Exposition
sur l'histoire et l'actualité de
la dévotion au Sacré-Coeur de Jésus



Panorama des thèmes présentés dans cette exposition

Jusqu’au XVIIe siècle - XVIIe siècle - XVIIIe siècle - XIXe siècle - XXe siècle - Thèmes généraux


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Sainte Marguerite-Marie (1647-1690)

Portraits - Vie - Apparitions (images) - Reliques et reliquaires

Jeunesse - Vie religieuse - Cause et célébrations

22 juillet 1647 : naissance de Marguerite-Marie

Si J.J. Languet (1) et quelques auteurs à sa suite, font naître Marguerite-Marie à Lhautecour, les Contemporaines notent qu'elle est née au Terreau : « Elle vint au monde le jour de sainte Madeleine, 22 juillet de l'année 1647, prit naissance au Terreau et fut baptisée dans la paroisse de Vérosvres. » Les deux religieuses qui témoignent ainsi ont fait leur noviciat sous la direction de Marguerite-Marie, et ont vécu auprès d'elle de 1683 à 1690. Leur mémoire est resté manuscrit jusqu'en 1867, date de la publication par le monastère de la Visitation de Paray-le-Monial des deux volumes "Vie et Œuvres de la bienheureuse Marguerite-Marie Alacoque". Ce lieu de naissance au Terreau sera repris par de nombreux auteurs (le P. Georges Tickell, le P. Giraud, le P. Alet, l'Abbé Daras...).
(1) : La Vie de la Vénérable Mère Marguerite Marie, religieuse de la Visitation Sainte-Marie..., A Paris Chez la Veuve Mazières & Jean Baptiste Garnier, 1729.

Voir à ce sujet les notes explicatives sur les biographies des Contemporaines données en Annexe du tome premier publié par le monastère de la Visitation : Troisième Appendice, Annexe A, pp.377-379.



Plan de Verosvres
(Extrait de l'Album-Guide des Saints Pèlerinages de Paray-le-Monial et de Verosvres
du Chanoine Cucherat, Paris, Victor Palmé, 1873)


« La Question du Terreau »

Ces deux thèses sur le lieu de naissance de Marguerite-Marie ont fait l’objet de recherches successives, notamment de l’abbé Cucherat : La Question du Terreau ou du lieu précis où est née la Bse Marguerite-Marie dans la Paroisse de Verosvres, Autun, Imprimerie Dejussieu Père et Fils, 1877, et de l’abbé Paul Muguet : Lhautecour, ou la vérité sur le lieu précis de la naissance de la Bse Marguerite-Marie Alacoque, en la paroisse de Verosvres, Mâcon, Protat, 1879.

Le premier était partisan d’une naissance au Terreau. Il s’appuyait notamment sur le témoignage des deux religieuses citées ci-dessus, sur les adresses de correspondance de M. Alacoque, et sur l'affirmation de M. Guilloux, curé de Palinges, natif de Verosvres, qui avait déposé en 1821 qu’il savait de science certaine que Marguerite-Marie était née au Terreau. L'abbé Cucherat relatait ainsi la chronologie de la famille, précédant cette naissance :

« Le grand-père de la Bienheureuse et son père ensuite, l'un et l'autre notaire et juge du Terreau, demeuraient en leur maison de Lhautecour, où était leur maison patrimoniale et le siège de leur étude de notaire. Ce fut l'incendie de cette maison de Lhautecour qui les obligea à s'en éloigner, l'un bâtissant sa nouvelle maison aux Janots ; l'autre, en allant s'établir au Terreau, dans les appartements du chapelain, au logement duquel il était plus aisé de pourvoir qu'à celui d'une famille.
C'est vers l'an 1644 qu'eut lieu cette séparation et l'installation du père de la Bienheureuse au Terreau, puisque c'est son grand-père qui a bâti et décoré la nouvelle maison des Janots, comme on le reconnaît à ses armes accolées à celles de sa femme Jeanne de La Roche
(*). [...] Je persiste à croire... que le père de la Bienheureuse est demeuré dans cette maison jusqu'à son décès, aux derniers jours de l'année 1655 [12 ou 13 décembre] ; que c'est là qu'est née cette enfant de bénédiction, le 22 juillet 1647 ; et que l'édifice qui subsiste encore est bien celui qui fut rebâti pour le chatelain du Terreau, vers 1633 ou 1634. » (pp.45-46)
(*) : Vers le milieu de la chapelle, dans la frise qui supporte le plafond lambrissé et peint. C'est cette maison des Janots dont il subsiste la tour carrée, visible sur les cartes ci-dessous, qui est le plus souvent considérée aujourd'hui comme le lieu de naissance de Marguerite-Marie.
L'abbé Cucherat précisait ensuite :

