Saint Georges, le beau chevalier à l’armure éclatante, monté sur son cheval de guerre et transperçant le dragon, est une figure populaire entourée de légendes. Ce qu’il y a d’historique dans la vie de ce saint est ce qui suit : Le Cappadocien Georges, officier de haut grade, subit le martyre avec d’autres chrétiens pendant la persécution de Dioclétien, vers 303. Il mourut en Palestine, probablement à Diospolis. L’Église d’Orient l’appelle le grand martyr. De très bonne heure, son culte fut transporté dans l’Église d’Occident. La chevalerie chrétienne l’a honoré comme un de ses plus grands patrons. L’Église romaine lui dédia, dès les premiers siècles, une station sous le titre "Saint Georges in Velabro" (jeudi après le mercredi des Cendres). Le bréviaire romain ne contient pas de biographie du saint car le pape saint Gélase défendit, en 496, de lire ses Actes apocryphes. Le martyrologe dit : « La naissance (céleste) de saint Georges, dont l’Église honore le triomphe particulièrement glorieux parmi ceux de tous les martyrs. » Dom Pius Parsch |
« Peut-être ne savons-nous pas ce que c'est qu'aimer, et je ne m'en étonnerais pas beaucoup. Celui qui aime le plus n'est pas celui qui a le plus de consolations, mais celui qui est le plus résolu à contenter Dieu en tout, à faire tout son possible pour ne le point offenser, à le prier toujours davantage pour l'honneur et la gloire de son Fils, ainsi que pour l'exaltation de l'Eglise catholique. Telles sont les marques de l'amour. N'allez pas vous imaginer cependant qu'il faille, pour aimer véritablement, ne jamais songer à autre chose, et que tout est perdu pour vous si vous venez à vous distraire tant soit peu... Il n'est pas bien de nous laisser troubler par les pensées importunes, ou d'en éprouver de la peine... Que cela nous apprenne à connaître notre misère, et à désirer parvenir "là où personne ne nous méprisera" (Cant. des Cant. VIII, I). » Sainte Thérèse de Jésus, Château de l'Âme, Quatrièmes Demeures, ch.I, in "Oeuvres complètes", Editions du Seuil, 1948. |
La première communion, « fête de la foi » Le Pape Benoît XVI s’est adressé aux accompagnateurs d’enfants à la première communion, avant le Regina coeli de ce dimanche 22 avril 2012, place Saint-Pierre à Rome : « Chers amis, durant le temps pascal, l’Eglise, habituellement, administre la Première Communion aux enfants. J’exhorte, par conséquent, les prêtres, les parents et les catéchistes à bien préparer cette fête de la foi, avec grande ferveur mais aussi avec sobriété. "Ce jour reste justement gravé dans la mémoire comme le premier moment où, même si c'est encore de manière élémentaire, l'importance de la rencontre personnelle avec Jésus a été perçue." (Exhortation post-synodale Sacramentum caritatis, 19). Que la Mère de Dieu nous aide à écouter avec attention la Parole du Seigneur et à participer dignement à la Table du sacrifice Eucharistique, pour devenir témoins de l’humanité nouvelle. » Sources : Zenit et Salon Beige Texte intégral italien sur le site internet du Vatican |
« Je désire souligner trois domaines sur lesquels la pastorale du tourisme doit focaliser son attention. En premier lieu, il s’agit d’éclairer ce phénomène par la doctrine sociale de l’Église, en promouvant une culture de tourisme éthique et responsable, de telle sorte qu’il parvienne à être respectueux de la dignité des personnes et des peuples, accessible à tous, juste, durable et écologique... En deuxième lieu, l’action pastorale ne doit jamais oublier la via pulchritudinis, la "voie de la beauté". Un grand nombre de manifestations du patrimoine historico-culturel religieux "sont de véritables chemins vers Dieu, la Beauté suprême, et qui aident même à croître dans notre relation avec Lui, dans la prière..." Et, en troisième lieu, la pastorale du tourisme doit accompagner les chrétiens dans la jouissance de leurs vacances et de leur temps libre, de telle sorte que ceux-ci soient au profit d’une croissance humaine et spirituelle. C’est certainement "un temps propice pour une détente physique et également pour nourrir l’esprit à travers des espaces plus amples de prière et de méditation, pour croître dans le rapport personnel avec le Christ et se conformer toujours plus à ses enseignements (Angélus, 15 juillet 2007)." . » Texte intégral sur le site internet du Vatican |