Novembre-Décembre 2015 (extraits de la revue)
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Prions les uns pour les autres
Dans la supplication et l'action de grâce, joignons nos prières à celles des correspondants de l'Association.
C'était dans « l'Ange gardien » il y a 100 ans
en novembre 1915
Amis, quand je mourrai, gaîment je vous dispense
Des long discours d'adieu qu'on dit sur un cercueil ;
Épargnez-vous aussi toute folle dépense
Pour sculpter à mon nom un monument de deuil.
Qu'on me porte sans faste à l'humble cimetière,
Sous quelque tertre vert par le prêtre bénit !
Qu'on y plante une croix de sculpture grossière,
Avec des fleurs, au temps où le sol rajeunit !
N'y venez point vous plaindre au Maître de la vie
De m'avoir fait quitter, pour la nuit du tombeau,
Plaisirs, richesses, honneurs, biens que le monde envie,
Mais qu'on laisse gaîment, quand le ciel est si beau !
Oh ! venez y plutôt, l'âme de ferveur pleine,
Demander que là-haut Dieu, calmant mes remords,
M'introduise aux jardins de l'éternelle plaine...
- C'est la prière et non les pleurs qu'il faut aux morts.
en décembre 1915
Bethléem ! c'est une mélodie d'anges qui passe au-dessus de la cabane, ravissant la nuit ; ce sont des bergers qui accourent ; c'est une étoile qui s'arrête comme séduite par un spectacle jamais renouvelé (...).
Bethléem ! c'est un Dieu devenu enfant, l'infinie puissance incarnée en l'infinie petitesse ; c'est la poésie, c'est la théologie, l'amour du Tout-Puissant émouvant la conscience humaine de leurs secousses les plus profondes et les plus purifiantes ; c'est l'égalité et la fraternité fondées ; c'est Dieu s'inclinant ; c'est la terre relevée ; c'est Satan vaincu ; c'est la liberté redressée ; c'est le péché expié ; c'est le ciel ouvert.
Mgr Touchet.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2015.
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Le roi du grand écart
Jésus ne cesse de m'étonner. Il est le roi du grand écart. Il n'a pas peur des contradictions apparentes. Sur l'écriteau de la croix, où il siège come un trône de gloire, on peut lire : « Jésus de Nazareth, roi des Juifs », mais il est descendu en prison visiter les larrons et il ouvre même les portes à l'un d'entre eux. Lui qui était promis au succès des foules - n'a-t-il pas multiplié les pains pour cinq mille personnes et créé l'événement lors de son entrée à Jérusalem ? - est celui qui trouve du temps pour chacun, qu'il soit bandit, pécheur, lépreux... Il accueillait les enfants.
Le prophète galiléen est venu hisser l'homme au-dessus de lui-même : « Vous donc, soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait » (Mt 5, 48), disait-il. Mais il ne trouvera pas de pierre à jeter sur la femme adultère. Il marchait sur les eaux de nos lacs en tempête, mettant au défi les forces du mal, mais il sera prostré au jardin des Oliviers, suppliant que cette coupe s'éloigne de lui.
Quelques heures plus tôt, il était agenouillé devant ses disciples, leur lavant les pieds comme seuls devaient le faire les esclaves étrangers. Celui qui avait été transfiguré sur la montagne en présence de Moïse et d'Élie se faisait serviteur. Et un jour, rapporte saint Luc, il sera élevé au plus haut des cieux, lui qui est né sur la paille.
Celui que l'on présente comme le fondateur d'une religion, mais qui est en fait un réformateur dont le message vaut pour toute institution, a été particulièrement libre par rapport à la sienne. Ni les lois, ni les coutumes, ni les autorités n'ont pu l'empêcher d'aimer et de secourir les pauvres, les malades, les écartés et les méprisés. Il a tenté, au prix de sa vie, de redonner par le pardon un visage à l'humanité défigurée par le mal. Il enseignait avec autorité, sans se soucier des opinions communément admises. Au cœur même de son action libératrice, il se réclamait de Dieu son Père et s'en disait l'envoyé. Pour lui parler, dans le secret de sa prière nocturne, il reprenait le mot des petits enfants à leur père : Abba, mot d'une infinie tendresse...
