Exposition
sur l'histoire et l'actualité de
la dévotion au Sacré-Coeur de Jésus



Panorama des thèmes présentés dans cette exposition

Jusqu’au XVIIe siècle - XVIIe siècle - XVIIIe siècle - XIXe siècle - XXe siècle - Thèmes généraux


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Historique - Livrets - Affiches, images et sauvegardes

L'Apostolat de la Prière au XIXe siècle - Au XXe et XXIe siècles

Naissance de l'Apostolat
Le Père Gautrelet

1842

Le Père François-Xavier Gautrelet s.j. (1807-1886) arrive à Vals (aujourd'hui Vals-près-le-Puy, en Haute-Loire) pour y exercer auprès des scolastiques de la Compagnie de Jésus les fonctions de père spirituel.

1844

Le 3 décembre, le P. Gautrelet exhorte les jeunes religieux à devenir des apôtres en offrant tous ensemble leurs prières, œuvres et souffrances de chaque jour en union avec le Cœur de Jésus. L'Apostolat de la Prière est fondé.

« L'apostolat s'exerce par la parole et l'action, mais plus encore par l'a prière. [...] Nos prières, nos pénitences, nos bonnes oenvres sont une force ; c'est le fond de guerre sans léquel le soldat ne peut tenir la campagne. Nous nous associerons donc, nous amasserons et chaque jour nous verserons notre contingent de prières, de sacrifices, d'oeuvres méritoires dans ce trésor de l'apostolat ; ainsi, nous prêterons main-forte aux ouvriers apostoliques et nous participerons d'une manière très réelle et très efficace à leurs travaux et à leurs triomphes. »
Vie du P. François-Xavier Gautrelet de la Compagnie de Jésus par le Père Joseph Burnichon, Retaux-Bray, Paris, 1889 (pp.62-63).
De la maison de Vals, l'Apostolat ne tarde pas à se répandre dans un certain nombre de communautés de la ville et dans quelques paroisses de la campagne, où les catéchistes du dimanche s'en font les premiers propagateurs. Partout il suscite un élan de généreuse et féconde piété.

1846

Le P. Gautrelet écrit le premier opuscule sur l'Apostolat de la Prière, exposé théologique approuvé par le Père Jean Roothan (1785-1853), général de la Compagnie.

« Quel est le moyen le plus conforme à la nature de l'Eglise de propager la foi et d'étendre le royaume de Jésus-Christ ? C'est la prière. Quel est le moyen le plus facile et le plus à la portée du simple fidèle de contribuer au salut des âmes ? C'est la prière. Quelle est la pratique de zèle dont les fruits sont les plus étendus ? C'est la prière. Donc une association qui aurait pour fin de sauver les âmes par la prière, comme l'Œuvre de la Propagation de la Foi a pour but de sauver les âmes par l'aumône, serait parfaitement en rapport avec l'esprit du catholicisme, et ses résultats seraient incalculables. »
Apostolat de la Prière, le Puy, 1846 (pp.44-45).

« Remplir les obligations propres de son état, vaquer à ses occupations dans le monde, ou s'acquitter de son emploi dans l'intérieur d'une maison religieuse, dans le but de concourir à étendre le royaume de Jésus-Christ, c'est véritablement agir par le principe de charité. Si les actions les plus indifférentes de la nature, comme de boire et de manger, peuvent être dirigées à cette fin, ainsi que l'enseigne saint Paul, il est évident que les œuvres de pénitence, les aumônes, les exercices de piété, par exemple, les visites au Saint Sacrement, la sainte Communion, la sainte messe, etc., la victoire que l'on reporte sur une tentation ou un mauvais penchant, les petits sacrifices que l'on s'impose, la pratique de la modestie, du silence, de la charité, etc., ne tendront pas moins efficacement et directement à ce noble but. Tout acte de vertu, en un mot, est propre à grossir le Trésor spirituel que nous cherchons à former dans l'intérêt des âmes et pour leur mériter des grâces de salut. »
Apostolat de la Prière, le Puy, 1846 (pp.106-107).
Ce « Trésor du Cœur de Jésus », présenté sous la forme d'une grande planche dépliante en fin de volume (voir ci-dessous), qui doit être complétée par le lecteur au gré de ses prières et sacrifices hebdomadaires, sera repris et adapté au siècle suivant pour les enfants de la Croisade Eucharistique.



