« Je Te salue, très miséricordieux Cœur de Jésus, Source vivante de toutes les grâces, Unique abri et notre refuge, En Toi je trouve l'éclat de l'espérance. Je Te salue, très compatissant Cœur de mon Dieu, Insondable, vivante source d’amour, D’où jaillit la vie pour l’homme pécheur, Ainsi que la source de toute douceur. Je Te salue, plaie ouverte du Très Saint Cœur, D’où sont sortis les rayons de miséricorde, Et d’où il nous est donné de puiser la vie, Uniquement avec le vase de la confiance. Je Te salue, bonté de Dieu, inconcevable, Jamais mesurée, ni approfondie, Pleine d’amour et de miséricorde, mais toujours sainte, Et cependant Tu es comme une bonne mère qui se penche sur nous. Je Te salue, trône de la miséricorde, Agneau de Dieu, Toi qui offris Ta vie en sacrifice pour moi, Toi devant qui chaque jour mon âme s’abaisse, Vivant en une foi profonde. » Ste Faustine (1905-1938), Petit Journal, (1937, Quatrième cahier, n°1321) Parole et Dialogue, Paris, 2002. |
En ce deuxième dimanche de Pâques, dit de la Divine Miséricorde, le pape François a célébré la Messe en l’église du Santo Spirito in Sassia, à Rome. Dans son homélie, il a expliqué que Jésus, en apparaissant aux Apôtres, les relève avec la miséricorde. Ils deviennent ainsi à leur tour miséricordieux. Il a ainsi invité les fidèles à ne pas rester indifférents et à œuvrer avec miséricorde. Compte rendu de Xavier Sartre à lire sur Vatican News. Texte intégral de l'homélie du pape traduite en français sur le site du Vatican. |