Stan Rougier, Pour vous, qui suis-je ?, Mame, 2013.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2015.
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Bon ange (3)
... Le fait existe : des êtres de chair ont vu leurs anges. À ce propos, Julien Green, dans son Journal, nous parle du Père Lang qui jouissait de visions célestes. Un jour, l'écrivain lui demanda comment était son ange gardien. Le religieux hocha la tête et répondit : « C'est un bon gros ». Ce qui sent assez peu son mystique ; mais quelle expérience ai-je en la matière pour oser m'offusquer d'une telle rondeur ? Ce qui m'empêche, c'est cette affabulation littéraire dont j'ai l'esprit bondé. J'en reste à la description de saint Michel par Jeanne d'Arc : un beau gentilhomme en atours.
Ennemond Boniface, qui a consacré un livre pieux et raisonnable à la stigmatisée bavaroise Thérèse Neumann (*), affirme que la miraculée voit ordinairement son ange... un « homme de lumière » qui se tient à sa droite. Elle discerne aussi les anges des autres. Mais avec le sien elle est en colloque permanent ; il lui révèle ce qu'il faut qu'elle sache sur la vie secrète ou les états d'âme de ses visiteurs. Ainsi, ce qu'on prend pour une connaissance intuitive des cœurs est, en réalité, la suite d'une divulgation angélique.
Comme tous les enfants, j'aimais les histoires. On m'en contait. Elles avaient pouvoir sur mon esprit. Elles créaient en moi des mirages. Les récits bibliques, par exemple. Après les avoir écoutés, mes palais nocturnes s'enrichissaient de frises où l'on voyait défiler les patriarches, les prophètes, les juges et les généraux vainqueurs des Philistins. Les démêlés de Joseph avec ses frères et avec le Pharaon me laissaient pâmé d'envie. L'échelle de Jacob suscitait des désirs d'escalades. Ce Jacob qui s'était battu toute une nuit avec un ange et que je comparais à la chèvre de Monsieur Seguin luttant dans la montagne avec le loup. Je sais : le rapprochement laisse place à l'irrévérence. Je m'en suis avisé depuis. Alors, le surnaturel et le naturel allaient de pair. Mystère des correspondances enfantines ! L'ânesse de Balaam évoquait bien pour moi telle fable de La Fontaine et Dalila Jeanne Hachette !...
(*) : Ennemond Boniface, Thérèse Neumann la stigmatisée, Horay, Paris, 1956.
Yves-Marie Rudel, Dialogues avec l'ange gardien, Éditions Fleurus, 1958.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2015.
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La protection des anges
« Seigneur, qu'est-ce que l'homme que tu en prennes tant de soin ? »
Tu lui envoies ton Fils unique ; tu lui envoies ton Esprit ; tu promets qu'il verra ta Face ; et pour que nul dans le ciel ne reste étranger au souci que tu as de nous, tu dépêches encore ces bienheureux esprits pour nous servir, tu les députes à notre garde, tu veux qu'ils deviennent nos pédagogues. C'est encore trop peu, que de tes esprits tu fasses tes messagers : tu fais d'eux les messagers des petits enfants. Ces esprits de bienheureuse gloire, qui voient toujours la face du Père, deviennent tes messagers vers nous et nos messagers vers toi.
« Il a commandé à ses anges qu'ils te gardent en toutes tes voies ». Pense au respect, à l'affection, à la confiance que cette parole doit t'inspirer : respect pour leur présence, affection pour leur bonté, confiance puisqu'ils te gardent. Veille sur ta démarche : tu dois marcher comme quelqu'un qui a des anges auprès de lui, puisqu'ils ont reçu l'ordre de te garder en toutes tes voies. N'importe où, même à l'auberge, respecte ton ange : oserais-tu, devant lui, ce que tu n'oseras pas devant moi ? Nous avons si grand besoin qu'ils soient nos familiers. Gardons-nous de les offenser, efforçons-nous de leur faire plaisir. Ce que les anges exigent surtout de nous, c'est l'unité, la paix. N'en soyons pas surpris : ils aiment trouver chez nous une image de leur cité, et contempler sur terre la Jérusalem du ciel.
