« Vous qui souffrez, vous qui pleurez près de ce lit, où hier encore vous étaient adressés les derniers adieux ; vous dont la foi profonde vous permet d'entendre prononcer votre nom par le divin Consolateur : "Myriam !", oui, vous tous qui L'invoquez comme "la Résurrection et la Vie", levez-vous, et portez le message de la miséricorde à vos frères, à vos soeurs qui pleurent dans la nuit. Oubliez-vous pour leur parler de l'espoir qui ne déçoit pas : du Père qui nous aime et qui nous attend, et de ce Coeur blessé, éternelle source de Résurrection et de Vie, pour vous, pour tous ceux que vous aimez et qu'un jour, vous retrouverez près de Lui. Ainsi soit-il ! » R. de la Chevasnerie s.j., Le Coeur qui nous a tant aimés, Rennes, 1958. |
Versa est in luctum cithara mea, et organum meum in voce flentium. Parce mihi Domine, nihil enim sunt dies mei. Ma harpe est accordée aux chants de deuil, ma flûte à la voix des pleureuses. Epargne-moi, Seigneur, car mes jours ne sont rien. |