Neuvaine au Cœur Sacré de Jésus du Padre Pio (1887-1968)
Tous les jours :
O Jésus, qui avez dit : "En vérité, je vous le dis, demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l'on vous ouvrira !" voici que je frappe, je cherche et je demande la grâce …
Pater, Ave, Gloria.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance et j'espère en vous.
O Jésus, qui avez dit : "En vérité, je vous le dis, tout ce que vous demanderez à mon Père en mon Nom, il vous l'accordera !" voici qu'en votre Nom je demande la grâce …
Pater, Ave, Gloria.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance et j'espère en vous.
O Jésus, qui avez dit : "En vérité, je vous le dis, le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point !" voici qu'en m'appuyant sur l'infaillibilité de vos saintes paroles je demande la grâce …
Pater, Ave, Gloria.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance et j'espère en vous.
Prière : O Cœur Sacré de Jésus, à qui il est impossible
de ne pas avoir compassion des malheureux, ayez pitié de nous, pauvres
pécheurs, et accordez-nous la grâce que nous vous demandons, par
l'intercession du Cœur Immaculé de Marie, notre tendre Mère.
Saint Joseph, père adoptif du Sacré-Cœur de Jésus, priez pour nous.
Salve Regina.
Neuvaine au Cœur miséricordieux de Jésus
Neuvaine à la Divine Miséricorde
Neuvaine à Saint Joseph (1)
Prières quotidiennes pour la neuvaine
Je vous salue Joseph, vous que la grâce divine a comblé ; le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux ; vous êtes béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de votre virginale Épouse est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, priez pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daignez nous secourir à l’heure de notre mort. Amen
Je vous salue Marie...
Marie et Joseph, offerts sur la terre d’Israël, Marie et Joseph morts à eux-mêmes, source du blé nouveau, source de l’Amour divin sur terre, engendrez-nous dans votre trinité sur terre à la sainteté. Faites que nous puissions nous revêtir des vêtements blancs de la naissance et de la Résurrection.
Premier jour : saint Joseph, mémoire du Père
« Joseph fit comme l’Ange du Seigneur lui avait prescrit : il prit chez lui son Épouse; et sans qu’il l’eût connue, elle enfanta un fils, auquel il donna le nom de Jésus. » (Mt 1,24)
Tout arbre a ses racines propres, et chaque arbre donne un fruit qui lui est propre.
Mais tout arbre ne se développe pas n’importe où, n’importe comment !
Chaque terre a une consistance, une composition plus riche qu’une autre terre.
Il en est de même de notre filiation : « Généalogie de Jésus-Christ, fils de David, fils d’Abraham » (Mt 1,1)…… « Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie de laquelle naquit Jésus, que l’on appelle Christ. » (Mt 1,16)
Fils et fille d’homme et de femme, nous nous reconnaissons en fils de Dieu par Jésus-Christ :
« Jésus, Fils de Dieu, aie pitié de moi pêcheur » ( prière de Jésus )
Joseph est mémoire du Père, il reconnaît la voix du Père, se lève la nuit, se retire en Égypte (« D’Égypte j’ai appelé mon fils » Os 11,1), puis revient au pays d’Israël (« De toi sortira un chef qui sera pasteur de mon peuple Israël » Mi 5,1).
Joseph permet donc que s’accomplisse l’oracle des prophètes : « Lorsqu’ils eurent accompli tout ce qui était conforme à la Loi du Seigneur » (Lc 2,39a) et « chaque année ses parents se rendaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque » (Lc 2,41).
A l’image de Joseph, puissions-nous vivre nos vies dans l’écoute et le respect de nos pères et mères de la terre afin de faire mémoire de notre créateur au-delà de nos familles humaines.
Ce matin, disons avec saint Joseph : « Je te fiance à moi à jamais. Je te fiance à moi pour la justice et le droit, par la grâce et la miséricorde, je te fiance à moi par la fidélité, et toi, tu connaîtras le Seigneur. » ( Os 2,21-22 )
Deuxième jour : saint Joseph un guide pour l’homme d’aujourd’hui
« Marie sa mère était fiancée à Joseph ; or, avant qu’ils eurent mené vie commune… » (Mt 1,18)
Joseph fiancé, futur époux, envisage Marie comme une partenaire, une mère de famille pour qui il prépare un logis familial, il prépare un statut social : « Joseph parce qu’il était de la maison de la lignée de David monta en Judée afin de s’y faire inscrire avec Marie » ( Lc 2,4 et 5a)
Joseph, chaque matin œuvre physiquement, il a un métier dur. Il fournit à sa famille le pain quotidien et enseigne à Jésus la tradition. Il prépare et danse le Shabbat, se rend au Temple et assure une vie sociale pour sa famille à Nazareth.
Saint Joseph peut être appelé le saint de l’incarnation.
Il est frère consacré au monastère de Nazareth. Il est veilleur du silence. Mais en homme protecteur, il sera élève du Père pendant toute sa retraite à Nazareth.
Fidèle et juste, saint Joseph va se souscrire aux temps de ce petit monastère, maison du Père sur terre.
