Septembre-Octobre 2013 (extraits de la revue)
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Prions les uns pour les autres
Dans la supplication et l'action de grâce, joignons nos prières à celles des correspondants de l'Association.
Le jugement
Moi, son ange gardien, je présentai l'âme à son juge. Il lui tendit la main : « Âme bien-aimée, ne crains pas. Reconnais le maître que tu as fidèlement servi et dont tu as fait ton débiteur. Tu me préféras à tout, dans le temps, pourrai-je te méconnaître dans l'éternité ? - Amour à mon bon Sauveur ! » s'écria l'âme en s'élançant vers Jésus.
Docile à mes leçons, elle s'était préparée dans son juge son meilleur ami. Elle n'avait à redouter de sa part aucune rigueur. Le Rédempteur ne se laisse pas vaincre en générosité.
Le démon parut cependant, non plus pour perdre son âme en possession du salut, mais pour rendre plus éclatante sa justification. Il fallait que l'imposteur fût une dernière fois confondu. Il ouvrit le livre de mort. Quel plaisir à se porter accusateur pour des fautes que lui-même avait fait commettre ! Il ne voyait pas qu'une fois anéanties ces fautes ne pouvaient devenir un sujet de condamnation.
J'ouvris le livre de vie. Le nom de cette âme y brillait en immortels caractères. Ses vertus et ses œuvres y avaient été soigneusement recueillies. Ses fautes n'y apparaissaient qu'à travers le sang divin qui les racheta. Le souvenir n'en est conservé que pour faire éclater la miséricorde dont elles furent l'objet. Le juge ne les rappela que pour en confirmer le pardon.
La balance était dressée ! Dans le plateau du bien je déposai les trésors de vertu ; vainement Satan jeta dans le plateau opposé les œuvres mauvaises. Le bien l'emporta de toute sa valeur : le mal remis n'eut jamais de poids.
Heureux de donner carrière à mon zèle, je ne me bornai pas à repousser d'injustes accusations ; j'exaltai les vertus de mon client et montrai combien devait être grande et belle sa récompense. Pleinement dévoué à ses intérêts que je regardais comme les miens et connaissant l'indulgence et la bonté de son juge, je répandis dans mon discours tout mon cœur.
(...) La sentence fut prononcée, sentence de bénédiction qui donna au ciel un élu et porta dans mon sein un surcroît de bonheur.
D'après Mgr G. Chardon, Mémoires d'un ange gardien, Librairie Catholique, Clermont-Ferrand, 1873.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2013.
Prévenant
Dans tout être humain que je rencontre, quelque chose vient au-devant de moi sur quoi je n'ai pas de prise,
quelque chose de saint que je dois respecter comme s'il s'agissait d'un ange. En chaque homme resplendit quelque chose de divin. Si je l'aborde avec respect, je peux m'en réjouir. Sinon, je serai également aveugle pour mes propres besoins.
- la tête haute -
Respecter autrui signifie lui accorder la place qui lui revient, le prendre au sérieux. Cela relève de l'« attention » : je fais attention à celui que je prends en compte, à qui je porte de l'intérêt et que j'écoute.
Etre attentif implique une prise en considération, une réflexion.
Respecter l'autre implique que je me mets à sa place, que je m'identifie à lui et que j'essaie de ressentir dans quelle disposition il se trouve et ce qui pourrait lui apporter du réconfort, lui faire du bien.
Je te souhaite que
l'ange de l'attention, de la déférence, offre à ton âme la capacité d'être attentif aux êtres qui t'entourent, de les voir, de les estimer et de les respecter. L'ange de la déférence veut faire de toi un ange pour les autres, afin qu'ils se sachent respectés par toi, qu'ils se sentent grandis dans leur dignité et qu'ils puissent mener leur vie la tête haute.
- visage d'ange -
« Tu es un ange pour moi », voilà ce que nous disons à quelqu'un qui nous vient en aide au bon moment. Et il y a aussi des gens qu'il nous suffit de regarder pour qu'ils nous apparaissent comme des anges. Ils ont une sorte de rayonnement, de pureté, de transparence qui nous fait comparer leur visage à celui d'un ange.
