Allelúia, allelúia. (Matth. 11, 29) V/. Tóllite iugum meum super vos, et díscite a me, quia mitis sum et húmilis Corde, et inveniétis réquiem animábus vestris. Allelúia. V/. Prenez sur vous mon joug et apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur et vous trouverez le repos de vos âmes. Alléluia. Ecouter (mp3) Commentaire spirituel et musical sur le Blog de L'Homme Nouveau. |
Ô mon Jésus, je te prie pour toute l’Église, accorde-lui l’amour et la lumière de ton Esprit, donne vigueur aux paroles des prêtres, de sorte que les cœurs endurcis s’attendrissent et reviennent à Toi, Seigneur. Ô Seigneur, donne-nous de saints prêtres ; conserve les Toi-même dans la sainteté. Ô Divin et Souverain Prêtre, que la puissance de ta miséricorde les accompagne partout et les défende des embûches et des lacets que le diable tend continuellement aux âmes des prêtres. Que la puissance de ta miséricorde, ô Seigneur, brise et anéantisse tout ce qui peut obscurcir la sainteté des prêtres, puisque Tu peux tout. Mon Jésus très aimé, je te prie pour le triomphe de l’Église, pour que Tu bénisses le Saint Père et tout le clergé ; pour obtenir la grâce de la conversion des pécheurs endurcis dans le péché ; pour une bénédiction et une lumière spéciales, je t’en prie, Jésus, pour les prêtres auprès de qui je me confesserai au cours de la vie Amen. Sainte Faustine |
« S'il est bon d'aimer les images du Sacré Coeur, ses statues, ses scapulaires, les différents emblèmes qui le représentent, il est meilleur encore d'aimer la réalité vivante, ce divin Coeur lui-même. Or le Coeur de Jésus ne se trouve ni dans les livres, ni sur le papier, ni sur la toile, il est dans sa poitrine, sous l'hostie qui le dérobe à vos yeux. C'est là qu'il faut le chercher avant tout, parce qu'en définitive c'est là seulement que vous pourrez le trouver. [...] « Mais voici cependant ce qui me cause une espèce de supplice qui me fut plus sensible que toutes les autres peines dont j'ai parlé : c'est lorsque cet aimable Coeur me fut présenté avec ces paroles : J'ai une soif ardente d'être honoré des hommes dans le Saint Sacrement et je ne trouve presque personne qui s'efforce selon mon désir de me désaltérer, usant avec moi de quelque retour. »Aussi la bienheureuse Marguerite-Marie nous a-t-elle laissé l'exemple de la plus constante, de la plus aimante dévotion à la sainte Eucharistie : « Son coeur était comme une lampe devant le Saint Sacrement. » [...] A l'exemple de la Bienheureuse, cherchez le Coeur de Jésus dans son Eucharistie, et votre amour ne restera plus longtemps une plaisanterie ni une affectation. Surnaturellement réconforté par Celui qui peut le rendre capable de tout, il essayera de rivaliser de générosité avec le Coeur même de son Dieu. Vous m'avez aimé, Jésus, je vous aimerai ; votre charité me presse : la mienne vous pressera bientôt ; vous m'avez aimé passionnément, je serai passionné d'amour pour vous ; vous m'avez aimé jusqu'à la folie de la Croix et du Tabernacle : je vous aimerai éperdument, d'une manière insensée aux regards du siècle. Vous m'avez aimé et vous vous êtes livré pour moi, je vous aimerai et je me livrerai pour vous. [...] Daigne le bon Maître, touché de vos protestations d'amour, vous répondre comme à la bienheureuse Marguerite-Marie : « J'ai choisi ton âme pour m'être un ciel de repos sur la terre et ton coeur sera un trône de délices à mon divin amour. » » La Bonté du Sacré Coeur de Jésus. Directoire dédié aux pèlerins de Paray-le-Monial et de Montmartre et à tous les amis du Sacré Coeur (Chap. VI, Article III, III), Approuvé par Monseigneur l'Evêque d'Autun, Lyon, Emmanuel Vitte - Paris, Jules Vic et Amat, 1892. |
« Sacré Cœur de Jésus, Apprenez-moi le parfait oubli de moi-même, puisque c’est la seule voie par où l’on peut entrer en Vous. Puisque tout ce que je ferai à l’avenir sera à Vous, faites en sorte que je ne fasse rien qui ne soit digne de Vous ; enseignez-moi ce que je dois faire pour parvenir à la pureté de votre amour, duquel Vous m’avez inspiré le désir. Je sens en moi une grande volonté de Vous plaire, et une plus grande impuissance d’en venir à bout sans une lumière et un secours très particuliers que je ne puis attendre que de Vous. Faites en moi votre volonté, Seigneur ; je m’y oppose, je le sens bien, mais je voudrais bien ne pas m’y opposer : c’est à Vous à tout faire, divin Cœur de Jésus-Christ, Vous seul aurez toute la gloire de ma sanctification, si je me fais saint ; cela me paraît plus clair que le jour ; mais ce sera pour Vous une grande gloire, et c’est pour cela seulement que je veux désirer la perfection. Ainsi soit-il. » St Claude La Colombière. |
« Je vous prie, charitable Mère de Dieu, de conduire chez moi votre Fils Jésus. Je vous supplie de visiter avec Lui ma mémoire et de m’en montrer tous les défauts : l’oubli de Dieu et de ses bienfaits, l’oubli des personnes que je dois aimer ; le souvenir des injures reçues, de mes fautes et des plaisirs du monde. Je vous prie de sanctifier ma mémoire... Je vous supplie de visiter avec Lui mon intelligence et de me montrer son ignorance, ses faux jugements, ses pensées de vanité, de sensualité... Je vous prie de faire disparaître tout ce mal. Je vous supplie de visiter avec Lui mon cœur et de m'en montrer tous ss désordres, sa froideur, son peu d’amour pour Dieu. Je vous prie de visiter tous mes sens pour les purifier. Je vous supplie de laisser partout les marques de votre passage et de faire pour moi tout ce que vous fîtes pour St Jean-Baptiste. » D’après un livre de piété, 1882. Source : Le Message d'Arras. |