Que saint Joseph nous enseigne le respect des temps de prières comme purent les respecter les parents de sainte Thérèse de Lisieux. (Zélie Martin dans sa correspondance familiale rend grâce à saint Joseph pour tous les exaucements obtenus dans le confiance et la patience).
N’hésitons pas à demander à saint Joseph d’être et de demeurer pour nous un modèle d’homme et de père juste et responsable dont le monde d’aujourd’hui a besoin pour sauver la famille.
Troisième jour : saint Joseph et la maison familiale
« Ils retournèrent en Galilée, à Nazareth, leur ville » (Lc 2,39b)
Après le temps de l’exil, le temps du désert, l’inquiétude, saint Joseph nous montre le chemin de Nazareth.
Nazareth est une école du silence, de la patience et de l’apprentissage à la pauvreté.
Nazareth est un atelier où se tisse le tissu le plus noble, l’écharpe royale !
Nazareth est un atelier où se construit le tabernacle au bois le plus noble.
C’est un temple familial où s’amplifie la mémoire du Père.
C’est un anneau fermé au nom de l’Alliance : « Je sais qu’à Nazareth, Marie pleine de grâces, tu vis très pauvrement, ne voulant rien de plus » ( sainte Thérèse, poésie : « Pourquoi je t’aime, ô Marie »)
Dans cet enseignement au quotidien de la vie de famille, saint Joseph nous aide à comprendre que « vivre d’amour, ce n’est pas sur la terre fixer sa tente au sommet du Thabor. Avec Jésus, c’est gravir le calvaire, c’est regarder la croix comme un trésor » (sainte Thérèse PN17)
Que nos maisons puissent accueillir Marie et l’Enfant-Jésus.
Ne craignons pas d’accueillir la sainte famille à notre table.
Saint Joseph, protecteur de la famille, aidez-nous à comprendre le sens de la paternité véritable.
Quatrième jour : saint Joseph modèle d’incarnation
« Joseph résolut de la répudier sans bruit. Il avait formé ce dessin, quand l’Ange du Seigneur lui apparut en songe. »( Mt 1,19b )
Saint Joseph devant l’Annonciation s’inscrit à l’école de l’acceptation d’une solitude humaine totale pour s’unir finalement à Marie.
Avec la Sainte Vierge il nous présente la Foi, l’Espérance et la Charité comme choix de communion fraternelle dans une incarnation au jour le jour. Saint Joseph nous explique combien il est important de ne pas rompre des liens affectifs et conjugaux quand une difficulté, une déception, un sentiment de solitude nous envahit.
Car au-delà de la souffrance, de la révolte, se présente à nous bien souvent le choix entre l’humilité et l’orgueil ; le choix entre l’amour et la haine ; le choix entre la vie et la mort.
Soyons donc attentifs à tout message de foi. Devenons vigilants aux annonces du Seigneur qui vient toujours pour nous guérir, nous faire grandir dans l’épreuve.
Le Seigneur attend de nous une incarnation au quotidien, dans les actes de la vie de tous les jours : « Que quand le Seigneur viendra, Il ne nous trouve pas endormi. » (séquence d’une prière à l’Archange saint Gabriel).
Saint Joseph aidez-nous à triompher de toute solitude, de toute révolte, de tout divorce.
Cinquième jour : saint Joseph lumière dans nos nuits
« Or, lorsque les Anges les eurent quittés pour le ciel, les bergers se dirent entre eux : allons donc à Bethléem…Ils vinrent donc en hâte et trouvèrent Marie, Joseph et le nouveau-né couché dans la crèche. » (Lc 2, 15a et 16)
Quand nous désirons très fort quelque chose et que nous ne l’obtenons pas, la souffrance fait son apparition. Quand la nuit occulte nos pensées et nos décisions, nous sommes dans un désarroi parfois proche du désespoir.
Saint Joseph dans l’inquiétude folle de ne pas offrir à sa famille un lieu pour la nativité, devant le non du monde et devant la nuit des cœurs des hommes reçoit dans l’obéissance et dans la confiance le lieu de l’oubli total : une crèche, un reposoir, un hôpital de pauvres.
Et c’est ce lieu d’aboutissement de toute inquiétude et de toute obscurité qui recevra l’éclairage le plus doux, la lumière la plus forte : l’étoile de la Rédemption.
Au-delà des nuits saint Joseph nous apprend à adorer, à prendre Jésus contre notre cœur, à embrasser sa tête délicate.
Pour le feu que tu entretiens afin de garder la lampe allumée dans l’exil, dans Bethléem, à Nazareth : saint Joseph sois remercié !
Saint Joseph, berger de l’Agneau, conduisez-nous au long des nuits vers la crèche de nos vies.
Sixième jour : saint Joseph protecteur dans la maladie
« Joseph, fils de David, ne crains point de prendre chez toi Marie, ton épouse : car ce qui a été engendré en elle vient de l’Esprit-Saint ; elle enfantera un fils auquel tu donneras le nom de Jésus. » (Mt 1,20b)
Toute atteinte physique ou psychologique peut entraver notre marche.
Tout état de douleur ou de souffrance peut éveiller en nous dépit, rejet, voir désir de mort.
Tout ce qui nous semble acquis, réussi, peut soudainement basculer, disparaître, s’anéantir, devenir le vide total.