(...) Je te souhaite d'avoir à tes côtés des êtres à visage d'ange, qui te renvoient à la pureté qui existe aussi en toi. Et je te souhaite que ton propre visage reflète la clarté et la beauté intérieures d'un ange.
Anselm Grün, o. s. b.,
Le petit livre des anges, Salvator, 2010.
Extrait de la revue
"L'Ange Gardien", septembre-octobre 2013.
Dans le mystère de l'Église (2)
Mesrop Armeno (du 5e siècle) souligne la très haute dignité de l'homme, appelé par Dieu à exercer une « domination royale » sur toute la création mais pour la soumettre au Créateur et lui en faire chanter les louanges. Les fils de l'Église sont appelés à passer « de la corruption au bien, de l'esclavage à la liberté des fils de Dieu, en croissant dans la vraie foi du Père, du Fils et de l'Esprit-Saint pour devenir les héritiers du royaume et de la béatitude éternelle ».
Il est intéressant de noter ce qu'il dit du Créateur de toute chose qui a fait des esprits ses serviteurs et des troupes célestes des flammes de feu. Pour ce qui concerne les hommes, cet auteur ajoute : « Ceux qui ont reçu la révélation des anges sont éduqués par les anges à la vie spirituelle, selon la Providence qui a élargi la loi aux dimensions du besoin. » En effet, dans une image suggestive, les anges décrits dans l'Apocalypse (5, 8) sont occupés à offrir des « coupes d'or pleine de parfums qui sont les prières des saints ».
Pour ce qui est de l' « Église en chemin » que nous constituons, qui tire sa force et son courage de la prière pour réaliser la volonté du Père, ce qu'écrit Origène me semble aussi intéressant. « Nous devons adresser nos supplications à un seul être : le Dieu très haut (...). De même qu'un corps qui bouge est suivi par le mouvement de son ombre, ainsi la bienveillance des anges suit continuellement la bienfaisance du Dieu très haut (...). Ils ne sont pas seulement favorables aux hommes mais ils les aident dans leurs intentions de louer Dieu et ils prient et implorent avec eux. A tel point que nous osons dire que, si les hommes choisissent de manière décidée de tendre vers ce qui est le mieux et se dédient à la prière, des milliers de puissances célestes se joignent à eux, priant elles aussi sans y être appelées et nous offrent leur aide. »
Nous lisons dans la vie de saint Pacôme qu'il eut une vision dans laquelle il remarqua que toute l'Église est remplie d'anges.
Et comme le dit une très vieille homélie copte : « L'Eglise est le lieu de la consolation et de l'assemblée des anges. L'Église est le cadre où Chérubins et Séraphins se rencontrent. »
Maria-Pia Giudici, Qui sont les anges, Nouvelle Cité.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2013.
Un silence marial
Prier avec Marie, c'est prier comme Marie. Et c'est sans doute, avant tout, entrer dans le silence. Les évangiles témoignent davantage des silences de la Vierge que de ses paroles. Deux phrases à l'Annonciation, une autre au Temple, quand l'enfant a douze ans, encore deux phrases à Cana : comme elle est économe de paroles ! C'est qu'on ne peut pas faire deux choses à la fois. Marie n'est pas bavarde parce qu'elle est toute écoute. Qui d'entre nous entendra la voix de l'Ange ? Quelle pureté de silence, extérieur et intérieur, nous donnera de percevoir la musique du Ciel ? Après la tempête et le tremblement de terre, quand l'orage se calme et qu'une chape de silence recouvre enfin la montagne, un murmure de brise légère fait savoir au prophète Élie que Dieu est là (1 R19, 12). Pauvres de nous, assiégés de toutes parts par les décibels ! Comment Dieu aurait-il encore la parole dans ce flot ininterrompu de messages de toute sorte ? Sans oublier que les messages les plus obsédants sont ceux qui montent de notre cœur inquiet et du trop-plein de notre mémoire. Sans recueillement, la vie n'est que sable qui file entre les doigts. L'anti-culture régnante ne fait que cultiver des sensations pour ramasser de l'argent. Elle passe son temps à voler et violer notre silence. « Je m'éclate » dit l'adulte puéril, sautant d'un pied sur l'autre dans la boue, dans la morne plaine d'une fête techno. Le silence est la virginité de l'âme.
