UN MOIS AVEC MARIE TREIZIÈME JOUR Le sérieux de la vie Si tous comprenaient le sérieux de la vie ! Pour longue qu'elle puisse être, quatre-vingt, quatre-vingt-dix années s'écoulent et c'est la chute dans l'Au-Delà, sur le seuil duquel le temps s'arrête en fixant irrévocablement notre sort. Heureuse ou malheureuse, c'est l'Eternité qui commence. L'Eternité ! une minute qui dure toujours, toujours ; qui ne finit jamais, jamais... Vaut-il la peine de la préparer cette Eternité ?... La vie ne nous est donnée que pour cela. Ne l'oublions pas. « Que sert à l'homme de gagner tout l'univers s'il vient à perdre son âme ? » (1) La Vierge au Cœur maternel connaît la valeur de notre existence. Afin d'en pénétrer ses trois petits Confidents - pour mieux en convaincre aussi tous ses enfants sur la terre - Elle ne craint pas de les soumettre à une effroyable vision. Le 13 juillet 1917, Elle leur adresse les recommandations suivantes : « Sacrifiez-vous pour les pécheurs et dites souvent lorsque vous faites des sacrifices : « Oh ! Jésus ! c'est par amour pour Vous, pour la conversion des pécheurs et en réparation des offenses faites au Cœur Immaculé de Marie. » Notre-Dame ouvrant les mains comme aux deux apparitions précédentes, il s'en échappe encore une lumière intense. Ecoutons Lucie nous dépeindre le spectacle d'horreur qui s'offrit alors à ses regards et à ceux de ses deux compagnons : « Le faisceau de lumière alors projeté sembla pénétrer la terre et nous vîmes comme une grande mer de feu. En cette mer étaient plongés, tout noirs et brûlés, des démons et des âmes sous forme humaine, ressemblant à des braises transparentes. Soulevés en l'air par les flammes, ils retombaient de tous les côtés comme les étincelles dans les grands incendies, sans poids ni équilibre, au milieu de grands cris et de hurlements de douleur et de désespoir, qui faisaient trembler et frémir d'épouvante. « Ce fut probablement à cette vue que je poussai l'exclamation d'horreur que l'on dit avoir entendue. « Les démons se distinguaient des humains par leurs formes horribles et dégoûtantes d'animaux épouvantables et inconnus, mais transparents comme des charbons embrasés. « Cette vue dura un instant et nous devons remercier notre bonne Mère du Ciel qui, d'avance, nous avait prévenus par la promesse de nous prendre au Paradis ; autrement, je crois, nous serions morts de terreur et d'épouvante. « Alors, comme pour demander du secours, nous levâmes les yeux vers la Sainte Vierge, qui nous dit avec bonté et tristesse : « Vous avez vu l'enfer, où vont aboutir les âmes des pauvres pécheurs. Pour les sauver, le Seigneur veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé... » Avons-nous un peu saisi maintenant, ce qu'est la damnation ? « Je crois être en état de grâce, dites-vous ; que ne suis-je sûr d'y persévérer. » - « Fais donc ce que tu ferais alors, répond l'auteur de l'Imitation de Jésus-Christ, et tu seras dans une assurance parfaite. » Mais gardons-nous de nous enfermer dans un étroit égoïsme. Beaucoup sont engagés dans une voie de perdition et, peut-être, sur le point de paraître devant le Juge suprême... Ils sont nos frères !... Ne les prendrons-nous pas en pitié ?... Les laisserons-nous tomber dans l'abîme entrevu par les Voyants de Fatima ?... « Priez, priez beaucoup et faites des sacrifices pour les pécheurs, supplie notre « Maman du Ciel ». Rappelez-vous que beaucoup d'âmes vont en enfer parce qu'il n'y a personne qui prie et qui fasse des sacrifices pour elles. » A la vue de ses enfants en péril, le Cœur de Marie s'émeut. Que le nôtre vibre à l'unisson du sien. Aidons-lui à les sauver. Par la bonté qui donne et se donne sans rien réclamer en retour. Par la charité aux formes multiples : entraide, dévouement, bons exemples, prières, sacrifices. Gagnons à Notre-Dame une légion d'âmes qui lui devront leur salut éternel, à Elle et... un peu à nous ! PRIÈRE Ô Marie, Mère