Saint Joseph en présentant Jésus au Temple, avec Marie, remplit le vide causé par la révélation de Anne et de Syméon. Il donne le nom de Jésus au monde.
Au-delà de toute souffrance, saint Joseph nous désigne le Sauveur. Il nous montre le Père.
Saint Joseph dit oui, il se laisse couvrir par l’Esprit, il reconnaît le nom de Dieu.
Saint Joseph, aidez-nous à ne pas nous replier sur nous-même dans l’épreuve ; encouragez-nous à nous ouvrir à la seule volonté du Père.
Septième jour : saint Joseph protecteur de l’Église
« Après leur départ, l’Ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph et lui dit : » Lève-toi, prends l’enfant et sa mère et fuis en Égypte » (Mt 2,13a) … L’Ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph et lui dit : « Lève-toi, prends l’enfant et sa mère, et reviens au pays d’Israël » (Mt 2,19b et 20a)
Quand le voile de Marie se souleva au souffle de l’Esprit, elle reconnut la voix du Père.
Et au moment de ce « oui », la Sainte Vierge prenait déjà sous son manteau le premier consacré de Nazareth : saint Joseph.
Quand Joseph sentit le souffle de l’Esprit, tous ses sens furent sollicités. Il reconnut au fond de lui la voix, le parfum et la couleur de l’Esprit.
Ainsi, saint Joseph, gardien de l’Agneau, protecteur de la sainte Famille, est devenu par la grâce du Père le gardien de l’Eglise : « ce qui a été engendré en elle vient de l’Esprit-Saint et elle enfantera un fils auquel tu donneras le nom de Jésus ».
A saint Joseph est donné la reconnaissance du fait. Car Marie passe par Joseph pour lui confirmer la voile mystérieux de la virginité et de l’Incarnation.
Joseph en prenant Marie et Jésus sous sa protection viens le premier pour voiler le mystère.
Joseph se tient debout le premier devant le « oui. »
Joseph se tient debout le premier devant l’Église.
Saint Joseph, enseignez-nous à respecter l’Église, à lui être toujours obéissant, dans l’Eucharistie et dans la prière fidèle.
Huitième jour : saint Joseph est au cœur de la communion fraternelle
« Mon enfant, …vois ! ton père et moi, nous te cherchions. » (Lc 2,48b)
Par notre union avec le Cœur de Marie vient le règne d’amour du Cœur doux et humble de Jésus.
Par l’union aux Cœurs de Jésus et de Marie, nous communions au cœur doux et juste de Joseph.
Par cette sainte communion familiale, nous reconnaissons l’union de tous les cœurs au nom du Père.
Saint Joseph nous garantit la sainteté du mariage et la garde du sacrement de l’Alliance en communiant à l’union de la Vierge Marie. ( l’époux étant garant du fruit et l’épouse étant porteuse du fruit) : « L’arbre du Vie qui était gardé par un Chérubin au glaive de feu, voici qu’il habite en Marie, la Vierge pure ; Joseph le garde. Le Chérubin a déposé son glaive, car le fruit qu’il gardait a été envoyé du haut du ciel. » (saint Ephrem, sermon)
Saint Joseph, apprenez-nous à rendre grâce pour la communion fraternelle au sein de nos familles et qu’il nous soit donné de consacrer tous ceux que nous aimons et tous ceux que nous aimons moins à la sainte Famille.
Neuvième jour : saint Joseph patron de la bonne mort et des âmes du Purgatoire
« Au bout de trois jours, ils le trouvèrent dans le temple. » (Lc 2,46a)
Après sa mort, Jésus est descendu rechercher Adam.
A la Résurrection, nous contemplons le Mystère de Pâques.
Mourir d’une mort, de dix morts, de mille morts; mourir de la maladie, de l’abandon; mourir du désir; mourir intellectuellement; mourir de dépression : il y a tant de morts différentes et possibles !
Pourtant, il en est une qui demeure la seule mort véritable : la mort d’Amour !, avec la Vierge Marie et avec saint Jean, debouts dans la confiance au pied de la Croix.
Saint Joseph peut nous tendre la main au moment de notre mort physique.
Saint Joseph peut intercéder pour nous quand nous prions pour nos fidèles défunts.
Saint Joseph protecteur des âmes du Purgatoire l’est d’autant plus qu’il a accepté et partagé pour nous une incarnation totale.
« Seigneur, mon Dieu, j’accepte dès maintenant de votre main, volontiers et de bon cœur, tel genre de mort qu’il vous plaira, avec toutes ses angoisses, ses peines et ses douleurs. »
« Domine Deus, jam nunc quodcumque mortis genus pro tibi placuerit, cum omnibus suis angoribus, poenis ac doloribus, de manu tua aequo ac libenti animo suscipio. »
Jésus, Marie, Joseph, priez pour nous au moment de la mort.
Neuvaine à Saint Joseph (2)
Prières quotidiennes pour la neuvaine
Je te salue Joseph, toi que la grâce divine a comblé ; le Sauveur a reposé dans tes bras et grandi sous tes yeux ; tu es béni entre tous les hommes et Jésus, l’Enfant divin de ta virginale épouse est béni. Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu, prie pour nous dans nos soucis de famille, de santé et de travail, jusqu’à nos derniers jours, et daigne nous secourir à l’heure de notre mort. Amen.