Apostolat de la Prière, le Puy, 1846



Planche du « Trésor du Cœur de Jésus »

Voir page Bibliophilie


1846

Première approbation de l'œuvre par Mgr Pierre-Marie-Joseph Darcimole (1802-1857), évêque du Puy.

1848

Nouvelle approbation de l'Œuvre par Mgr Joseph Auguste Victorin de Morlhon (1799-1862), successeur au Puy de Mgr Darcimole.

1849

Pie IX, exilé à Gaëte, publie le 19 août 1849 un premier Bref pontifical en faveur de l’Apostolat de la Prière, qu'il enrichit de nombreuses indulgences, renouvelées à perpétuité en 1861.

1855

Le P. Gautrelet, rappelé dans la province de Lyon à laquelle il appartient, quitte Vals où il a passé treize ans, dix comme père spirituel et trois comme recteur (*). Il demande alors au Père Henri Ramière s.j. (1821-1884), qui enseigne la théologie depuis 1853 à Vals, de reprendre le flambeau de l'Apostolat, et le prie de refaire le petit livre qu'il a rédigé en 1846.
(*) : Il est nommé supérieur de la résidence de Fourvière et Instructeur des Pères du troisième an. Le P. Drevon fera partie de ses élèves. Il quittera ce poste en 1857, devenu Provincial de Lyon.




Premier Directeur
Le Père Ramière



P. Henri Ramière s.j. (1821-1884)


1861

Le 26 février, nouveau Bref de Pie IX, confirmant à perpétuité les indulgences déjà concédées.



Diplôme d'agrégation avec le Bref de Pie IX

1861

Sur les bases de l'opuscule publié en 1846 par le P. Gautrelet, le P. Ramière publie au Puy et à Lyon L'Apostolat de la Prière, Sainte Ligue des cœurs chrétiens unis au Cœur de Jésus pour obtenir le triomphe de l'Eglise et le salut des âmes. Ce livre sera réédité à de nombreuses reprises. Le P. Ramière devient le premier directeur général de l'Œuvre, dont les statuts seront approuvés par Rome en 1866.

« Le nom même de cette œuvre nous indique assez que son ressort principal, son grand moyen d'action, le glaive dont elle arme tous ceux qu'elle enrôle dans la sainte croisade destinée à faire triompher la cause de Dieu dans le monde, c'est la prière. Mais la prière acquiert ici une efficacité que la ferveur isolée de chaque chrétien ne saurait lui donner : celle qui doit venir de l'association.
A cette occasion il faut un mobile. A cette ligue de prière il faut un chef. Quel peut être le chef d'une expédition entreprise pour le salut du monde ? Quel peut être le mobile des cœurs unis ensemble pour attirer la grâce par leurs prières, sinon le Cœur de Jésus, qui prie sans cesse au saint Tabernacle pour faire descendre du ciel cette divine grâce ?
Ainsi, la prière, comme moyen universel d'action ; l'association, comme condition souveraine d'efficacité pour la prière ; l'union au Cœur de Jésus, comme source de vie pour l'association : tels sont les éléments auxquels cet Apostolat doit sa puissance. […]
Que demande saint Paul avec tant d'insistance aux premiers fidèles, et en leur personne aux chrétiens des âges à venir ? Des prières pour le salut de tous les hommes. Et ces prières est-ce isolément qu'il désire qu'elles soient offertes à Dieu ? Non : ce sont des prières communes, des prières partant de tous les cœurs, s'exprimant par toutes les bouches, et montant au ciel comme ces vapeurs qui partent à la fois de tous les points de l'Océan, pour faire descendre la fécondité dans les campagnes arides. Mais encore, cette prière commune sera-t-elle une prière purement humaine ? Non : ce sera une prière offerte par l'entremise du seul Médiateur entre les hommes et Dieu, et divinisée en passant par son Cœur. Voilà les vœux de l'Apôtre. L'Apostolat de la prière n'est que la réalisation de ces vœux.
»
Henri Ramière, L'Apostolat de la Prière, Le Puy, Jacques Lecoffre, 1865 (5° éd.).