« Au décès de M. Alacoque, sa veuve, Mme Philiberte Lamain, avec sa mère et ses enfants, furent obligées de quitter la maison du juge du Terreau, sans avoir où se retirer ailleurs qu'aux Janots, qui leur appartenaient ; Mme veuve Alacoque, née Jeanne Delaroche, grand'mère, et sa fille Catherine, installées dans ladite maison, ne sachant comment faire pour y recevoir et loger les nouveaux arrivants... » (p.31)
« C'est alors, pensons-nous, que la jeune Marguerite succéda à sa tante Catherine dans la petite cellule peinte du grenier ; tandis que l'on arrangeait, sur le jardin séparé par la ferme, quelques chambres aujourd'hui en ruines pour sa mère et ses frères. Ainsi s'expliquerait le millésime de 1655, que l'on voit encore là, au-dessus d'une porte. Mme Philiberte Lamain, veuve Alacoque, aurait tenu à consacrer ainsi la date de la mort de son mari et celle de sa rentrée si douloureuse en sa propre maison. » (p.31)
Le second, curé de Beaubery, réfutait deux ans plus tard cette hypothèse, affirmant que Marguerite-Marie ne pouvait n’être née que dans la maison des Janots. Mgr Gauthey résumait au tome III de Vie et Œuvres les conclusions de l’abbé Muguet :

« … il résulte très clairement que M. Claude Alacoque, notaire royal et juge de la seigneurerie du Terreau, demeurait aux Janots, hameau de Lhautecour. Des actes authentiques, se rapportant aux années qui ont immédiatement précédé ou suivi la naissance de Marguerite, ne laissent aucun doute sur ce point. Par conséquent, notre Bienheureuse est née au domicile de son père, aux Janots de Lhautecour. »
(Vie et Œuvres, éd. 1920, pp.652-653).
Sa réfutation tenait en quatre points :

« 1° Les Contemporaines, témoins irrécusables de tout ce qui se rapporte à la vie religieuse de leur Vénérable Sœur, sont peu compétentes pour les faits qui concernent la naissance de Marguerite. On n’a pas de peine à préférer à leur témoignage celui de Chrysostome [frère de Marguerite-Marie].
M. Guilloux étant seul à affirmer, 174 ans après l’événement, un fait contraire à la tradition, il faut conclure qu’il s’est trompé, ou même qu’il y a eu erreur du secrétaire, qui a enregistré sa déposition.
Le témoignage des deux religieuses qui ont déposé, en 1830, en faveur du Terreau, est annulé par celui de quatre autres Sœurs qui ont tenu pour Lhautecour, d’autant que l’une des deux déposantes déclare le savoir pour l’avoir lu dans un Mémoire.
Les suscriptions de quelques adresses de lettres ne peuvent prévaloir contre les actes authentiques dressés par les contemporaines. »
(Vie et Œuvres, éd. 1920, p.653)
On se rapportera aux documents cités pour plus de précisions sur ces deux hypothèses. Mgr Gauthey concluait en 1920 sur ce sujet : « la « Question du Terreau » n’existe plus ; c’est une controverse vidée »… (Vie et Œuvres, éd. 1920, p.653)