Notre Père…, Je vous salue Marie..., Gloire au Père…
Premier jour : saint Joseph, mémoire du Père
A ton image, saint Joseph, puissions-nous vivre nos vies dans l’écoute et le respect de tous ceux et celles que nous rencontrons. Aide-nous à nous recevoir comme fils et fille du Père.
Deuxième jour : saint Joseph, un guide pour l’homme d’aujourd’hui
Saint Joseph, tu peux être appelé le saint de l’incarnation. Nous te demandons, saint Joseph, d’être et de demeurer pour nous un modèle d’homme et de père juste et responsable dont le monde d’aujourd’hui a besoin pour sauver nos familles tellement menacées.
Troisième jour : saint Joseph et la maison familiale
Que nos maisons puissent accueillir Marie et l’Enfant-Jésus. Ne craignons pas d’accueillir la Sainte Famille à notre table. Saint Joseph, protecteur de la famille, aide-nous à comprendre le sens de la paternité véritable afin que les pères de familles retrouvent leur identité profonde.
Quatrième jour : saint Joseph, modèle d’incarnation
Saint Joseph, devant l’Annonciation tu te mets à l’école de l’acceptation d’une solitude humaine totale pour vivre finalement avec Marie. Saint Joseph, explique-nous combien il est important de ne pas rompre les liens affectifs et conjugaux dans l’épreuve. Aide-nous dans nos familles à triompher de toute solitude, de toute révolte, de tout divorce et de toute séparation.
Cinquième jour : saint Joseph, lumière dans nos nuits
Saint Joseph, tu as été dans l’inquiétude de ne pas offrir à ta famille un lieu pour la nativité et tu as reçu dans l’obéissance et dans la confiance le lieu de l’oubli total : la crèche. Au-delà de nos nuits et de nos pauvretés, saint Joseph, apprends-nous à accueillir l’Enfant-Jésus dans notre cœur.
Sixième jour : saint Joseph, protecteur dans la maladie
Saint Joseph, aide-nous à ne pas nous replier sur nous-même dans l’épreuve et la maladie ; encourage-nous à nous ouvrir à la seule volonté du Père sur le chemin des béatitudes. Nous te confions spécialement nos malades.
Septième jour : saint Joseph, protecteur de l’Eglise
Saint Joseph, gardien de l’Agneau, protecteur de la Sainte Famille, tu es devenu, par la grâce du Père, le gardien de l’Eglise. Enseigne-nous à aimer l’Eglise, à lui être toujours fidèle dans l’Eucharistie, dans la prière et par le témoignage de notre amour inconditionnel.
Huitième jour : saint Joseph est au cœur de la communion fraternelle
Par l’union aux Cœurs de Jésus et de Marie, nous communions au cœur doux et juste de Joseph. Saint Joseph, apprend-nous à être amour et instrument de paix dans notre vie quotidienne pour tous ceux et celles qui attendent notre aide.
Neuvième jour : saint Joseph, patron de la bonne mort et des âmes du Purgatoire
Jésus, Marie, Joseph, priez pour nous et tous les membres de nos familles au moment de la mort. Nous vous confions spécialement tout ceux et celles qui nous sont chers, surtout nos défunts. Que le Seigneur les accueillent dans son paradis où tous ensemble ils jouissent de la béatitude éternelle.
Neuvaine à la Sainte Trinité par l'intercession de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face
Père éternel,
qui es aux Cieux où tu couronnes les mérites de ceux qui, en ce monde, te servent avec fidélité ; par l'amour si pur que te porta ta petite enfant, Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face, jusqu'à espérer dans sa filiale confiance « que tu ferais sa volonté au Ciel ayant elle-même toujours fait la tienne sur la terre », soit sensible à son intercession, et, par elle, je te supplie d'exaucer la prière que je t'adresse avec foi et confiance.
Notre Père…, Je vous salue Marie…, Gloire au Père…
Fils éternel du Père,
qui as promis de récompenser les plus légers services rendus au prochain en ton nom, jette un regard d'amour sur ta petite épouse, Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face, qui eut à cœur, avec tant de zèle, le salut des âmes. Pour tout ce qu'elle a fait et souffert ici-bas, rappelle-toi sans cesse son vœu de « passer son Ciel à faire du bien sur la terre » et, par ce vœu, accorde-moi la grâce pour laquelle je te prie avec soumission et amour.
Notre Père…, Je vous salue Marie…, Gloire au Père…
Esprit Saint et Eternel,
qui, par tant de grâces d'amour, as perfectionné l'âme de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face, je te supplie par la docilité avec laquelle elle répondit à tes prévenances, d'exaucer les supplications qu'elle t'adresse, et te souvenant de sa promesse de « faire tomber du Ciel une pluie de roses », accorde-lui pour moi, ô Esprit Saint, la réalisation de cette promesse.
Notre Père…, Je vous salue Marie…, Gloire au Père…
Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face,
qui dans ta courte existence n'as cherché que la vérité dans la pureté, la confiance et l'abandon de tout ton être à Dieu, maintenant que tu vis dans la lumière du Père, jette un regard d'amour sur moi qui me confie pleinement en toi. Présente mon intention, intercède auprès de Notre Mère, la Vierge Immaculée dont tu as été la « fleur » privilégiée, auprès de la Reine du Ciel « qui te sourit au matin de la vie ».
