à un acte même héroïque. A la première vue et au premier mouvement que Dieu mit en eux pour l'aimer, ils ne résistèrent pas comme les démons, comme souvent les hommes résistent à la grâce. Point de tiédeur, ni d'hésitation dans leur premier amour. Et les saints anges acquiesçant à sa première grâce, Dieu versa plus abondamment en eux ses lumières et ses flammes pour le grand acte, profondément délibéré, qui allait décider de leur avenir éternel. Et rien n'empêche de penser que la grâce donnée aux saints anges allait s'accroissant non-seulement dans la mesure de leur fidélité, mais dans la mesure aussi de la résistance des mauvais anges. " Combien de torrents de grâces, dit le P. Faber (Esprit, p. 57), jaillissant de Dieu, viennent se briser contre les anges déchus dont l'endurcissement leur oppose une digue infranchissable, et remontent ensuite vers Dieu en flots de lumière, de gloire et d'éclatante justice ! Ainsi la vague impuissante vient se briser contre le roc et retombe. " Elles retombaient sans doute ces vagues de la bonté divine sur les saints anges ; car il y a une loi de translation des grâces, clairement exprimée par Notre-Seigneur en St Luc XIX, 24 : " Enlevez au serviteur infidèle la mine (marc) que je lui ai donnée et donnez-la au serviteur généreux et qu'elle s'ajoute aux dix mines qu'il possède déjà. " N'est-il pas permis de croire que cette loi a trouvé son application dans le monde angélique comme elle s'applique au monde des âmes ?

De même qu'il y eut un satan ou tentateur parmi les anges révoltés, il y eut un apôtre parmi les anges fidèles ; et de même que l'orgueil fut le principe de la perversion de Lucifer, l'humilité fut le fondement de l'exaltation de Saint Michel. Le caractère particulier de ce séraphin était une reconnaissance sans bornes envers son Créateur, un amour tout de flamme, se traduisant par un zèle dévorant pour sa gloire ; il était le contre-pied du superbe, de l'ingrat Lucifer. Loin de lui inspirer une vaine complaisance, les admirables prérogatives dont il se voyait revêtu, ne faisaient que stimuler son dévouement envers Celui de qui il les tenait ; au lieu de se contempler lui-même, il s'élevait par la vue des oeuvres divines, à une connaissance toujours plus profonde et plus sublime des perfections de Dieu : si tant de merveilles, se disait-il, n'ont coûté à Dieu qu'un mot ; si d'un seul signe de sa volonté, il a pu tirer du néant tant de belles intelligences, que doit-il être en lui-même ? Que sera le soleil, si un pâle reflet de son rayon est si éblouissant ! Et avec cette connaissance de Dieu, croissaient son humilité, sa reconnaissance, son amour, son désir de voir Dieu face à face afin de l'aimer plus ardemment. Ces beaux sentiments, il se plaisait sans aucun doute à les communiquer à ses compagnons ; il fut le premier prédicateur de l'amour divin ! Combien d'anges peut-être lui durent, après Dieu, leur persévérance ! Car n'étant pas encore confirmés en grâce, l'exemple et les exhortations d'un si noble chef devaient certainement contribuer à les affermir dans leur fidélité. Nous savons en effet qu'un ange peut éclairer un autre ange d'un rang inférieur ; nous savons en outre qu'il plaît à Dieu d'employer ses créatures au grand ouvrage du salut des prédestinés. D'un autre côté, l'Apocalypse donnant à entendre que Lucifer a entraîné dans sa chute un tiers des anges, il ne fait pas douter que son puissant adversaire n'ait exercé sur les autres une influence en sens opposé. C'est ainsi qu'il mérita d'être leur chef, et que les bons anges sont appelés ses anges.

O glorieux Séraphin, prédicateur sublime, premier des adorateurs de l'Homme-Dieu et son apôtre dans le Ciel ! Tu gagnas à l'Eternel des millions de fidèles serviteurs, qui, sans ta parole, ton exemple et ta prière, se fussent peut-être laissé entraîner par le superbe artisan du mensonge. Reçois nos humbles hommages ! Sois à jamais béni d'avoir conservé au ciel tant d'astres lumineux, à Jésus et à sa mère tant de sujets dévoués, aux hommes tant de protecteurs ! Bénies soient ton humilité, ta charité, béni soit ton zèle ! Ah ! daigne en faire part à tous les enfants de la Sainte Eglise, et tout particulièrement aux ouvriers du Saint Evangile !

