« Tout Vous confirme, ô Père céleste. Il n'est point une heure qui ne soit votre preuve, il n'est point une heure, si sombre qu'elle soit, où Vous ne soyez présent, il n'est point une épreuve qui ne soit une preuve de Vous. Que je meure de soif dans ce désert, et je dirai encore que ce jour est béni — car je Vous ai vu présent dans votre justice comme je Vous ai vu présent dans votre miséricorde, et je n'ai pas préoccupation des apparences, qui sont la soif et la faim et la fatigue, mais de Vous, qui êtes la réalité. O mon Dieu, aidez-moi à marcher sur la route où Vous-même m'avez engagé, vous souvenant de la Parole de votre Fils qui a dit : « Ce n'est pas vous qui M'avez choisi, mais c est Moi qui vous ai choisi. » » Ernest Psichari (1883-1914), Le voyage du Centurion (Première Partie, chap.V), Louis Conard, Paris, 1916. (Le voyage du Centurion, texte intégral en ligne) |
Lors de l’Angélus de ce dimanche 20 septembre, devant quelques centaines des fidèles présents sur la Place Saint-Pierre dans le respect des règles de distanciation physique, le pape François a commenté l’Évangile du jour, tiré du 20e chapitre de Saint Matthieu, qui raconte la parabole des travailleurs appelés par le Maître de la Vigne. Compte rendu à lire sur Vatican News. Texte intégral des paroles du pape traduites en français sur Zenit.org. |