Supplie-la, elle, si puissante sur le Cœur de Jésus, de m'obtenir la grâce que je désire tant, et de l'accompagner de sa bénédiction qui me fortifie durant ma vie, me défende au moment de ma mort, et me conduise à la bienheureuse éternité.
Amen.
Salut, ô Reine… (Salve Regina).
Neuvaine à Sainte Thérèse
Premier jour : Présence de Dieu
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, qui avez vécu sous le regard de Dieu, ravivez en moi le sentiment de la divine présence. Aidez-moi à remplir tous les devoirs de ma journée. Que mon travail, accompli dans l'intention de plaire à Dieu, soit une prière continuelle.
Chaque jour :
Ave Maria
Sainte Thérèse, priez pour moi, et présentez au Seigneur mon humble demande : …
Deuxième jour : Humilité
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, faites que j'aime comme vous la vie cachée. En témoignage de la sincérité de ma prière, je veux m'effacer, me faire oublier, je ne dirai rien qui puisse me faire valoir.
Chaque jour :
Ave Maria
Sainte Thérèse, priez pour moi, et présentez au Seigneur mon humble demande : …
Troisième jour : Confiance
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, je voudrais m'abandonner filialement à la volonté de Dieu, et me soumets d'avance à tout ce que Dieu décidera. Je veux, à votre exemple, le servir fidèlement. A toute heure, je dirai comme vous : "Ma joie est la volonté sainte de Jésus, mon unique amour".
Chaque jour :
Ave Maria
Sainte Thérèse, priez pour moi, et présentez au Seigneur mon humble demande : …
Quatrième jour : Charité
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, inspirez-moi ce que je dois faire pour prouver à Dieu mon amour : visite d'un pauvre, aumône qui soit vraiment un sacrifice. Je prends aussi la résolution de veiller sur mes paroles afin de ne blesser personne.
Chaque jour :
Ave Maria
Sainte Thérèse, priez pour moi, et présentez au Seigneur mon humble demande : …
Cinquième jour : Devoir d'Etat
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, je veux m'oublier moi-même et ne songer qu'à satisfaire les personnes de mon entourage. Je ferai de mon mieux pour leur rendre la vie agréable, non seulement par un mouvement d'affection naturelle, mais en vue de plaire à Dieu
Chaque jour :
Ave Maria
Sainte Thérèse, priez pour moi, et présentez au Seigneur mon humble demande : …
Sixième jour : Esprit de pénitence
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, dites à Notre-Seigneur que, pour l'expiation de mes péchés, je voudrais m'unir à sa douloureuse Passion. Offrez-lui tous les petits sacrifices que je m'imposerai aujourd'hui. Qu'ils soient comme autant de roses que vous effeuillerez à ses pieds.
Chaque jour :
Ave Maria
Sainte Thérèse, priez pour moi, et présentez au Seigneur mon humble demande : …
Septième jour : Zèle
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, aujourd'hui encore, je veux prier, travailler, me priver pour la conversion des pécheurs, la consolation des affligés, la délivrance des âmes du Purgatoire. Cet apostolat de la prière et de la souffrance que vous avez exercé vous-même, n'est-il pas un des plus efficaces ?
Chaque jour :
Ave Maria
Sainte Thérèse, priez pour moi, et présentez au Seigneur mon humble demande : …
Huitième jour : Pureté d'âme
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, je voudrais passer cette journée sans commettre une seule faute. Comme vous, je ne refuserai rien à Dieu ; je ferai tout ce qu'il me commandera par la voix de ma conscience.
Chaque jour :
Ave Maria
Sainte Thérèse, priez pour moi, et présentez au Seigneur mon humble demande : …
Neuvième jour : Communion
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, préparez-moi vous-même à recevoir Notre-Seigneur, ou, si je ne le puis, à m'unir à lui en me conformant à sa sainte volonté. Faites que je dise sincèrement et du fond du cœur : "Non ce que je veux, mais ce que vous voulez."
Mon Dieu, si vous daignez m'exaucer, par l'intermédiaire de Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, que ma fidélité à vous servir vous dise ma reconnaissance.
Chaque jour :
Ave Maria
Sainte Thérèse, priez pour moi, et présentez au Seigneur mon humble demande : …
Neuvaine à Saint Benoît
Je crois en Dieu, Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour moi.
Saint Benoît, intercède pour nous.
Je crois en Dieu, Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour moi.
Saint Benoît, intercède pour nous.
Je crois en Dieu, Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour moi.
Saint Benoît, intercède pour nous.
Je crois en Dieu, Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour moi.
Saint Benoît, intercède pour nous.
Je crois en Dieu, Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour moi.
Saint Benoît, intercède pour nous.
Je crois en Dieu, Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour moi.
Saint Benoît, intercède pour nous.
Je crois en Dieu, Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour moi.
Saint Benoît, intercède pour nous.
Je crois en Dieu, Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour moi.
Saint Benoît, intercède pour nous.
Je crois en Dieu, Notre Père, Je vous salue Marie (3 fois), Gloire au Père.