Aimons nos anges, mes frères : plus tard nous serons leurs cohéritiers. En cette vie, notre dignité d'héritiers ne se voit pas encore : nous sommes des enfants, et notre Père nous a mis sous la tutelle des anges. Car, tout petits que nous sommes, il nous reste à parcourir un long chemin, plein de périls. Mais que craindre, sous de tels gardiens ? Ils ne sauraient être vaincus - ni séduits - bien moins encore nous tromper. Suivons-les, et nous resterons sous la protection du Dieu du ciel : « Ils te porteront », dit le psaume. C'est vrai : un tout petit a besoin qu'on le porte. Si l'obstacle se présente, que c'est donc facile de passer, quand on est porté par les anges...
Saint Bernard, Sermon 78 sur le Cantique.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2015.
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Les limites sont sacrées
Nos rapports sont souvent surchargés par ce que nous attendons de celui en qui nous cherchons la seule source de bonheur, d'unité et de totalité. Mais il n'y a pas, dans notre vie, de retour au paradis de l'être-un ininterrompu. Dans nos relations amicales, dans l'amour aussi, nous vivons dans un va-et-vient entre la proximité et la distance, entre l'union et la séparation. Le paradis de l'union définitive nous attend, mais nous n'y entrerons qu'à notre mort, lorsque nous ne ferons plus qu'un avec Dieu, nous-mêmes et les autres. Respecter les limites de l'autre est quelque chose de sacré.
Je te souhaite un ange qui te sensibilisera au respect des limites d'autrui, et qui te donnera aussi le courage de t'imposer toi-même des limites clairement définies, qui te feront du bien et amélioreront ta relation avec les autres.
- de l'air pour respirer -
l se peut que l'on te reproche - ton mari, ta femme - de te retirer à l'écart. Mais j'en connais beaucoup qui ont essayé de le faire et qui en ont tiré quelque chose de positif, non seulement pour eux, mais pour leur partenaire. Cela te permet de te retrouver complètement toi-même. C'est comme si tu faisais une cure dans laquelle tu parviendrais à te reconnecter à tes propres ressources. La vie commune ne peut qu'en sortir vivifiée. Tu as de nouveau plaisir à essayer de nouvelles choses avec ton partenaire, tu vas vers lui ou vers elle avec en toi quelque chose de nouveau. Lorsque tu te retires en toi-même, tu sens que tu ne peux pas te définir uniquement en fonction de ton partenaire, mais que tu as besoin pour cela d'un point de référence plus profond, à savoir ta propre source, Dieu, qui t'a façonné comme un être absolument unique.
Alors je souhaite qu'un ange t'indique le bon moment où tu dois te retirer à l'écart. Je te souhaite d'éprouver alors que même dans la solitude tu n'es pas seul et que l'ange de la prise de recul est auprès de toi pour t'ouvrir un nouvel horizon de ta vie.
Anselm Grün, o. s. b.,
Le petit livre des anges, Salvator, 2010.
Extrait de la revue
"L'Ange Gardien", novembre-décembre 2015.
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Protecteur personnel
Parmi tous les anges qui gardent votre maison, votre paroisse et votre cité, il y en a un, un seul que le Seigneur a chargé, (...), de vous garder tout au long, de la vie : VOTRE ange gardien. C'est là l'enseignement constant de l'Église, repris solennellement par le Concile de Trente (1545-1547). Saint Basile (329-379) écrivait déjà : « Chaque fidèle a, à ses côtés, un ange comme protecteur et pasteur pour le conduire à la vie. » Le Catéchisme de l'Église catholique reprend cette phrase du Père de l'Église (§336). Cette vérité s'appuie sur les activités foisonnantes des anges dans l'Écriture Sainte ; elle découle plus particulièrement de l'enseignement de Jésus. En réponse à une question plutôt puérile des disciples demandant au Seigneur : « Qui donc est le plus grand dans le Royaume des Cieux ? » Jésus appelle un enfant ; il le place au milieu d'eux et leur dit : « En vérité, je vous le déclare, si vous ne changez pas et ne devenez comme les enfants, non, vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux. Quiconque se fera petit comme cet enfant, voilà le plus grand dans le Royaume des Cieux... Gardez-vous de mépriser aucun de ces petits, car je vous le dis, aux Cieux, leurs anges se tiennent sans cesse en présence de mon père céleste » (Mt 18, 1-4.10).
