La lourde croix que Jésus portait sur ses épaules le terrassa sous son fardeau pesant. Ce fut une chute douloureuse. Ce sont nos péchés et nos crimes qui ont pesé sur lui et l'ont jeté à terre. La croix était pour lui un fardeau doux et léger, nos péchés un poids lourd et intolérable. O mon Jésus ! Vous avez pris sur vous mon fardeau, le lourd fardeau de mes fautes. Pourquoi ne prendrais-je pas sur moi votre joug, afin que, portant le fardeau l'un de l'autre, nous accomplissions la loi ? Votre joug est doux et votre fardeau léger ; je le porterai donc volontiers et j'accepte docilement ma croix pour la porter à votre suite. Ainsi soit-il. |