Cœur Sacré de Jésus, j'ai confiance en vous. Cœur Immaculé de Marie, priez pour moi.
Saint Benoît, intercède pour nous.
Neuvaine à Sainte Philomène
Prières quotidiennes pour la neuvaine
Daigne prier pour moi pendant cette neuvaine faite en ton honneur. Tu sais ce que j'espère de ton intercession, (préciser ici, dans les termes que l'on voudra, la faveur que l'on désire). Sainte Philomène, en qui le saint Curé d'Ars mettait toute sa confiance, moi aussi j'ai confiance en toi !
Sainte Philomène, vierge et martyre, prie pour nous.
Notre Père…, Je vous salue Marie..., Gloire au Père…
Premier jour
Par la pensée, ô sainte Philomène, je descends en cette catacombe romaine où vos restes sacrés sont demeurés ensevelis pendant des siècles. Je vénère ces reliques d'une Vierge martyre des premiers temps de l'Eglise, puis je lis sur les trois briques qui fermaient votre tombeau cette suave inscription : PAXTE CUM FI LUMENA ! LA PAIX SOIT AVEC TOI FILLE DE LUMIÈRE. Sainte Philomène, ton nom signifie Bien-aimée. Oui, en vérité, tes précoces vertus, ta pureté virginale, ton courage dans le sacrifice t'ont valu d'être ici-bas, avant même de l'être au Ciel, une de ces âmes que Jésus aima particulièrement. Et à présent, après ton immolation sanglante, tu reposes dans la paix, dans l'éternelle paix !
O sainte Philomène, obtiens-moi de fuir le péché, de rester dans la grâce de Dieu et de posséder ainsi toujours la paix de la bonne conscience, afin que moi-même j'aie une place privilégiée dans le Cœur de mon Dieu.
Deuxième jour
O sainte Philomène, ce n'est qu'à l'aurore du dix-neuvième siècle que ton humble tombe est sortie, comme par hasard, de l'oubli. Jusque-là on avait ignoré jusqu'à ton existence et à ton nom. Comment s'est passée ton existence sur la terre ? Nous l'ignorons. Nous savons seulement qu'elle s'acheva en peu d'années, et qu'elle fut humble comme ton tombeau.
Oh ! La vie cachée, la vie modeste et obscure, comme tu la relèves aux yeux du chrétien ! C'est la vie de Jésus à Nazareth et ce fut la tienne, douce vierge martyre. Apprends-moi à l'apprécier et à l'aimer. Fais-moi mépriser et fuir, comme elles le méritent, les vanités d'un monde coupable. Qu'à ton exemple, je m'attache à mes devoirs d'état, si humbles, si laborieux soient-ils, afin qu'en les remplissant j'accomplisse, moi aussi, la divine Volonté.
Troisième jour
O sainte Philomène, l'Eglise t'a décerné le titre de Vierge. Tu as été immolée au printemps de ta vie, et tu étais restée pure au milieu d'un monde païen corrompu et corrupteur. Tu es comme un beau lys ensanglanté dont le parfum, traversant les âges, est parvenu jusqu'à nous. N'est-ce pas même ton amour de la virginité qui te fit accepter si généreusement le martyre ?
Les temps où nous vivons, ô petite sainte, sont-ils moins mauvais que ceux où tu as vécu ? A combien de dangers ne sont pas exposées les âmes croyantes ! Garde-moi au milieu de ce monde. Donne-moi en même temps l'amour de la prière qui écarte les périls et qui, comme le disait ton saint ami le Curé d'Ars, "rend une âme pure toute-puissante sur le Cœur si bon de Notre-Seigneur".
Quatrième jour
O sainte Philomène, avec le titre de vierge, l'Eglise t'a décerné le titre de martyre. Cette palme, peinte sur ta tombe, prouve en effet que tu as bien donné à Jésus-Christ le témoignage suprême de l'amour. A treize ans, tu as quitté la terre, alors que la vie te souriait, pleine de promesses ; mais pour éviter la mort il eût fallu renier Dieu, et tu ne l'as pas voulu.
Sainte martyre, tu nous apprends le prix de notre âme et combien précieux est le trésor de notre foi. Tu nous apprends encore que nous devons tout endurer, tout souffrir plutôt que d'abandonner nos pratiques religieuses et l'obéissance aux lois de l'Eglise. Obtiens-moi la force dans les épreuves, dans les peines, dans les maladies, avec le courage de faire, pour l'amour de Dieu, tous les sacrifices nécessaires.
Cinquième jour
O sainte Philomène, c'est dans le sanctuaire de Mugnano, en Italie, que tu as d'abord manifesté ton bienveillant pouvoir. A peine tes restes précieux y furent-ils honorés que les miracles dus à ton intercession se multiplièrent. C'est au pied de ton reliquaire que fut guérie, en particulier, une mourante amenée de France, celle-là même qui avait fondé à Lyon l'œuvre admirable de la Propagation de la Foi. Cette guérison poussa le souverain Pontife Grégoire XVI à approuver ton culte déjà si répandu. "C'est une grande sainte" avait déjà dit de toi le pape Léon XII.