La maison des Janots



La maison des Janots



La maison des Janots


Description de l'étage de la tour carrée, par l'Abbé Cucherat

« Cet étage supérieur comprend, à la file l'une de l'autre et sans indépendance, trois pièces seulement. La première, où conduit l'escalier, est la chambre au plafond lambrissé et couvert de peintures. On en a fait une sorte de chapelle, en mettant, il y a une trentaine d'années (*), un autel du Sacré-Coeur à la place de la cheminée. Elle a 5,65 mètres sur 4,80 mètres. C'était le salon ou la salle de réception.
La seconde chambre, sur laquelle on a pris un petit escalier dérobé pour arriver au couloir d'en-bas, est plus petite encore. Elle n'a que 3,45 mètres, sur 4,40 mètres.
La troisième a 3,75 mètres sur 4,80 mètres.
» (pp.25-26)
(*) L'autel a été installé vers 1845 à la demande de Mlle Victoire de Gouvenain, alors propriétaire de la maison. (p.27)



La maison des Janots



La maison des Janots



La maison des Janots




La chapelle du 1er étage
vers 1920



La chapelle du 1er étage
vers 1940



La chapelle du 1er étage
de nos jours


Au XXe siècle, le corps principal du bâtiment est totalement reconstruit, avec adjonction d'un étage.
Appelées par Mgr Chassagnon l'Evêque d'Autun, les soeurs de St François d'Assise, déjà présentes à Vérosvres, y reçoivent les pélerins et accueillent en 1926 des jeunes filles du milieu rural.
Successivement orphelinat en 1932, école secondaire en 1940 puis école ménagère en 1947, le centre ménager agricole devient "Centre d'enseignement rural féminin". Le CERF prend en 1959 le nom de "Lycée Professionnel Privé Sainte Marguerite-Marie". En 1990, l'administration passe à une direction laïque, sous tutelle congréganiste. Du fait d'une forte diminution des effecifs, il ferme en 2016. L'Association diocésaine a racheté les bâtiments en 2020. (Source)



La maison des Janots
Orphelinat dans les années 1930



La maison des Janots



La maison des Janots


« La maison du chapelain du Terreau [...] n'est autre que le corps de bâtiment encore debout, donnant au nord sur la cour du château, et au midi sur un assez grand jardin, clos de murs, séparé de celui des châtelains et pourtant compris dans la clôture du parc.
Dans les appartements supérieurs, qui ont leur entrée indépendante, était logé le chapelain. Au rez-de-chaussée et sous terre se trouvait l'auditoire du juge et la prison de la justice que l'on voit encore. » (p.45)
(La Question du Terreau ou du lieu précis où est née la Bse Marguerite-Marie dans la Paroisse de Verosvres par M. F. Cucherat, Autun, Imprimerie Dejussieu Père et Fils, 1877).
Le château, dont le premier propriétaire connu était noble Jean de l'Espinasse (1344-70) a été rebâti intégralement, sauf la tour du côté du soir, sur l'emplacement de l'ancien, vers l'an 1787, avec les matériaux de démolition de l'ancien château et ceux des autres bâtiments qui l'avoisinaient, et qui ont été reconstruits à neuf les années suivantes.



Château du Terreau




25 juillet 1647 : baptême de Marguerite-Marie

« Elle vint au monde le 22 juillet 1647, jour de sainte Madeleine, et ne fut baptisée, on ignore pourquoi, que trois jours après, le 25, dans l’église de Verosvres. Elle eut pour parrain son propre oncle, le frère de son père, M. Antoine Alacoque, curé de Verosvres, et pour marraine, Mme Marguerite de Saint-Amour, épouse de M. De Fautrières, seigneur de Corcheval. »
Histoire de la Bienheureuse Marguerite-Marie et des origines de la dévotion au Cœur de Jésus par M. l’Abbé Em. Bougaud, Paris, Librairie Poussielgue Frères, 1874, p.30.



