Lazerges (Jean-Raymond-Hippolyte)

Peintre français, né à Narbonne en 1817, mort à Mustapha d'Alger en 1887.
Il s'adonna à la peinture religieuse, où il montra une grande facilité. A partir de 1860 environ, Lazerges, à la suite de voyages, puis d'un séjour continu en Algérie, mêle les scènes de moeurs orientales aux sujets religieux. Il réussit par des qualités de grâce, de correction et de finesse : Biskri porteur d'eau (1872), Femme de Bou-Saada (1880), Arabes en marche (1882), Femmes kabyles (1884), etc.
Son fils, Paul-Jean-Baptiste, né à Paris en 1845, a étudié et peint, comme lui, la nature algérienne.

Source : © Grand dictionnaire Larousse du XX° siècle, 1908.

"Sur le Mont Tabor, nous comprenons mieux que le chemin de la croix et celui de la gloire sont inséparables. En accueillant jusqu'au bout le dessein du Père, dans lequel il était écrit qu'Il devait souffrir pour entrer dans sa gloire (cf. Lc 24, 26), le Christ anticipe l'expérience de la lumière de la résurrection.

Nous aussi, en portant chaque jour la croix avec une foi emplie d'amour, nous en ressentons, outre le poids et la difficulté, également la force de renouveau et de réconfort. Avec Jésus, nous recevons cette lumière intérieure spécialement dans la prière.

Lorsque le coeur a été "conquis" par le Christ, la vie change. Les choix les plus généreux et, surtout, les plus persévérants, sont le fruit d'une union profonde et prolongée avec Dieu dans le silence de la prière."

St Jean-Paul II, extrait de l'allocution de l'Angélus du dimanche 24 février 2002.
(traduction par L'Osservatore Romano, hebdomadaire en français du 26 février.)