On a peur du silence parce qu'on a peur du vide. Quel est donc ce vide qui fait peur, sinon le vide intérieur ? Saint Benoît s'était retiré dans un ermitage à Subiaco et là, nous dit son biographe, il habitait avec lui-même. Heureux homme, qui résiste à la tentation si fréquente et si forte de se fuir ! Dans cette fuite éperdue au dehors, comme en témoigne saint Augustin dans ses Confessions, l'homme s'éloigne non seulement de lui-même mais de Dieu. Dieu n'est pas ailleurs ! C'est ce que dit à sa manière la prière pleine d'humour d'un vieux sage : Mon Dieu, vous qui êtes partout, comment se fait-il que je ne vous trouve nulle part ?
(...) Les âmes mariales habitent un silence transparent. À leur passage se lève la brise rafraîchissante de la Présence.
Alain Bandelier, La prière avec Marie, Salvator.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2013.
Pour le 8 septembre : Nativité de la Vierge Marie
Nous Te rendons grâce, Seigneur, pour la naissance de Notre-Dame, que Tu as choisie entre toutes les femmes.
Sa nativité que nous fêtons en ce jour est en tout semblable à la nôtre. En elle s'éveille l'aurore du salut.
Cette enfant d'Anne et Joachim porte le mystère de la grâce renouvelant l'humanité entière.
Aide-nous, Seigneur, à accepter notre naissance et notre histoire, comme Marie.
Que nous sachions accueillir la vie comme elle, grandir sous ton regard, comme elle, être fidèle à ta Parole de vie, comme elle. Aide-nous à accueillir le don de la vie que Tu nous fais en nous créant à ton image et en nous recréant par ta grâce.
Dans un petit être, Tu caches des merveilles et des projets.
Nous Te remercions pour ceux que Tu as sur nous et que nous ne connaissons pas encore.
En ce début d'année scolaire, révèle les miracles et les desseins que Tu veux accomplir dans notre famille.
Donne à chacun de nous de rester assez simple pour que ta volonté puisse aboutir.
Que nous soyons agréables à tes yeux tous les jours de notre vie. Amen.
À dire par les petits :
Merci, Seigneur, pour la Nativité de Marie.
Elle est née comme moi.
Comme elle, Tu as de grands désirs sur moi.
Marie, rendez-moi disponible pour faire la volonté du Seigneur.
Je vous salue, Marie...
Ludovic Lécuru, o.s.b., 100 prières en famille, Salvator.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2013.
Pour le 2 octobre : Saints Anges gardiens
Quelle bonté, mes frères, quelle tendresse de la part de notre Dieu ! Non content de nous avoir donné son Fils unique, le plus tendre objet de ses complaisances, pour le sacrifier à la mort la plus cruelle ; non content de nous avoir arrachés à la tyrannie du démon, de nous avoir appelés à la glorieuse qualité d'enfants de Dieu et de nous avoir choisis pour cohéritiers de son royaume, il veut encore envoyer à chacun de nous un ange du ciel pour nous garder tous les jours de notre vie. Cet ange ne nous doit pas quitter avant d'avoir paru avec nous au tribunal de Jésus-Christ pour lui rendre compte de tout ce que nous aurons fait pendant notre vie. Oui, mes frères, nos anges gardiens sont nos plus fidèles amis, parce qu'ils sont avec nous le jour, la nuit, dans tout le temps et dans tous les lieux. La foi nous apprend que nous les avons toujours à nos côtés. C'est ce qui fait dire à David : « Rien ne pourra nous nuire, parce que le Seigneur a commandé à ses anges d'avoir soin de nous » (Ps 90,11) ; et, pour montrer combien sont grands les soins qu'ils prennent de nous, le prophète dit qu'ils nous portent entre leurs mains comme une mère porte son enfant. Ah ! c'est que Dieu prévoyait les dangers sans nombre auxquels nous serions exposés sur la terre, au milieu de tant d'ennemis, qui tous ne cherchent que notre perte. Oui, mes frères, ce sont nos bons anges qui nous consolent dans nos peines, qui nous avertissent quand le démon vient nous tenter, qui présentent à Dieu nos prières et toutes nos bonnes actions, qui nous assistent à la mort et présentent nos âmes à leur souverain Juge.