La Revue

Le P. Ramière crée également la revue associée : le Messager du Cœur de Jésus, dont le premier numéro paraît au mois de janvier. Cette revue est consacrée à la propagation du « Règne social du Christ », de la dévotion au Sacré-Cœur, du culte eucharistique, de la piété mariale, ainsi qu'aux divers œuvres charitables et apostoliques dont s'occupe l'Apostolat. Le nombre d’abonnés augmentera régulièrement au fil des ans : de 2.000 en 1861, il passera à 8.000 en 1864, 15.000 en 1875 et 22.000 en 1876. L'œuvre compte aujourd'hui plus de 130.000 centres à travers le monde, et près de 40 millions d'inscrits, et la revue est imprimée en plus de 40 langues.

« Le Messager du Cœur de Jésus est destiné à servir d'organe périodique à cette nouvelle sainte Ligue. Mais, à ce bulletin de l'Apostolat de la prière, pourquoi donner le nom de Messager du Cœur de Jésus ?
Parce que ce nom est le seul qui lui convienne. L'Apostolat de la prière n'est, en effet, que la fusion de nos intérêts avec les intérêts du Cœur de Jésus, de nos intentions avec ses intentions ; c'est la dévotion à ce divin Cœur complètement réalisée, ne se bornant pas à la récitation de quelques formules, à la production de quelques actes isolés, mais atteignant l'intime de l'âme et ne lui permettant plus d'avoir d'autres sentiments que ceux de Jésus-Christ.
Son divin Cœur sera donc comme le grand moteur de l'Apostolat de la prière, et dès lors son modèle le plus parfait, son stimulant le plus énergique, son lien vivant et vraiment divin, qu'aucun pouvoir créé ne saurait ni rompre ni affaiblir.
»
Père Henri Ramière, in V. Alet, La France et le Sacré-Cœur, Paris, Lethielleux, 1889.




Notice explicative, 1860-65
pages intérieures - verso



Billet d'agrégation, 1864
pages intérieures - verso



Billet d'agrégation, 1865
pages intérieures - verso




Premiers Statuts

1866

Le 27 juillet, les premiers Statuts de l'Œuvre sont approuvés par Rome. Revus en 1879, puis en 1896, ils seront approuvés par la Sacré Congrégation des Evêques et Réguliers et promulgués par elle le 11 juillet de cette même année.

« L'Apostolat de la Prière est une pieuse Association qui, destinée à promouvoir la gloire de Dieu et le salut des âmes, remplit sa fonction apostolique par la prière ou mentale ou vocale, et même par les autres Œuvres pies, en tant qu'elles sont impétratoires et peuvent nous concilier le Très Saint Cœur de Jésus pour atteindre le but ci-dessus énoncé. C'est pourquoi, bien que l'Apostolat de la Prière paraisse avoir certains points communs avec d'autres Associations de piété, telles, par exemple, que la Confrérie du Sacré-Cœur de Jésus et le Rosaire Vivant, néanmoins, il se distingue entièrement de toutes ces Sociétés, soit par son but, qui est tout à fait universel, soit par les moyens spéciaux qu'il emploie. »
« L'amour et la dévotion envers le Sacré Cœur de Jésus sont très propres à tous les Associés qui s'enrôlent dans l'Apostolat de la Prière. Car bien que cette dévotion ne constitue pas la fin de l'Apostolat lui-même, elle en est cependant le moyen de tous les plus puissant et absolument hors de pair, soit pour exciter tous les Associés, par l'exemple du Très Saint Cœur de Jésus, à s'adonner avec plus d'ardeur à la pratique de l'oraison, soit pour rendre plus efficace la prière elle-même, faite en union avec ce divin Cœur, soit enfin pour atteindre le but que poursuit l'Apostolat : la gloire de Dieu à promouvoir. »
Extraits des Articles I et II des Statuts de l'Apostolat de la Prière (version approuvée et promulguée le 11 juillet 1896), in Ch. Parra S.J., Manuel de l'Apostolat de la Prière, Toulouse, 1933, 28° édition.
1868

