Au fil des jours ... en 2011





19 mai : Saint Pierre Célestin, Pape et Confesseur - Saint Yves, Confesseur
Sainte Pudentienne, Vierge - Saint Crispin de Viterbe (appelé "le Saint joyeux")...

Comme au calendrier traditionnel, Saint Pierre Célestin, ici

Vie de Saint Pierre-Célestin (1221-1296), par l'Abbé Jaud, ici

Vie de Saint Yves (1250-1303) (Saint patron des avocats, des avoués, des assureurs et des notaires, ainsi que de la Bretagne), ici

Mémoire de Sainte Pudentienne, Vierge, ici

Vie de Saint Crispin de Viterbe, Capucin (1668-1750), par l'Abbé Jaud, ici



« O Verbe de Dieu, splendeur du Père, hôte bien-aimé de notre âme, Jésus, sainte volupté des coeurs, délices des Anges, nous vous le demandons au nom de vos joies, - Agneau de Dieu qui effacez les péchés du monde, - et tous nos défauts, causes de nos tristesses, - avec la paix, donnez-nous la joie, la joie éternelle, une joie continuelle, votre joie, qu'elle emplisse nos coeurs et que rien ne nous l'enlève.
Par votre Esprit créateur et vivifiant, infusez-nous, créez en nous, répandez, faites dominer dans nos coeurs, - quoi qu'il en soit des impressions contraires, - un profond sentiment de bien-être moral, de large et de dilatation, de vacance et de liberté, d'indépendance universelle, et de sainte suffisance, d'assurance, de confiance, et d'entrain ; en un mot, le sens plénier de notre bonheur en Dieu.
Afin que, selon l'invitation des Psaumes, nous tressaillions toujours d'allégresse, comme qui cherche le Seigneur et que nous chantions toujours notre Magnificat, comme qui aime "le Sauveur".
Afin que, selon la prescription de Saint Paul, "nous restions toujours joyeux dans le Seigneur" (Phil IV,4), toujours dans la consolation, comme l'Eglise nous la fait demander : semper consolatione gaudere (Liturgie du S.-Esprit).
Et que, selon le conseil de Saint Ignace, nous sachions "toujours sourire à tout". »

P. Germain Foch s.j., La vie intérieure - Paix et Joie, Toulouse, Apostolat de la Prière, 1925.







Méditation du soir...

« Dieu, mes amis, ne demande ni ne désire que l'homme s'afflige à cause de la douleur de son coeur ; il préfère plutôt qu'il se réjouisse et rie en son âme, à cause de l'amour qu'il éprouve pour lui. »

Saint Jean Climaque, L'Echelle Sainte (7e degré, 49), Spiritualité orientale n°24, Abbaye de Bellefontaine, 1978.




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