Oh ! mes frères, que de biens nous recevons par le ministère de nos bons anges gardiens !
(...) Voyez, mes frères, combien l'Église tient à ce que nous ayons une grande dévotion envers les anges. Au mois d'octobre, chaque année, elle fait une fête en l'honneur des saints Anges, et en particulier des saints Anges gardiens. Il existe encore une pieuse pratique, c'est de consacrer les mardis en l'honneur des saints Anges gardiens.
Comment, mes frères, pouvons-nous oublier ces anges protecteurs, qui sont toujours à côté de nous, et qui ne nous quittent pas un seul instant ?...
Saint Jean-Marie Vianney, « Quis ut Deus ? », n°15.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", septembre-octobre 2013.
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Il y a un an, dans le n°6.2012, j'attirais votre attention sur ce rappel publié en encadré dans chaque parution de notre bulletin.
Une page entière vous présentait alors la "géographie" de "l'Ange gardien" au 5 juillet 2012.
Qu'en était-il
au 5 juillet 2013 ?
Nous avions
124 abonné(e)s...
de moins !!!
Nous pouvons certes continuer à constater le caractère international de cette famille "unie et fervente".
Je me dois de remercier encore les ami-e-s qui, en se réabonnant fidèlement, font bonne mesure et nous aident à... tenir malgré tout, alors que le nombre de nos abonné(e)s diminue graduellement, dangereusement... Et ce malgré des membres actifs de l'Association et des zélatrices qui, jusqu'à la limite de leurs forces, portent le souci de faire connaître et aimer notre petite revue dans leur village, leur ville, leur quartier, leur paroisse, leur groupe de prière. Vous êtes convaincu(e)s comme moi que
"l'Ange gardien" ne doit pas se contenter de survivre : il
doit vivre, se développer, rayonner.
Quand, au-dessus de votre adresse, apparaît en majuscules VOTRE ABONNEMENT EST TERMINE, pensez à le renouveler sans tarder. Autrement, nous continuons à vous l'adresser pendant un certain temps... pour vous être agréables et, bien sûr, pour tenter de continuer à vous garder parmi nous !
Il serait bien dommage qu'une œuvre spirituelle qui rejoint des milliers de lecteurs/lectrices depuis plus de 125 ans s'éteigne faute de moyens.
Le nombre d'abonné(e)s payant(e)s est capital pour que la Commission Paritaire autorise des tarifs postaux de dépôt de presse sans lesquels "l'Ange gardien" ne pourrait plus vous être expédié.
Dans le "courrier en or" de chaque parution vous pouvez lire une sélection des nombreux témoignages qui font état des richesses et de la joie que vous procure la lecture de ce petit bulletin. Vous l’appréciez, dites-vous, car, source de lumière, de prière et de paix, il vous aide à mieux comprendre l’enseignement de l’Eglise, à répondre aux préoccupations des foyers, à favoriser votre vie spirituelle. Aidez-nous à en faire bénéficier votre entourage. Si un(e) abonné(e) actuel(le) sur quatre nous trouvait un(e) nouvel(le) abonné(e), nous aurions près de … 1.000 abonné(e)s de plus ! Est-ce un rêve ou un objectif réaliste ? La balle est dans votre camp. Malgré le fait que le monde de la presse papier est en difficulté du fait de la crise économique et de la mutation technologique du numérique, nous sommes invité(e)s à espérer, à croire et à agir.
C'est une "bouteille à la mer" que je vous lance.
"L'Ange gardien" a besoin de votre secours. Notre/votre modeste revue continue d'exister sans le soutien d'aucune subvention, aucun sponsor, aucune publicité payante : seuls les abonnements et vos offrandes la font vivre.
Si vous n'avez pas les moyens matériels pour nous aider financièrement, nous vous invitons à prier pour nous et avec nous et à continuer à faire connaître notre/votre œuvre dans des lieux de souffrance ou de détresse spirituelle. Avant de jeter vos anciens numéros à la poubelle, demandez-vous à qui vous pourriez les offrir ou déposez-les sur la table de presse d'une église, une chapelle, un sanctuaire, un monastère, avec, bien sûr, l'autorisation des responsables.