Oui, ô bien-aimée du Christ, nous le croyons, tu es vraiment une grande Sainte. Un village de la terre de France, Ars, a été aussi le témoin de tes prodiges. Ta puissance n'a point diminué. On t'a appelée une "sainte petite Thérèse des premiers temps de l'Eglise" : comme ton angélique sœur ne passes-tu pas ton Ciel à faire du bien sur la terre ?
Sixième jour
O sainte Philomène, pendant trente années, un prêtre de France que l'Eglise a canonisé, le Curé d'Ars, n'a cessé de t'invoquer et de te faire invoquer. Il t'appelait sa chère petite Sainte, son consul, sa chargée d'affaires près de Dieu. C'est par toi que saint Jean-Marie Vianney a obtenu de Dieu des grâces et des miracles sans nombre. A sa demande tu guérissais les corps, tu convertissais les âmes. En vérité tu paraissais lui obéir comme un enfant à son père.
Une prière fervente, ô douce Vierge Martyre, trouve toujours le chemin de ton cœur. C'est pourquoi, m'inspirant de l'exemple du saint Curé d'Ars, je fais instance auprès de toi. Tu mettais parfois sa patience à l'épreuve. Si tu veux éprouver ma Foi, donne-moi, avec la persévérance dans la prière, la confiance assurée que Dieu, prié par toi, m'accordera la grâce la meilleure.
Septième jour
O sainte Philomène, il est conté dans la vie du saint Curé d'Ars que tu lui apparaissais pour le réconforter au milieu des luttes qu'il avait à soutenir contre l'enfer. Tu "descendais vers lui du Ciel, belle et lumineuse", lui apportant un reflet des divines splendeurs. Ne disait-il pas en son langage simple : "Avec la sainte Vierge et sainte Philomène, nous nous connaissons bien" ?
Vaillante martyre, moi aussi je désire vous bien connaître, toi et la Vierge bénie qui écrase la tête du serpent infernal. Satan multiplie les assauts contre les âmes baptisées ; il en veut spécialement aux âmes des plus petits. O petite sainte du Curé d'Ars, rends sa rage impuissante. Donne-moi une horreur toujours plus grande du péché, afin qu'il n'ait sur moi aucun empire. Fortifie-moi au milieu des tentations et donne-moi la victoire.
Huitième jour
O sainte Philomène, du monde disparaîtraient peu à peu les Vérités de l'Evangile si, de temps en temps, il ne nous les montrait vivantes dans une âme pleine de Foi. Au sortir de la grande révolution qui accumula tant de ruines, tu as été comme la messagère de Dieu et l'apôtre du surnaturel. En beaucoup d'âmes tes prodiges ont rallumé ou ranimé la Foi.
Ta mission, ô Vierge du Christ, n'est pas achevée encore. Le désir des jouissances, les passions mauvaises, les doctrines perverses, la presse impie et immorale ont exercé leurs ravages en trop d'âmes de notre temps et de notre pays. Des criminels se sont acharnés à chasser la religion consolatrice du cœur des humbles et des petits. Combats, je t'en prie, leur action perverse ; fais que moi-même j'exerce autour de moi une chrétienne et salutaire influence.
Neuvième jour
O sainte Philomène, après les épreuves de la terre, après les tourments du martyre, là-haut tu reposes dans la paix. Tu jouis de la vision sans fin de Dieu que tu as tant aimé. De toutes tes peines, de toutes tes souffrances il ne te reste plus que la joie de les avoir acceptées généreusement et une éternelle gloire. Que tu es heureuse !
Pour moi, c'est encore l'exil loin de la maison de notre Père. Vois les regards de mon cœur dirigés vers toi. Ecoute ma prière fervente. Cette neuvaine ne s'achèvera pas sans que je te supplie, ô douce et puissante Philomène, de me continuer ton aide et ta protection. Par toi, j'implore la grâce finale, le bonheur de contempler, avec toi et le saint curé d'Ars, Celui qui fait au Ciel les éternelles délices des élus.
Neuvaine à Marie qui défait les noeuds
La Vierge Marie veut et peut dénouer les nœuds qui entravent nos vies : disputes familiales, violence, ressentiment entre époux, divorce, dépendances aux drogues, à l’alcool, avortement, dépression, chômage, endettement, peurs, solitude, orgueil… Consolatrice des affligés, elle nous invite à les lui confier au cours d'une neuvaine balisée par des prières propres à chaque jour.
Un site comportant prières, témoignages et boutique en ligne :
Neuvaine aux Bienheureux Louis et Zélie Martin
Neuvaine à Notre-Dame de la Délivrande
Invocations à réciter chaque jour après la prière
« Notre Père », « Je vous salue Marie », « Gloire au Père »
O Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous.
Cœur Immaculé de Marie, priez pour nous.
Notre-Dame de la Délivrande, priez pour nous.
Premier jour - Jour d'invocation
O très douce, très bonne Vierge Marie, Mère de Dieu et ma Mère, me voici à vos pieds dans ce sanctuaire béni, où vous ne cessez de faire éclater votre puissance et votre bonté ! Je viens implorer votre miséricorde et votre secours !
Jamais vous n'avez abandonné aucun de ceux qui ont eu recours à vous. Vous ne refuserez donc pas, ô Mère bien-aimée, de vous intéresser à moi dans les nécessités qui m'accablent.