Les deux partis étaient formés : un tiers des anges, à prendre à la lettre le texte de Saint Jean, avaient renoncé au service du Très-Haut et s'étaient soumis à l'autorité du Séraphin rebelle. Le cri séditieux : " Non Serviam, nous ne servirons pas Dieu, nous ne servirons pas un homme même quand il est Dieu ! " retentissait dans leurs rangs. Le reste des milices célestes s'était rangé autour de l'antagoniste de Lucifer. " Mi cha EL ? " s'écria le Séraphin fidèle, c'est-à-dire : " Quis ut Deus : qui est semblable à Dieu ? " Et ce cri répété par tous ses compagnons terrassa les rebelles. Mi cha El devint le nom propre de l'Archange, nom si cher à l'Eglise tant triomphante que militante et souffrante, nom qui rappelle à Saint Michel son plus beau titre de gloire. Ce fut là le premier combat entre le bien et le mal. " Il y eut, dit d'Apocalypse, un grand combat dans le ciel. Michel et ses anges combattaient contre le Dragon et ses anges. Et le Dragon et ses anges combattaient et la force leur manqua, et ils tombèrent du ciel, et leur place ne s'y trouva plus. "

Ce combat devait être comme le prélude de ceux que les anges auraient désormais à livrer aux démons jusqu'à la fin des siècles. Dieu jugea indigne de lui d'employer sa main toute-puissante pour frapper des ennemis qui, en sa présence, n'étaient que néant ; il voulut leur infliger l'humiliation d'être vaincus par leurs égaux ; il voulut laisser à ses amis le mérite et la gloire de le venger et de lui montrer leur fidélité.

En union avec Saint Michel et tous les anges fidèles, notre cœur et notre vie ne diront-ils pas définitivement avec amour : " Qui est comme Dieu ? " qui est aimable, qui est grand, qui est saint comme lui ? Je veux l'aimer enfin de toutes mes forces et malgré tous les obstacles. N'ai-je pas, aussi bien, comme les anges, ce nom tout-puissant, pour vaincre les démons et me vaincre moi-même ? " Saints et bienheureux esprits, qui vous a donné de la force contre cet esprit superbe qui était un de vos premiers princes, et peut-être le premier de tous ? qui ne voit que c'est le nom de Dieu que vous avez mis à votre tête en disant avec Saint Michel : " Qui est comme Dieu ? " Voilà aussi votre force, âme fervente ; que ce nom infiniment aimable, saint et glorieux, soit toujours devant vous comme un étendard ; - qu'il soit souvent sur vos lèvres et sans cesse dans votre cœur ; la grâce aussi est là toujours pour vous donner cette dilection invincible et victorieuse qui fit persévérer dans le bien les saints anges. " (Bossuet, 3° Elév., 4° semaine).

C'est une pratique, familière aux âmes ferventes, de s'emparer de ces actes d'amour, innombrables et variés à l'infini, des saints anges, et de les offrir à Dieu pour compenser leurs langueurs et leurs insuffisances à l'aimer comme elles voudraient l'aimer.

Elles aiment aussi à le remercier de ces torrents de grâce versés par lui sur les saints anges. Une reconnaissance parfaite ne rend-elle pas grâces à Dieu de tous les bienfaits qu'il a jamais accordés à ses créatures ? Est-ce que nos actions de grâces, comme notre prière, ne doivent pas être universelles et embrasser le monde entier et tous les temps ?

Il nous faut bien comprendre que c'est à la grâce en même temps qu'à leur coopération que les saints anges doivent d'avoir mérité l'immense faveur de persévérer dans l'amitié divine. " Le bon usage de leur libre arbitre qui est un grand bien et en attire un plus grand encore, qui est la félicité éternelle, peut-il ne pas venir de Dieu ? Je ne le puis croire ; et je crois, si je l'ose dire, faire plaisir aux saints anges en reconnaissant que Celui qui leur a donné l'être comme à nous, la vie comme à nous, la première grâce comme à nous, la liberté comme à nous, par une action particulière de sa puissance et de sa bonté, leur a donné comme à nous encore le bon usage de leur libre arbitre : Gratia Dei sum id quod sum. La même grâce qui a relevé l'homme tombé a opéré dans les anges saints le bonheur de ne tomber pas : elle n'a pas délaissé l'homme dans sa chute ; mais elle n'a pas permis que les anges bienheureux tombassent. " (Bossuet, 3° Elév.).

Extrait de Le Monde Invisible ou Traité dogmatique et ascétique des Anges de l'Abbé Th. Laval, Bruxelles, Librairie Albert Dewit, 1909 : chapitre VII : La Révolte et la Fidélité.


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