Le Saint-Père quitte Rome ce mercredi 4 septembre à 08h00 pour Maputo, où il arrivera vers 18h30 (il n’y a pas de décalage horaire). Il visitera trois pays lors de ce voyage apostolique : le Mozambique, où il passera une journée et demie, Madagascar, où il s’arrêtera deux jours complets, et enfin Maurice, où il restera une demi-journée avant de rentrer à Madagascar où l'attendra son avion de retour pour Rome. Les premières rencontres officielles ne débuteront que demain, jeudi 5 septembre. |
Programme de la journée : 08h00 : Départ de Rome/Fiumicino pour Maputo. 18h30 : Cérémonie de bienvenue à l’aéroport. Retransmission en direct sur KTO à 18h30. L’avion du Pape François a atterri à Maputo, la capitale du Mozambique. Il a été accueilli par le président Filipe Nyusi, avant de recevoir les honneurs militaires en tant que chef d’État, puis de saluer de nombreux groupes de danseurs qui l’ont immédiatement immergé dans une ambiance festive et chaleureuse. Il s’est ensuite rendu en papamobile à la nonciature apostolique. Compte rendu de Cyprien Viet à lire sur Vatican News. |
« Les distractions que vous aurez dans la prière ne doivent point vous étonner ; elles sont inévitables après tant d'agitations et dissipations volontaires ; mais elles ne vous nuiront point, si vous les supportez avec patience. L'unique danger que j'y crains est qu'elles ne vous rebutent. Qu'importe que l'imagination s'égare, et que l'esprit même s'échappe en mille folles pensées, pourvu que la volonté ne s'écarte point, et qu'on revienne doucement à Dieu sans s'inquiéter, toutes les fois qu'on s'aperçoit de sa distraction. Pourvu que vous demeuriez dans cette conduite douce et simple, vos distractions mêmes se tourneront à profit, et vous en éprouverez l'utilité dans la suite, quoique Dieu la cache d'abord. [...] L'inquiétude sur les distractions est la distraction la plus dangereuse. » Fénelon (1651-1715), extrait de la Lettre au Marquis de Seignelai, 1690, in "Œuvres spirituelles", Correspondance, Coll. Les maîtres de la spiritualité chrétienne, Aubier, Paris, 1954. |