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Lundi de Pentecôte : continuer dans le bon sens. Le CAL se félicite vivement de l'adoption ce jour, par l'Assemblée nationale, de la proposition de loi visant à restaurer la liberté d'organisation des entreprises pour la mise en place de la journée dite "de solidarité", et remercie le Gouvernement pour l'excellent travail d'évaluation de cette mesure et de ses conclusions. Il aura donc fallu quatre années de travail, au cours desquelles l'expertise et la qualité du travail du CAL ont été reconnues par tous, y compris par ses contradicteurs politiques (voir le courrier de félicitation de l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin), près de 200.000 pétitions signées, le soutien de plus de 300 députés, pour venir à davantage de bon sens dans l'application de la loi 2004-626 "raffarinant" le Lundi de Pentecôte. Cependant, le CAL demande au Gouvernement de ne pas s'arrêter au milieu du gué. En effet, la prise en charge de la dépendance ne saurait être financée par des expédients tels que la "taxe Pentecôte", qui demeure une contribution injuste, puisque ne faisant appel qu'à l'effort des salariés, et inacceptable dans son principe, qui instituerait un cas de travail obligatoire non rémunéré, symbole d'époques heureusement révolues. Le CAL demande que la prise en charge de la dépendance soit intégrée, le plus rapidement possible, à la 5° branche de la Sécurité Sociale, chantier nouvellement ouvert par le Président Sarkozy. Ainsi seulement, l'effort de solidarité nationale nécessaire vis à vis de nos anciens pourra retrouver un financement juste, pérenne, et intégré dans un dispositif administratif cohérent. Collectif des Amis du Lundi 26 mars 2008 Contact presse : Jean Dionnot, Président, 06-07-15-79-57 COLLECTIF DES AMIS DU LUNDI (CAL) - 10 rue Denis Poisson - 75017 PARIS |
Cette année encore, le maintien par le Gouvernement du "jour férié mais pouvant être travaillé sans salaire par une partie variable de salariés", à savoir le lundi de Pentecôte, demeure une aberration par laquelle la situation au 5 juin prochain risque fort d'être embrouillée !... Disons pour simplifier que la quasi totalité du secteur public sera en congé, que tout le secteur non salarié (professions libérales, notamment) sera aussi en congé, que les enfants seront en vacances mais que leurs profs seront “collés”, et que le secteur privé risque d’être plutôt au bureau. Quand la “complexitude” crée le désordre !... Le seul point commun entre les salariés du privé et ceux du public est que le Gouvernement leur impose une journée de travail obligatoire sans rémunération. Et pourquoi pas deux l’an prochain ? Il s’agit-là du principe même du travail forcé, bien connu dans certaines dictatures, mais qui demeure inacceptable. Un recours auprès de la Cour de Justice Européenne est en cours sur ce point, et vient d'être reconnu recevable par la Cour. Cerise sur le gâteau, cette taxe discriminatoire aboutit à un rendement économique non démontré, et lorsque l'on regarde les comptes de la CNSA (institution faisant l'objet d'un rapport accablant de la Cour des Comptes) et de la Sécu, on s'aperçoit que cette nouvelle taxe finance essentiellement le désengagement de la Sécu, selon le bon vieux principe des vases communiquants. Comme pour la vignette auto, de qui se moque-t-on ? Non au travail forcé ! Non au désordre ! Le CAL soutient le préavis de grève lancé par la CFTC, et appelle à la grève tous les salariés obligés de travailler sans salaire le 5 juin, lundi de Pentecôte ! Le CAL est soutenu par 110 députés de tous bords, de nombreux élus et responsables associatifs, et plus de 155.000 personnes lui ont apporté leur soutien. |
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La Pentecôte : historique, explications, et proposition de pétition à envoyer au Premier Ministre. |
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Le gouvernement a choisi de financer la solidarité pour les personnes âgées en supprimant un jour férié chrétien. Cela permettrait d'alimenter une nouvelle caisse de la sécurité sociale grâce aux « profits » réalisés ce jour-là par les entreprises. Beaucoup se sont exprimés sur le peu de cas que faisait notre république des fêtes et traditions chrétiennes, et l'Alliance Royale s'associe pleinement à ces critiques. La proposition amusante, suggérée par quelques amis, de supprimer le 14 juillet et de transférer la fête nationale au 15 août, au demeurant déjà férié, nous convient parfaitement, vous vous en doutez. Beaucoup, avec plus ou moins de bonheur, se sont également exprimés sur l'efficacité d'une telle mesure. A côté du meilleur, le plus incongru a été entendu, jusqu'à l'éternelle dénonciation par la gauche révolutionnaire d'un complot patronal. Pour se justifier, le gouvernement a prétendu que cette cotisation ne diminuerait pas le pouvoir d'achat des salariés : c'est une vue de l'esprit, car en économie, comme en physique, tout se transforme, rien ne se crée. Sur ce sujet, l'Alliance royale retient entre autre trois choses : > c'est une nouvelle taxe sur la main d'œuvre, ce qui n'est pas vraiment favorable à l'emploi ; > c'est un coût fixe supplémentaire pour les entreprises quelle que soit la richesse qu'elles parviendront à produire ce jour-là, et non pas une « journée de profit » ; > enfin c'est une pierre de plus au système éléphantesque des charges sociales, avec la création de cette caisse supplémentaire contrôlée par des pouvoirs syndicaux parallèles. ... suite du communiqué sur le site de l'Alliance Royale. |
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