Faisons donc tout ce que nous pouvons pour faire évoluer positivement la "géographie" de "l'Ange gardien".
Des appréciations
J'aime la revue de « l'Ange gardien » et son format pratique, ses articles réconfortants : merci, merci, merci. 61 - Réabonnement annuel de soutien à votre revue, toujours si enrichissante sur le plan spirituel... Bonne chance pour l'avenir de votre bulletin. Lyon 8e - C'est toujours avec plaisir et intérêt que je lis votre merveilleuse revue que je repasse ensuite à une de mes amies. Brésil - Ce petit livre est un délice et nous fait aimer, tout le temps de plus en plus, les anges gardiens. 69 - C'est toujours une joie, un bonheur, de lire votre revue d'un bout à l'autre... Vos articles bien choisis nourrissent notre réflexion. 92 - Une immense gratitude pour ce beau et dynamique livret. Je trouve nourriture spirituelle, infos sur l'Église, le monde. J'apprends aussi l'apostolat des Viateurs et la vie du Père Querbes. Même les « brindilles », l'humour, la présentation des livres, tout me passionne... 54 - Merci pour votre « lettre » qui est notre bon phare bimestriel et encore mille mercis de nous avoir si bien résumé les enseignements du pape Benoît XVI qui nous a surpris de sa démission, Dieu sait pourquoi. Une religieuse 72.
Renouvellement de mon abonnement à la revue que j'apprécie et qui m'aide chaque soir à oublier les soucis quotidiens et à invoquer la protection des saints anges. 66 - Merci pour la belle revue. Merci de nous apprendre à aimer et à prier. 974 - Grâce à votre revue, le Seigneur arrive à la première place dans ma vie. Lyon 4e - Merci pour votre persévérance. Lyon 8e - Quand je reçois ma revue, je suis très heureuse. 25 - Je reçois toujours « l'Ange gardien » avec plaisir. Merci infiniment pour votre revue qui nous aide dans notre quotidien, notre foi. 12 - Merci de tout cœur pour cette bonne revue bien rédigée et qui nous soutient beaucoup dans notre vie de tous les jours. 56 - La revue nous fait surtout penser à la splendeur du Ciel. 46 - Je lis toujours en premier Anselm Grün et maintenant Christine Ponsard. 61 - Votre petite revue est très aidante et utile pour nourrir la vie intérieure - J'aime les pages que vous consacrez aux messages du Saint-Père. 82 - Je lis et relis votre précieuse revue depuis plusieurs années... Je souhaite que votre revue soit largement diffusée. 79.
Extrait de la revue "L'Ange Gardien", juillet-août 2013.
Agrégation à la Confrérie des saints Anges gardiens
Du 3 décembre au 29 janvier 2013, nous avons enregistré 73 nouveaux agrégés, soit 29.675 depuis 1986.
Leurs noms sont inscrits au registre de la Confrérie à Lyon. Ils ont reçu leur diplôme d'affiliation. Ils participent désormais à tous les avantages spirituels réservés aux associés de "l'Ange gardien", tout spécialement aux grâces de la messe de chaque mardi qui est célébrée par un clerc de Saint-Viateur aux intentions recommandées. Chaque 1er vendredi du mois, une messe est célébrée en réparation des péchés du monde et pour les vocations. Chaque 1er samedi du mois, une messe spéciale est offerte aux intentions des membres actifs de l'Association ayant témoigné de leur soutien, de leur zèle, pour le rayonnement de "l'Ange gardien".
Association des saints Anges gardiens
Canoniquement érigée et affiliée à l'Archiconfrérie des Saints-Anges
Pour faire partie de l'Association, il faut en manifester le désir et solliciter son inscription au Centre de l'Association : 21 montée Saint-Laurent, 69005 Lyon (France). Les enfants peuvent être inscrits à la demande de leurs parents. Une image-attestation est envoyée à l'Associé. Les inscriptions ne se font qu'une seule fois dans la vie. Offrande libre. Pour resserrer les liens entre associés, il est recommandé de s'abonner à "l'Ange gardien", bulletin publié 6 fois l'an.
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