des Douleurs, c'est nous qui avons transpercé votre âme en attachant par nos péchés, Jésus-Christ, votre Fils, à la Croix. Ne permettez pas qu'un tel sacrifice soit vain pour un certain nombre. Obtenez-nous, obtenez à tous les pécheurs les grâces de la conversion et du salut éternel, afin que nous puissions un jour Vous entourer et Vous aimer dans le séjour de la gloire. Ainsi soit-il. Doux Cœur de Marie, soyez mon salut ! (300 j.) (1) Matth XVI, 26. Œuvre de Propagande du Sacré-Cœur, Lyon, 1945. Nihil obstat : Montepessulano, 12.03.1945 – A. Bonjean, c.d. Imprimatur : Montepessulano, 13.03.1945 – Jean Rouquette, v.g. |
« Ô mon Jésus, je m’unis spirituellement à toutes les Hosties de la terre, dans tous les lieux où vous habitez au Saint-Sacrement ; je veux y passer tous les moments de ma vie, constamment, de jour comme de nuit, joyeuse ou triste, seule ou accompagnée, à vous consoler toujours, à vous adorer, à vous aimer, à vous louer, à vous glorifier ! Ô mon Jésus, je voudrais que tant d’actes d’amour tombent sur vous, constamment, de jour comme de nuit, comme la pluie fine qui tombe du ciel pendant une journée d’hiver. Je ne voudrais pas ces actes d’amour uniquement de moi, mais de tous les cœurs, de toutes les créatures du monde entier. Oh ! Comme je voudrais aimer et vous voir aimé de tous ! Vous voyez, ô Jésus, mes désirs : acceptez-les comme si déjà je Vous aimais ! Ô Jésus, qu’il ne reste dans le monde un seul lieu où vous demeurez au Saint-Sacrement, sans qu’aujourd’hui et pour toujours, à chaque instant de ma vie, je n’y sois pour Vous dire : “Jésus, je vous aime ! Jésus, je n’appartiens qu’à vous ! Je suis votre victime, la victime de l’Eucharistie, la petite lampe de vos tabernacles !” Ô Jésus, je veux être victime pour les prêtres, les pécheurs, ma famille. victime par amour pour vous, pour votre très sainte Passion, pour les douleurs de la Maman chérie, pour votre Cœur, pour votre sainte Volonté. Victime pour le monde entier ! Victime pour la paix, victime pour la consécration du monde à la Maman du ciel ! » Bse Alexandrine-Marie (Alexandrina Maria) da Costa (1904-1955), fêtée ce jour. |
(Après Notre Dame à Fatima en 1917, Jésus Lui-même, à partir de 1935 à Balasar, dans le Nord du Portugal, demanda que le monde soit consacré au Cœur Immaculé de sa Sainte Mère. La confidente de cette demande s’appelait Alexandrina Maria da Costa. Elle en parla à son Directeur spirituel, le Père jésuite Mariano Pinho qui, sous les instances de sa dirigée finit par écrire au Pape Pie XI d’abord et ensuite à Pie XII. Voir l'histoire détaillée de cette Consécration ici.) |
Le monde entier a été consacré par un Souverain Pontife au Coeur Immaculé de Marie deux fois au siècle dernier : la première fois en pleine seconde guerre mondiale, le 31 octobre 1942, par Pie XII, et la seconde fois par Jean Paul II, le 25 mars 1984. |
« Dans le Psaume, nous avons récité : « Chantez au Seigneur un chant nouveau, car il a fait des merveilles » (Ps 97, 1). Aujourd’hui nous sommes devant une des merveilles du Seigneur : Marie ! Une créature humble et faible comme nous, choisie pour être Mère de Dieu, Mère de son Créateur. En regardant justement Marie, à la lumière des lectures que nous avons écoutées, je voudrais réfléchir avec vous sur trois réalités : La première, Dieu nous surprend ; la deuxième, Dieu nous demande la fidélité ; la troisième, Dieu est notre force. 