Novembre-Décembre 2013 (extraits de la revue)
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Prions les uns pour les autres
Dans la supplication et l'action de grâce, joignons nos prières à celles des correspondants de l'Association.
Qui est ce Jésus ?
Il n'a rien écrit, mais les livres qui parlent de lui se comptent par millions. Il est plus célèbre et depuis plus longtemps que Napoléon. Il s'appelle Jésus de Nazareth. Il a vécu il y a deux mille ans et, aujourd'hui, deux milliards d'hommes et de femmes se réclament encore de lui. Ils s'appellent chrétiens, nom qui vient de "Christ", mot signifiant : qui a reçu la bénédiction de Dieu. C'est en effet ainsi que, dès le début, ses disciples l'ont proclamé : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant", s'est exclamé son ami le plus fougueux, l'apôtre Pierre.
Il est né dans une mangeoire pour les animaux, il a fait des miracles, il est mort sur une croix et - disent ses disciples - il est ressuscité. Voilà ce qu'à peu près tous retiennent de lui. Il a donné à notre calendrier deux de ses plus grandes fêtes, Noël et Pâques. Un homme exceptionnel, donc inimitable.
Inimitable. Vraiment ? Pourtant, depuis vingt siècles, des hommes et des femmes ont voulu l'imiter. La manière dont il a vécu les a interpellés. Sa parole les a enflammés. Son amour vis-à-vis de tous, à commencer par les plus pauvres, les a séduits. Ils ont trouvé dans les quatre petits livres qui parlent de lui - les évangiles de Matthieu, Marc, Luc et Jean - une Bonne Nouvelle qui pourrait bien transformer notre humanité si chacun la mettait en pratique. Son message est une bombe à retardement !
a-t-il vraiment existé ?
Aujourd'hui, plus personne ne doute que Jésus a réellement existé. On trouve des traces de sa vie dans les littératures juives et romaine de cette époque. Mais sa vie elle-même, ce que Jésus a dit, ce qu'il a fait, ce sont les évangiles qui nous permettent de le connaître.
Il y a quatre évangiles : Matthieu, Marc, Luc et Jean. Ils ont été écrits au plus tard entre 70 et 100 après Jésus Christ. Marc est certainement le plus ancien. Ces quatre témoignages de foi ont été très vite utilisés par les communautés de croyants qui se réunissaient chaque semaine. Au cours des siècles qui ont suivi, d'autres textes furent écrits. On les appelle les évangiles "apocryphes", c'est-à-dire tenus cachés, parce qu'ils circulaient seulement dans certains petits groupes, contrairement aux quatre autres qui étaient lus partout et par tous. Ils ne nous apportent que peu d'éléments nouveaux par rapport aux quatre autres.
Mais attention, ni les évangiles "canoniques" (ceux qui sont lus encore de nos jours dans les églises), ni les "apocryphes" ne sont des livres d'histoire comme ceux qu'on utilise dans les écoles aujourd'hui. Ce sont des témoignages de foi. Des hommes et des femmes ont été bouleversés par Jésus, ses actes et ses paroles, ils ont voulu transmettre ce qu'ils savaient aux générations suivantes afin de communiquer leur foi et nous inviter à suivre Jésus comme eux l'on fait.
Il restera toujours des points d'interrogation à propos des faits de la vie de Jésus, comme d'ailleurs à propos de tous les grands hommes de l'Antiquité. Certains aiment croire que les évangiles apocryphes contiennent des secrets cachés (...).
Mais le véritable secret que partagent les chrétiens, c'est que Jésus lui-même, sa vie, ses paroles changent notre vie aujourd'hui.
quand a-t-il vécu ?
Souvent, les gens ont retenu que cela se situait entre l'an zéro et l'an trente-trois. Sa naissance est devenue le point de repère de notre calendrier.
C'est le moine Denys le Petit qui, des centaines d'années après la mort de Jésus, a fait le calcul. Et il s'est un peu trompé ! On pense aujourd'hui que Jésus serait né entre 7 ou 6 avant notre ère. Il aurait commencé à prêcher en 27 ou 28 et serait sans doute mort lors de la fête de la Pâque, en 30.
Alors, que sait-on vraiment ? Jésus est né dans un petit pays qui porte différents noms : Juda, Palestine... Une soixantaine d'année avant sa naissance, les Romains qui régnaient sur le grand empire de l'époque ont envahi le pays de Jésus et pris le pouvoir. Ses habitants étaient divisés : fallait-il accepter les Romains ou non, collaborer avec eux ou résister, même par les armes ?