Le Père Henri Ramière est nommé professeur à Toulouse. Dès l'année suivante, il y transporte la direction de l'Apostolat de la Prière et le siège du journal Le Messager du Cœur de Jésus.



Aux Associés de l'Apostolat de la Prière
Pannier éditeur, Paris



L'Horloge Eucharistique
Ch. Letaille, Paris

verso



L'Horloge Eucharistique
Explications

pages intérieures - verso


Voir aussi les images pieuses de l'Apostolat de la Prière




Guerre franco-allemande
19 juillet 1870 – 10 mai 1871

1870

Au mois de septembre, dans un article du Messager du Cœur de Jésus, le P. Ramière appelle les associés à se tourner en confiance vers le Cœur du Sauveur :

« A tous les Associés de l'Apostolat de la Prière, - Les catastrophes, dont nous venons d'être les témoins, absorbent en ce moment toutes les préoccupations… L'Apostolat de la Prière est donc, plus que jamais, l'Œuvre du temps présent… Ne nous laissons pas abattre par nos revers… Dieu aime la France.
Toute notre histoire, depuis quatorze siècles, prouve que, dans le Cœur du Souverain Seigneur de l'univers, l'amour de la France n'a jamais été séparé de l'amour de l'Eglise, qui est sa passion dominante.
Ayons donc confiance et, quand les malheurs de la France s'aggraveraient encore, ne nous laissons pas ébranler dans notre espoir. Quand elle semblerait enfermée dans un tombeau, soyons certains qu'elle ressuscitera, à la seule condition qu'elle se tournera vers Celui auquel elle est redevable de son existence et de toutes ses gloires.
Unissons, nous aussi, dans notre cœur, l'amour de la France et l'amour de l'Eglise ; ne séparons jamais, dans nos prières, les intérêts de ces deux patries.
Mais ne gardons pas notre confiance pour nous ; communiquons-la à tous ceux dont le courage serait exposé à faiblir. Apprenons à ceux de nos frères qui vont combattre pour la France, à élever les yeux vers le Cœur de Jésus, à compter sur son appui plus que sur les armes les plus puissantes, à lui offrir leurs travaux et leur sang et à puiser dans sa grâce un courage qu'aucun revers ne puisse abattre.
Et nous, qui ne pouvons combattre avec le glaive matériel, saisissons l'arme de la prière. Demeurons sur la montagne avec Moïse, ou plutôt avec Celui dont Moïse était l'image, avec le vrai chef du peuple de Dieu « qui vit toujours pour intercéder en notre faveur ». Joignons notre intercession à la sienne, et ne laissons pas tomber nos bras jusqu'à ce que les joies de la paix aient succédé à l'horreur des batailles. »
P. Henri Ramière, Le Messager du Cœur de Jésus, septembre 1870.



Billet d'admission, 1870
pages intérieures - verso



Billet d'admission, 1871
verso



Billet d'agrégation, 1873
pages intérieures - verso


1870

Le 13 décembre, le Père Ramière rédige une formule du Vœu national qui paraît aussitôt dans Le Messager - et bientôt sous la forme de feuilles volantes fournies par l'Apostolat de la Prière - en laquelle il demande la libération de la France et la délivrance du Souverain Pontife.