Ne méprisez pas, ô ma Mère, mes humbles prières mais daignez les exaucer.
Deuxième jour - Jour de demandes
O divine Marie, mon unique Souveraine, soyez ma véritable consolation !
Adoucissez mes peines, éclairez les ténèbres de mon âme, guidez-moi dans le chemin de la vie, soyez mon trésor dans ma pauvreté, ma force et mon refuge dans mes misères et mon espérance à l'heure de ma mort.
Prenez pitié de moi, ô ma Sainte et bonne Mère, accordez-moi ce que je vous demande, obtenez-moi les grâces dont j'ai si grand besoin, particulièrement celles que je viens implorer auprès de vous.
Troisième jour - Jour d'intercession
O Cœur de Marie, Cœur si tendre et compatissant Cœur de Mère ! vous ne pouvez demeurer insensible à mes peines.
Abaissez donc un regard sur moi, étendez vers moi votre main secourable, faites-moi entendre une parole de consolation et d'espérance !
Cœur de Marie, trône de clémence, par vous nous avons accès auprès de votre divin Fils ! par vous nous pouvons obtenir toutes les grâces nécessaires à notre salut !
Aidez-nous dans nos angoisses, consolez-nous dans nos chagrins, fortifiez-nous dans nos tentations, faites-nous trouver dans la miséricorde divine un refuge assuré et éternel.
Quatrième jour - Jour de confiance
Je sais, ô Reine des Cieux, que vous êtes pleine de bonté et que vous aimez d'un amour que rien ne peut éteindre, ceux que votre divin Fils a aimés en vous et pour vous d'un amour extrême.
Je sais qu'en vos mains sont les trésors de la miséricorde divine et que seule, parmi les élus, vous pouvez en disposer !
Je sais que votre main ne se donne pas de repos et que vous cherchez partout l'occasion de sauver des malheureux, de répandre les dons de la miséricorde !
Votre gloire, loin de s'obscurcir, prend chaque jour un nouvel éclat. J'ai donc confiance que vous aurez pitié de moi, ô ma bonne Mère !
Cinquième jour - Jour d'offrande
O bienheureuse Vierge, en offrant vous-même mes vœux au Seigneur, rendez-les moins indignes de lui être présentés, afin que j'obtienne par votre intercession ce que je demande avec une grande confiance !
Daignez, ô tendre Mère, accompagner mes prières et larmes, et redire à Dieu mes promesses, mes supplications, mes besoins !
Daignez offrir à Dieu tout mon cœur et m'obtenir la grâce d'aimer, de bénir, d'accomplir toujours sa sainte volonté.
Sixième jour - Jour de supplication
Ô Marie, secours des chrétiens ! consolatrice des affligés ! votre âme a été grande en vertus comme en douleurs !
Prenez donc pitié de moi ! sans doute je n'ai pas assez aimé Dieu, je l'ai très souvent offensé et j'ai mérité toutes sortes de châtiments. Cependant vos grandes douleurs m'assurent le pardon et elles m'obtiendront miséricorde !
Ô Marie, qui consolez tous ceux qui souffrent, tous ceux qui pleurent, tous ceux qui ont recours à vous ! veuillez donc me consoler et me bénir !
Septième jour - Jour d'amour
Ô Marie ma tendre Mère, je vous aime et je soupire après le bonheur de vous voir !
Souvenez-vous que je suis votre enfant, ô ma très douce, très bonne et très puissante Mère !
Faites-moi dans votre amour, participer à vos biens et à vos vertus ; à votre sainte humilité, à votre fervente charité, et accordez-moi les grâces que j'implore…
Ne dites pas que vous ne pouvez pas, votre divin Fils vous a donné toute puissance ! ne dites pas que vous ne devez pas, puisque vous êtes ma Mère ! Exaucez mes prières, mes gémissements et soyez exaltée, louée, remerciée à jamais.
Huitième jour - Jour de consécration
Ô Marie, Reine des Anges et des hommes, que puis-je faire de mieux que de me consacrer entièrement à vous et de vous abandonner et confier le soin de tous mes intérêts spirituels et temporels. Peuvent-ils être plus en sûreté qu'entre vos mains, être mieux compris, mieux gardés, mieux servis que par vous !
Je vous consacre donc mon cœur, mes affections, mes pensées, mes désirs, mes forces et tout moi-même.
Ô ma Souveraine et ma Mère, souvenez-vous que je vous appartiens, conseillez-moi, consolez-moi, gardez-moi comme votre bien et votre propriété, et conduisez-moi à Jésus, votre divin Fils !
Neuvième jour - Jour d'action de grâces
Ma Mère, je ne veux pas vous quitter avant d'avoir reçu votre bénédiction. Je me jette encore une fois avec une toute filiale confiance dans vos bras maternels, qui ne s'ouvrent que pour me presser sur votre Cœur miséricordieux !
Que les grâces qui se sont échappées de vos mains bénies pendant cette neuvaine, me gardent le souvenir de ces si courts instants passés auprès de vous.
Merci, ô Mère bien-aimée, pour tous les bienfaits que j'ai reçus de vous, pour les grâces de paix et d'abandon que vous m'avez obtenues. Merci !