Parfois, on se demande pourquoi Jésus est venu à cette époque-là et pas à une autre. On peut trouver ici un début de réponse. En effet, le monde connaissait alors une sorte de première mondialisation. L'Empire romain s'étendait tout autour de la Méditerranée. Grâce aux Romains, l'Évangile a tout de suite trouvé une diffusion internationale. Saint Pierre et saint Paul sont morts à Rome où ils se trouvaient pour témoigner de la résurrection de Jésus. C'est ainsi que l'Évangile a rebondi jusqu'à nous.
Charles Delhez s.j.,
Jésus, qui est-il ? ... et 62 autres questions, Mame/fidélité, 2007.
Extrait de la revue
"L'Ange Gardien", novembre-décembre 2013.
Le purgatoire
Une tache avait été discernée par l'œil de Dieu : pour se présenter devant l'infinie pureté, il faut être si pur ! L'âme juste ne pouvait arriver à son trône qu'en passant par le lieu de l'expiation. Moi, son
ange gardien, l'y conduisis. Elle lut la consolante inscription qui en domine 1'entrée :
"SÉJOUR DE L'ESPÉRANCE"
Assurée de la gloire éternelle et dévorée de charité, elle accepte sans effroi les peines qui lui étaient infligées.
D'elle-même et avec amour elle se plongea dans le creuset. Elle n'eût point voulu, quand elle l'aurait pu, alors jouir de la pleine vision avant d'avoir satisfait à la souveraine justice.
Les flammes du purgatoire ne sont pas obscures comme celles de l'enfer ; elles sont claires et brillantes. Leur éclat ne le cède qu'à celui des âmes qui les habitent. Elles causent cependant de vives douleurs et je dus en modérer l'activité.
Le méchant esprit qui avait assisté au jugement comme accusateur nous suivit jusqu'au bord. Là il s'arrêta et commença à railler l'âme sur les fautes qu'elle expiait.
Je combattis les effets de cette horrible vision en me montrant moi-même fréquemment et en multipliant les témoignages de mon amitié.
Par de secrètes inspirations, je pressai les vivants de songer à l'âme captive. Les anges de la famille faisaient écho à ma voix et obtenaient les secours de la prière et de l'aumône. Les anges du Ciel répondaient à mes supplications en invitant les âmes autrefois soulagées à venir payer leur dette de reconnaissance.
Tant de suffrages m'ouvraient les sources du sang divin. Je les répandais aussitôt comme une fraîche rosée.
L'âme devait souffrir quelque temps encore, quand ses flammes furent subitement éteintes.
Dans la coupe que je versais avaient été jetées (...) quelques gouttes d'un sang expiateur. (...) C'était le sang d'un martyr.
D'après
Mgr G. Chardon,
Mémoires d'un ange gardien, Librairie Catholique, Clermont-Ferrand, 1873.
Extrait de la revue
"L'Ange Gardien", novembre-décembre 2013.
Âme transportée
Lorsque nous nous sentons inspirés au cours d'un échange, notre interlocuteur devient un ange pour nous. Mais il se peut aussi que l'ange ait été présent durant l'échange et qu'il ait mis en mouvement quelque chose en nous. On ne peut forcer la survenue de l'inspiration, ni par la méditation, ni par la rencontre avec quelqu'un. Pour qu'elle surgisse, il faut que l'ange qui nous inspire soit présent également.
Demande à
l'ange de l'inspiration qu'il soit à tes côtés lorsque tu parles à d'autres, lorsque tu lis un livre ou que tu réfléchis dans le calme, lorsque tu écoutes de la musique. Il peut t'inspirer lorsque tu cherches à résoudre une difficulté, mais que tu ne sais pas par où commencer, ou bien lorsque tu te débats avec un problème et que tu n'en viens pas à bout. Alors tu verras comme ton âme sera éclairée. Elle sera transportée, prendra des ailes. La vie s'éveillera en toi et voudra se répandre en dehors de toi.
- les yeux ouverts -
Dans bien des situations, nous avons besoin d'un ange qui nous éveille. Parfois, c'est quelqu'un qui nous secoue et nous ouvre les yeux, qui nous fait don de quelque chose qui nous fortifie vraiment. Sa bienveillance et son amour, sa gentillesse et sa compréhension nourrissent notre âme, nous montrent qu'un chemin s'ouvre devant nous. Cependant, il nous arrive parfois de retomber aussitôt après dans le même travers et nous pensons alors que tout cela n'a servi à rien. Mais un ange est là encore, qui nous effleure et nous remet sur pied. Qui nous ouvre les yeux sur ce que notre vie comporte déjà comme ressources dans lesquelles puiser. Et nous pouvons alors nous remettre en route.
- éclairé -
Je souhaite que l'ange de la lumière éclaire de plus en plus ton âme, que sa lumière pénètre au fond de toi dans les sombres abîmes, et que son rayon les transforme en des espaces habitables. "Si ton corps tout entier est lumineux sans avoir de partie ténébreuse, dit Jésus, il sera lumineux tout entier, comme lorsque la lampe s'illumine de son éclat" (Lc 11, 36).