Voir les pages spéciales sur le Vœu national




Fin XIXe

1872

Le P. Pierre-Jean Beckx (1795-1887) s.j., Supérieur Général des Jésuites, consacre la Compagnie de Jésus au Sacré-Cœur de Jésus.


1878

Le 23 septembre, Lettre du Pape Léon XIII au P. Ramière, recommandant la dévotion des Associés au Sacré Cœur de Jésus :

« C'est bien avec raison que se montre glorieusement parée du nom d'Apostolat cette Association de prières qui demande avec persévérance au Seigneur de renouveler, dans les besoins de l'Eglise, les merveilles accomplies autrefois par les Apôtres.
Mais comme cet Apostolat ne peut recevoir son efficacité que de Celui qui unit en Lui-même une charité infinie à une puissance sans bornes, c'est avec grande opportunité que vous, cher Fils, et vos Associés, avez formulé le dessein de porter les pensées et les affections des fidèles vers le Très Saint Cœur de Jésus, d'où l'Eglise a découlé comme de sa source. »
Extrait de la Lettre de Léon XIII, in Ch. Parra S.J., Manuel de l'Apostolat de la Prière, Toulouse, 1933, 28° édition.

1879

Dans les statuts du 28 mai, Léon XIII inclut dans la mission de l’Apostolat de la Prière une intention mensuelle aux membres de l’Association lors de l’offrande du matin.


1880

A sa mort le 8 mars 1880, le Père Drevon confie l'œuvre de l'Association de la Communion réparatrice qu'il a fondée en 1854 (érigée canoniquement le 2 juillet 1865 à Paray-le-Monial, au monastère de la Visitation) au Père Ramière.
Le Messager du Cœur de Jésus devient l'organe des deux Œuvres, s'intitulant désormais Bulletin mensuel de l'Apostolat de la Prière et de la Communion réparatrice. Le Père Ramière précise alors dans le Messager (mai 1880) que « la situation canonique des deux Œuvres demeure la même ; mais la direction unique qui lui sera imprimée fournira aux membres de chacune d'elles plus de facilités pour jouir des avantages de l'autre. »
Le Pape Léon XIII ratifie par un Bref en date du 30 mars 1886 la réunion des deux Œuvres sous un seul et même directeur général, rendant les membres de l'Apostolat participants des faveurs accordées précédemment à l'Association de la Communion réparatrice.



Billet d'agrégation, 1870
pages intérieures - verso



Billet d'admission, 1870



Billet d'admission, 1886
Pages intérieures : 1 - 2 - 3 - verso



1883

Lors de la 23ème Congrégation Générale, les Pères de la Cie de Jésus approuvent le décret 46 : « Nous déclarons que la Compagnie de Jésus accepte et reçoit avec un esprit débordant de joie et de gratitude la charge très douce (munus suavissimum) que lui a confiée notre Seigneur Jésus-Christ de pratiquer, promouvoir et propager la dévotion à son très divin Cœur ». Pour accueillir le « munus suavissimum » que lui a confié le Seigneur, pour promouvoir la dévotion à son Cœur, la Compagnie de Jésus confirmera en 1915 que l’Apostolat de la Prière est un bon moyen pour mener à bien cette mission.


1884

Le 3 janvier, au décès du P. Henri Ramière à Toulouse, l'Apostolat de la Prière compte 15 versions du Messager du Cœur de Jésus, et plus de 35.000 centres organisés dans le monde entier. Le R.P. Auguste Drive lui succède à la tête de l'Association.


1896

La Sacrée Congrégation change les statuts et indique que le Père Général de la Compagnie de Jésus est le directeur général de l’Apostolat de la Prière, et qu’il doit désigner un délégué. Celui-ci résidera à Toulouse. Ce n’est qu’en 1926 qu’il se transférera à Rome. Ces statuts seront en vigueur jusqu’en 1951.




Blason de l'AP



Blason de l'AP



Blason de l'AP



Suite : L'Apostolat de la Prière au XXe siècle




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