Jésus dit bien « leurs anges », et non pas les anges. Chacun de ces enfants qui se tiennent, à ce moment-là, autour de Jésus a son propre ange qui le garde, et qui, en même temps, contemple et adore « sans cesse » le Père des Cieux. Purs esprits, ils ne sont pas tenus à n'être qu'en un seul lieu, sur terre ou aux Cieux. Ils sont à la fois ici et là.
Aussi, quand vous parlez à votre ange gardien, prenez conscience qu'au moment même où vous vous adressez à lui, il contemple Dieu dans toute sa majesté et sa gloire. Par notre ange gardien, nous sommes constamment en contact direct avec l'Éternel, notre Père des Cieux bien-aimé.
René Lejeune, Les Anges, Armée secrète du Ciel, Éditions du Parvis.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2015.
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30 novembre - Saint André - le premier appelé
La fête de l'apôtre André est célébrée dès le début du 5e siècle à la date du 30 novembre, selon le calendrier de Jérusalem, comme en font foi le martyrologe hiéronymien et les anciens sacramentaires. Connue de saint Grégoire de Nazianze et d'autres Pères de l'Église, cette fête a toujours été entourée d'une solennité particulière depuis l'époque du pape Simplice (468-483). (...)
André (en grec andreas, «courageux») est l'un des douze apôtres de Jésus. Fils de Jonas et frère de Simon Pierre, il est originaire de Bethsaïde, située au nord du lac de Tibériade, et il est pêcheur à Capharnaüm. Disciple de Jean Baptiste, il est le premier des futurs Apôtres à rencontrer Jésus près du Jourdain, le lendemain du baptême du Christ. Entendant Jean dire de Jésus : Voici l'agneau de Dieu, il le suit avec un autre disciple (sans doute Jean l'évangéliste) et lui pose la question : Rabbi, ou demeures-tu ? Et lui : Venez et vous verrez. L'évangile de Jean ajoute : Ils allèrent donc et ils restèrent chez lui ce jour-là (Jn1,35...). Le lendemain, André conduit son frère Simon à Jésus après lui avoir dit : Nous avons trouvé le Messie !
L'appel définitif d'André et Pierre est rapporté par Matthieu (4, 18¬19) : Or, en marchant le long de la mer de Galilée, il (Jésus) vit deux frères, Simon appelé Pierre et André son frère, qui jetaient un filet dans la mer, car ils étaient pêcheurs, et il leur dit : Suivez-moi et je ferai de vous des pêcheurs d'hommes. Les évangiles font encore mention d'André à trois reprises :
a) A la multiplication des pains (Jn 6, 8) : II y a ici un garçon avec cinq pains d'orge et deux poissons... ;
b) Lorsqu'il rencontre des prosélytes grecs au Temple (Jn 12, 22) ;
c) Avant la prophétie concernant la venue du Fils de l'Homme (Mc 13, 3).
Selon certains légendaires, André aurait évangélisé la Russie (...), et la Grèce où il aurait été martyrisé à Patras, suspendu à une croix en X (croix de Saint-André).
L'Église de Constantinople a une grande vénération pour son saint patron André qu'elle appelle le «protoclète» (le premier appelé). Il est aussi vénéré comme fondateur de l'Église de Kiev (Ukraine) et comme patron principal de l'Écosse.
Mgr Enzo Lodi, Les Saints du Calendrier romain, Médiaspaul.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2015.
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3 décembre - Saint François-Xavier - le patron des missionnaires
« Seigneur, me voici. Que voulez-vous que je fasse ? Envoyez-moi où vous voudrez, oui, même chez les Indiens. » Et il semble que Dieu ait entendu la supplique de François-Xavier, puisqu'au cours d'un long périple de onze ans celui-ci évangélise quelques cinquante-deux royaumes.
Né en 1506, François-Xavier grandit au pied des Pyrénées dans le château familial. A la Sorbonne, où il est venu étudier la théologie, ce fils de la grande noblesse navarraise fait une rencontre décisive en la personne d'Ignace de Loyola, dont il partage le gîte. Ce dernier, qui a pour devise « Que sert à l'homme de gagner l'univers, s'il vient à perdre son âme ? », l'amène à se détacher des richesses matérielles et des vains honneurs. Ensemble, ils participent à la fondation de la Compagnie de Jésus, les jésuites, en 1534.