Anselm Grün, o. s. b.,
Le petit livre des anges, Salvator, 2010.
Extrait de la revue
"L'Ange Gardien", novembre-décembre 2013.
Dans le mystère de l'Église (3)
... Jean Damascène n'hésite pas à parler des anges à l'intérieur du projet total de Dieu dans lequel s'insère le mystère de l'Église dont nous faisons partie. "Efficaces et prompts à accomplir la volonté de Dieu, ils sont tellement rapides qu'ils se trouvent immédiatement là où la volonté de Dieu les a envoyés. Quelques-uns d'entre eux prennent soin des différentes parties de la terre, président aux nations et aux régions selon l'ordre du grand Créateur, gouvernent nos affaires et nous portent de l'aide (...) tout en restant toujours autour de Dieu."
Pour ce qui est de l'aspect missionnaire de l'Église, plusieurs des anciens Pères trouvèrent dans les anges une aide efficace pour celui qui instruit, forme et conduit à la foi. Ceux que la théologie hébraïque appelle les "Anges des nations" deviennent les "Anges des Églises" d'après le Nouveau Testament.
Les Pères soutiennent cette thèse en s'appuyant sur l'Apocalypse (2, 3-4), où saint Jean parle des anges des sept Églises de l'Asie Mineure. Ce que saint Grégoire de Nazianze note à propos de son diocèse n'est donc pas déplacé : "Le soin de cette Église a été confié à un ange. Et d'autres président à d'autres Églises, comme nous le montre l'Apocalypse." Origène lui fait écho, en affirmant : "On peut dire, selon l'Écriture, qu'il y a deux évêques dans l'Église : l'un est visible, l'autre invisible, et ils participent à la même tâche." On serait tenté de citer beaucoup d'autres textes, en buvant à grands traits le flot surgi de la vérité ecclésiale.
Mais les paroles dignes de foi d'Hippolyte de Rome (3e siècle) nous suffisent lorsque, en comparant l'Église à un navire, il affirme : "L'Église a aussi ses maîtres d'équipage, à bâbord et à tribord, c'est-à-dire les anges qui l'assistent. Elle n'a jamais cessé d'être gouvernée et protégée par eux."
Maria-Pia Giudici, Qui sont les anges, Nouvelle Cité.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2013.
Magnificat ! (1)
Les évangiles ont gardé peu de paroles de Marie. Il y a cependant une exception : ce sont les onze versets (Lc 1, 46-56) du Magnificat. Certes, nul ne prétend que ces versets de saint Luc seraient la transcription littérale de la prière de la Vierge. En revanche, il ne faut pas craindre d'affirmer, avec le Concile Vatican II (Constitution sur la Révélation, Dei Verbum, n° 19) que les auteurs sacrés composèrent les quatre Évangiles de manière à nous livrer toujours sur Jésus des choses vraies et sincères, que ce soit à partir de leur propre mémoire et de leurs souvenirs, ou à partir du témoignage de ceux qui "furent dès le début témoins oculaires et serviteurs de la Parole". Autrement dit, les mots sincères de Luc nous transmettent quelque chose de vrai sur la prière de Marie. On pourrait aller plus loin. Compte tenu de l'importance de la tradition orale dans le milieu juif du premier siècle et de la présence dans le troisième évangile de traditions mariales qui lui sont propres, on peut penser que la trame et le vocabulaire du Magnificat ne sont pas une création de l'évangéliste. On a montré comment les cantiques des récits de l'enfance sont construits sur des racines hébraïques des noms des protagonistes - à commencer par Exulte mon esprit en Dieu mon Sauveur, qui fait directement écho au nom de Jésus. C'est un procédé typique de mémorisation orale. Au début des Actes, la mention des frères du Seigneur, présents à Jérusalem avec les Apôtres et la Mère de Jésus, suggère même la source à laquelle Luc a eu accès. Quoi qu'il en soit, de façon directe ou indirecte, nous avons ici un écho authentique du chant de Marie.
En chantant le Magnificat, Marie s'inscrit dans la grande tradition biblique des psaumes, et elle se laisse porter par la liturgie de son peuple : liturgie solennelle du Temple, liturgie du sabbat à la synagogue, liturgie familiale des bénédictions quotidiennes. Le texte de cette louange mariale est donc rempli de réminiscences scripturaires, en particulier, comme beaucoup de commentaires le soulignent, du cantique d'Anne, la mère du prophète Samuel (1 S, 1, 1-10).
Alain Bandelier, La prière avec Marie, Salvator.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2013.
