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L'Union Catholique de la France Agricole (UCFA) est fondée en 1917 par Hyacinthe de Gailhard-Bancel (1849-1936), député de l’Ardèche et Gustave de Bohan (1849-1928), président du Syndicat agricole de Champagne. Ses revues associées sont le Journal des agriculteurs catholiques "pour la masse", et L'agriculteur catholique "pour l'élite". |
L'UFCA rejoindra la Fédération Nationale Catholique (FNC) créée à l’automne 1924 à l'instigation du général Édouard de Castelnau (1851-1944). La FNC, vaste fédération nationale des divers mouvements catholiques fondée à la fois pour la défense des libertés religieuses et pour l'apostolat, rassemble alors de nombreuses associations existant déjà depuis plusieurs années, telles l'Œuvre des cercles catholiques ouvriers (fondée en 1871), la Corporation des publicistes chrétiens (fondée en 1886), la Ligue patriotique des Françaises (créée en 1902) ou encore les Associations Catholiques des chefs de famille (nées en 1905 *). * qui deviendront en 1955 les AFC, Associations Familiales Catholiques. Sur la FNC, voir Corine Bonafoux-Verrax, Des associations catholiques constituées en groupe de pression durant l’entre-deux-guerres (Éditions de la Sorbonne). |
L'UCFA soutiendra la fondation en novembre 1929 de la Jeunesse agricole catholique (JAC) par l'Abbé Jacques Charles (1900-1939) du diocèse de Nancy-Toul. La JAC sera reprise à partir de 1963 par le MRJC (Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne). |
Le Sacré-Coeur de Jésus Deux mille ans de Miséricorde Le recueil qui est reproduit dans les pages du dossier ci-dessous avait trouvé un éditeur, Téqui, en juin 2008. Une version considérablement enrichie, et actualisée jusqu'en juin 2019, est désormais disponible à la vente chez le même éditeur depuis le 4 décembre 2019, en ligne sur son site internet ICI. Merci de faire connaître autour de vous la nouvelle version de ce travail, augmentée de plus de 200 pages par rapport à la première édition. « Les personnes qui propageront cette dévotion, auront leur nom inscrit dans mon Cœur, et il ne sera jamais effacé. » (11ème promesse du Sacré-Coeur à sainte Marguerite-Marie) |