Fac-similé de l'Acte de Baptême



Retour à la maison


1652 : voeu de chasteté, dans la chapelle du château de Corcheval

A l'âge d'environ quatre ans, Marguerite-Marie est conduite par sa mère chez sa marraine, Mme de Fautrières, au château de Corcheval, qui a désiré l'avoir auprès d'elle. Elle y restera jusqu'au décès de sa marraine, en 1655.

« Sans savoir ce que c'était, je me sentais continuellement pressée de dire ces paroles : « O mon DIeu, je vous consacre ma pureté et je vous fais vœu de perpétuelle chasteté. » Et je les dis, une fois, entre les deux élévations de la sainte messe, que, pour l'ordinaire, j'entendais les genoux nus, quelque froid qu'il fît. Je ne comprenais point ce que j'avais fait, ni ce que voulait dire ce mot de vœu, non plus que celui de chasteté... »
Vie de Sainte Marguerite-Marie Alacoque écrite par elle-même. Texte authentique, Au Monastère de la Visitation Sainte-Marie, Paray-le-Monial, 1924, pp.16-17.



Château de Corcheval
A gauche, la petite chapelle où elle fit son voeu de chasteté


1656 : Première Communion à Charolles

« Mme de Fautrières ne parvint pas à dominer la maladie qui la tourmentait depuis longtemps. Elle mourut en 1655 ; la petite Marguerite, qui n’avait que huit ans, dut être rendue à sa famille. Elle venait de rentrer à Lhautecour, lorsqu’à ce premier malheur s’en ajouta un second, bien autrement grave. Son père, M. Claude Alacoque, mourut à son tour, à la fin de la même année. […] La pauvre veuve accepta courageusement la tutelle de ses cinq enfants, et résolut, à force de démarches, de refaire leur fortune compromise. Seulement, comme ses voyages multipliés ne lui permettaient pas de s’occuper de leur éducation, elle mit pour un moment les deux aînés de ses fils à Cluny ; les deux autres, chez leur oncle M. Antoine Alacoque, curé de Verosvres ; quant à notre sainte enfant, elle fut envoyée à Charolles, chez les Clarisses.
Le silence de ce cloître fervent, l’austérité et les prières continuelles des religieuses, le lever de nuit, leur recueillement et leur modestie lui firent une impression extraordinaire. Elle entrevit que c’était là le genre de vie que Dieu voulait d’elle. »
Histoire de la Bienheureuse Marguerite-Marie et des origines de la dévotion au Cœur de Jésus par M. l’Abbé Em. Bougaud, Paris, Librairie Poussielgue Frères, 1874.

« On me fit communier que j'avais environ neuf ans, et cette communion répandit tant d'amertume pour moi sur tous les petits plaisirs et divertissements, que je n'en pouvais plus goûter aucun, encore que je les cherchais avec empressement ; mais lors même que j'en voulais prendre avec mes compagnes, je sentais toujours quelque chose qui me tirait et m'appelait en quelque petit coin, et ne me donnait point de repos que je ne l'eusse suivi ; et puis, il me faisait mettre en prière, mais presque toujours prosternée, ou les genoux nus, ou faisant des génuflexions, pourvu que je ne fusse pas vue, mais ce m'était un étrange tourment lorsque j'étais rencontrée. »
Vie de Sainte Marguerite-Marie Alacoque écrite par elle-même. Texte authentique, op. cit., pp.17-18.



Ancien couvent des Religieuses Urbanistes



Tour de l'ancien couvent



Première Communion




vers 1660 : Retour aux Janots

L'épouse de son oncle Toussaint Delaroche, qui a repris les affaires de son frère, règne en maîtresse absolue à la maison des Janots.