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Des appréciations
Très fidèle à tout ce que vous écrivez et nous apprenez dans « l'Ange gardien ». Suisse - Je viens juste de découvrir « l'Ange gardien » et je suis déjà attachée. 69 - Merci pour votre revue si intéressante à lire. 42 - Je vous envoie mon réabonnement à votre chère revue qui a sa place sur ma table de nuit pour le soir avant de m'endormir. Merci de nous rappeler les fêtes de ces deux mois dans votre gentille lettre. 38 - Merci de nous renouveler cette revue toujours mieux. Je la lis toujours avec autant de plaisir et elle m'aide à prier. 80 - J'apprécie cette revue simple, variée et instructive... Sa lecture me réconforte. 44 - Merci renouvelé pour votre belle revue qui me réchauffe toujours le cœur. Allemagne - Merci pour cette revue qui nous accompagne au jour le jour pour nourrir notre foi et nous aider à vivre la communion des saints avec le secours de nos Anges gardiens. 31 - Je devais arrêter l'abonnement mais la lecture du n° de juillet-août m'incite à continuer... J'aime beaucoup tous les articles... 50 - Cette revue est une vraie lumière qui rassure, réconforte, instruit ! Merci pour tout ! 38.
Je viens renouveler mon abonnement dont je ne peux pas me passer. 71 - J'ai lu avec plaisir « l'Ange gardien » de juillet-août et j'ai bien apprécié : « en juillet 1913 » et « cours, Madeleine » entre autres. 35 - Merci pour l'instruction religieuse que diffuse votre petite revue. Qu'elle reste toujours fidèle à la Vérité de l'Évangile. Ça devient, ce me semble, de plus en plus difficile ! On est tenté de faire de la démagogie ; c'est un terrain glissant ! Paris 19e - Je suis toujours contente de recevoir la revue. Elle me suit partout. Donc, je me réabonne. 39 - Grand merci pour ce trésor, la joie de le recevoir. 69 - Toujours heureuse de recevoir cette chère revue m'aidant à ne jamais oublier de faire appel à mon Ange gardien et aux Archanges... Merci... J'apprécie les pages « sourions » - humour - et j'ai toujours du plaisir à partager ces « traits avec des amies veuves comme moi. 59 - C'est avec joie que je me réabonne à votre revue qui m'apporte beaucoup, car chaque page est un trésor d'informations, une sorte d'engrais pour notre foi. J'espère pouvoir m'abonner encore de nombreuses années à votre revue. 62.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", novembre-décembre 2013.
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Il y a un an, dans le n°6.2012, j'attirais votre attention sur ce rappel publié en encadré dans chaque parution de notre bulletin.
Une page entière vous présentait alors la "géographie" de "l'Ange gardien" au 5 juillet 2012.
Qu'en était-il
au 5 juillet 2013 ?
Nous avions
124 abonné(e)s...
de moins !!!
Nous pouvons certes continuer à constater le caractère international de cette famille "unie et fervente".
Je me dois de remercier encore les ami-e-s qui, en se réabonnant fidèlement, font bonne mesure et nous aident à... tenir malgré tout, alors que le nombre de nos abonné(e)s diminue graduellement, dangereusement... Et ce malgré des membres actifs de l'Association et des zélatrices qui, jusqu'à la limite de leurs forces, portent le souci de faire connaître et aimer notre petite revue dans leur village, leur ville, leur quartier, leur paroisse, leur groupe de prière. Vous êtes convaincu(e)s comme moi que
"l'Ange gardien" ne doit pas se contenter de survivre : il
doit vivre, se développer, rayonner.
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Il serait bien dommage qu'une œuvre spirituelle qui rejoint des milliers de lecteurs/lectrices depuis plus de 125 ans s'éteigne faute de moyens.
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Dans le "courrier en or" de chaque parution vous pouvez lire une sélection des nombreux témoignages qui font état des richesses et de la joie que vous procure la lecture de ce petit bulletin. Vous l’appréciez, dites-vous, car, source de lumière, de prière et de paix, il vous aide à mieux comprendre l’enseignement de l’Eglise, à répondre aux préoccupations des foyers, à favoriser votre vie spirituelle. Aidez-nous à en faire bénéficier votre entourage. Si un(e) abonné(e) actuel(le) sur quatre nous trouvait un(e) nouvel(le) abonné(e), nous aurions près de … 1.000 abonné(e)s de plus ! Est-ce un rêve ou un objectif réaliste ? La balle est dans votre camp. Malgré le fait que le monde de la presse papier est en difficulté du fait de la crise économique et de la mutation technologique du numérique, nous sommes invité(e)s à espérer, à croire et à agir.
C'est une "bouteille à la mer" que je vous lance.
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Faisons donc tout ce que nous pouvons pour faire évoluer positivement la "géographie" de "l'Ange gardien".
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