François-Xavier est ordonné prêtre en 1537 et, trois ans plus tard, lorsque le pape Paul III cherche des missionnaires pour évangéliser les Indes, il embarque pour Goa. Pendant plus de dix ans, il voyage ainsi en Inde, en Asie du Sud-Est et jusqu'au Japon, où il établit les premières communautés chrétiennes. Tombé malade sur le bateau qui le conduit de Malacca (Malaisie) vers une Chine qu'il désire à son tour évangéliser, François-Xavier meurt en 1552. Son corps repose aujourd'hui en la basilique du Bon-Jésus à Goa.
Stéphane Trieulet, Le beau livre des Saints, Éditions du Chêne.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2015.
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Des appréciations
Votre revue, que je lis avec bien du plaisir, me procure foi et confiance envers le Christ Jésus et nos saints Anges. 30 - Je vous écris de la part de maman qui a changé d'EHPAD... C'est moi qui profite de ce joli livret... Encore merci. Sa fille. 02 - Que mon Ange gardien vous dise tout le bien que je pense de votre revue qui m'est une compagne fidèle... Je souhaite une bonne santé à votre revue et du succès. 29 - Je tiens à vous remercier pour cette revue qui nous garde en communion dans l'Église et nourrit notre foi... Recevez tous nos encouragements pour le travail d'évangélisation et de catéchèse que vous accomplissez par cette revue unique. 31 - Merci pour votre excellente revue qui nous apporte la joie au cœur. 44 - Merci pour votre revue qui est porteuse d'espérance et pour tout ce que vous nous transmettez. 12 - Nous vous remercions pour la revue toujours aussi riche de lectures qui nous élèvent vers le Ciel. 34 - C'est dans la solitude que votre petite revue de lumière vient éclairer, réconforter ! 38 - Merci pour votre petit journal si intéressant et revigorant et pour tout ce que vous faites pour nous tous. 03.
Il est certain que votre petite revue est un véritable trésor, dont j'apprécie, vous le savez, toutes les pierres précieuses : «la lettre» du début, l'évocation des cent ans (bien traversés), la théologie du monde angélique, le calendrier liturgique et la présentation de grandes figures... Marie-Madeleine, Jeanne Jugan, Jean Eudes, des nouvelles des Viateurs du monde, des exhortations du pape François, des notes de lecture et quelques poèmes, sans oublier proverbes et mots d'enfants, carnet de l'association... et ce papier satiné, libre de toute image et de toute pub, entièrement consacré au Monde de la Grâce où évoluent les Anges de Dieu. Merveilleux ! Et je diffuse de mon mieux... Bon vent avec les Anges et leurs inspirations ! Une religieuse. 12.
Extraits de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2015.
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Agrégation à la Confrérie des saints Anges gardiens
Leurs noms sont inscrits au registre de la Confrérie à Lyon. Ils ont reçu leur diplôme d'affiliation. Ils participent désormais à tous les avantages spirituels réservés aux associés de "l'Ange gardien", tout spécialement aux grâces de la messe de chaque mardi qui est célébrée par un clerc de Saint-Viateur aux intentions recommandées. Chaque 1er vendredi du mois, une messe est célébrée en réparation des péchés du monde et pour les vocations. Chaque 1er samedi du mois, une messe spéciale est offerte aux intentions des membres actifs de l'Association ayant témoigné de leur soutien, de leur zèle, pour le rayonnement de "l'Ange gardien".
Association des saints Anges gardiens
Canoniquement érigée et affiliée à l'Archiconfrérie des Saints-Anges
Pour faire partie de l'Association, il faut en manifester le désir et solliciter son inscription au Centre de l'Association : 21 montée Saint-Laurent, 69005 Lyon (France). Les enfants peuvent être inscrits à la demande de leurs parents. Une image-attestation est envoyée à l'Associé. Les inscriptions ne se font qu'une seule fois dans la vie. Offrande libre. Pour resserrer les liens entre associés, il est recommandé de s'abonner à "l'Ange gardien", bulletin publié 6 fois l'an.
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