« Ma mère s’étant dépouillée de son autorité dans sa maison, pour la remettre à quelqu’autres qui s’en prévalurent de telle manière, que jamais elle ni moi ne furent en si grande captivité ; non que j’en veuille blâmer ces personnes en ce que je vais dire, ni croire qu’elles fissent mal en me faisant souffrir, mon Dieu ne me permettait pas cette pensée, mais seulement de les regarder comme instruments dont il se servait pour accomplir sa sainte volonté. Nous n’avions donc plus aucun pouvoir dans la maison, et nous n’osions rien faire sans permission. C’était une continuelle guerre, et tout était fermé sous la clef, en telle sorte que souvent je ne me trouvais pas même de quoi m’habiller pour aller à la sainte messe, que je n’empruntasse coiffe et habits. Ce fut pour lors que je commençai à sentir ma captivité, à laquelle je m’enfonçai si avant, que je ne faisais rien et ne sortais point sans l’agrément de trois personnes (*). »
(*) : Ces trois personnes que Marguerite, dans son parfait esprit de charité, se garde bien de nommer, étaient : 1° sa grand-mère paternelle, Jeanne Delaroche, veuve de Claude Alacoque ; 2° sa tante paternelle, Benoîte Alacoque, femme de Toussaint Delaroche ; 3° sa grand’tante paternelle, Benoîte de Meulin, veuve de Simon Delaroche et mère de Toussaint.
Vie de Sainte Marguerite-Marie Alacoque écrite par elle-même. Texte authentique, op. cit., pp.20-21.



Etang proche de la maison des Janots



Puits où Marguerite-Marie venait puiser l'eau



Bois où elle allait pleurer


« Ne sachant où me réfugier, sinon en quelque coin de jardin ou d’étable, ou autre lieu secret, où il me fut permis de me mettre à genoux pour répandre mon cœur par mes larmes devant mon Dieu, par l’entremise de la très sainte Vierge, ma bonne Mère, à laquelle j’avais mis toute ma confiance ; et je demeurais là des journées entières, sans boire ni manger. Mais cela était ordinaire, et quelquefois quelques pauvres gens de village me donnaient par compassion un peu de lait ou de fruit sur le soir. »
Vie de Sainte Marguerite-Marie Alacoque écrite par elle-même. Texte authentique, op. cit., p.22.



Rocher près duquel elle priait



Rocher près duquel elle priait



Rocher près duquel elle priait


« Et puis, lorsque je retournais au logis, c’était avec une si grande crainte et tremblement, qu’il me semblait être une pauvre criminelle qui venait recevoir sa sentence de condamnation ; et je me serais estimée plus heureuse d’aller mendier mon pain que de vivre comme cela, car souvent je n’en osais prendre sur table. Car du moment que je rentrais à la maison, la batterie recommençait plus fort, sur ce que je n’avais pas pris soin du ménage et des enfants de ces chères bienfaitrices de mon âme ; et sans qu’il me fût loisible de dire un seul mot, je me mettais à travailler avec les domestiques. Ensuite de quoi, je passais les nuits comme j’avais passé le jour, à verser des larmes au pied de mon Crucifix, lequel me fit voir, sans que j’y comprisse rien, qu’il voulait se rendre le maître absolu de mon cœur, et qu’il voulait me rendre en tout conforme à sa vie souffrante ; que c’était pourquoi il se voulait rendre mon maître, en se rendant présent à mon âme, pour me faire agir comme il agissait parmi ses cruelles souffrances, qu’il me faisait voir avoir souffertes pour mon amour. »
Vie de Sainte Marguerite-Marie Alacoque écrite par elle-même. Texte authentique, op. cit., pp.22-23.

Septembre 1669 : Confirmation

Elle reçoit le Sacrement de Confirmation des mains de Mgr Jean de Maupeou (1623-1677), évêque de Chalon-sur-Saône, de passage à Verosvres. Elle ajoute alors le prénom « Marie » à son prénom de baptême.



25 mai 1671 : première visite au parloir de la Visitation de Paray

« Il me fut dit intérieurement ces paroles : « C'est ici que je te veux ». »
Vie de Sainte Marguerite-Marie Alacoque écrite par elle-même. Texte authentique, op. cit., p.57.


Suite : Vie religieuse




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(11ème promesse du Sacré-Coeur à sainte Marguerite-Marie)


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