1. La première : Dieu nous surprend. L’épisode de Naaman, chef de l’armée du roi d’Aram, est singulier : pour guérir de la lèpre, il s’adresse au prophète de Dieu, Élisée, qui n’accomplit pas de rites magiques, ni ne lui demande des choses extraordinaires, mais d’avoir seulement confiance en Dieu et de se plonger dans l’eau du fleuve ; non pas cependant dans l’eau des grands fleuves de Damas, mais du petit fleuve Jourdain. C’est une demande qui laisse Naaman perplexe, et même surpris : quel Dieu peut être celui qui demande quelque chose d’aussi simple ? Il veut faire marche arrière, mais ensuite il fait le pas, il se plonge dans le Jourdain et il guérit immédiatement (cf. 2 R 5, 1-14). Voici, Dieu nous surprend ; il est vraiment dans la pauvreté, dans la faiblesse, dans l’humilité qui se manifeste et nous donne son amour qui nous sauve, nous guérit et nous donne force. Il demande seulement que nous suivions sa parole et que nous ayons confiance en Lui. C’est l’expérience de la Vierge Marie : devant l’annonce de l’Ange, elle ne cache pas son étonnement. C’est la stupeur de voir que, pour se faire homme, Dieu l’a vraiment choisie, elle, une simple jeune fille de Nazareth, qui ne vit pas dans les palais du pouvoir et de la richesse, qui n’a pas accompli des exploits, mais qui est ouverte à Dieu, sait se fier à Lui, même si elle ne comprend pas tout : « Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole » (Lc 1, 38). C’est sa réponse. Dieu nous surprend toujours, il rompt nos schémas, bouleverse nos projets, et nous dit : fais-moi confiance, n’aie pas peur, laisse-toi surprendre, sors de toi-même et suis-moi ! Aujourd’hui demandons-nous tous si nous avons peur de ce que Dieu pourrait me demander ou de ce qu’il me demande. Est-ce que je me laisse surprendre par Dieu, comme a fait Marie, ou est-ce que je m’enferme dans mes sécurités, sécurités matérielles, sécurités intellectuelles, sécurités idéologiques, sécurités de mes projets ? Est-ce que je laisse vraiment Dieu entrer dans ma vie ? Comment est-ce que je lui réponds ? 2. Dans le passage de saint Paul que nous avons écouté, l’Apôtre s’adresse à son disciple Timothée en lui disant de se souvenir de Jésus Christ, si nous persévérons avec Lui, avec Lui aussi nous règnerons (cf. 2 Tm 2, 8-13). Voici le deuxième point : se souvenir toujours du Christ, la mémoire de Jésus Christ, et cela c’est persévérer dans la foi : Dieu nous surprend avec son amour, mais il demande la fidélité dans le fait de le suivre. Nous pouvons devenir « non-fidèles », mais lui ne le peut pas, il est « le fidèle » et il nous demande la même fidélité. Pensons à toutes ces fois où nous nous sommes enthousiasmés pour quelque chose, pour une initiative, pour un engagement, mais ensuite, face aux premiers problèmes, nous avons jeté l’éponge. Et malheureusement, cela arrive aussi dans les choix fondamentaux, comme celui du mariage. La difficulté d’être constants, d’être fidèles aux décisions prises, aux engagements pris. Il est souvent facile de dire « oui », mais ensuite, on n’arrive pas à répéter ce « oui » chaque jour. On ne réussit pas à être fidèles. Marie a dit son « oui » à Dieu, un « oui » qui a bouleversé son humble existence de Nazareth, mais ce « oui » n’a pas été l’unique, au contraire il a été seulement le premier de beaucoup de « oui » prononcés dans son cœur dans ses moments joyeux, comme aussi dans les moments de douleur, beaucoup de « oui » qui atteignent leur sommet dans celui dit au pied de la Croix. Aujourd’hui, il y a ici beaucoup de mamans ; pensez jusqu’où est arrivée la fidélité de Marie à Dieu : voir son Fils unique sur la Croix. La femme fidèle, debout, détruite à l’intérieur, mais fidèle et forte. Et je me demande : suis-je un chrétien “par à-coups”, ou suis-je un chrétien toujours ? La culture du provisoire, du relatif pénètre aussi dans la vie de la foi. Dieu nous demande de lui être fidèles, chaque jour, dans les actions quotidiennes et il ajoute que, même si parfois nous ne lui sommes pas fidèles, Lui est toujours fidèle et avec sa miséricorde il ne se lasse pas de nous tendre la main pour nous relever, de nous encourager à reprendre la marche, pour revenir à Lui et lui dire notre faiblesse pour qu’il nous donne sa force. Et cela c’est le chemin définitif : toujours avec le Seigneur, même dans nos faiblesses, même dans nos péchés. Ne jamais aller sur la route du provisoire. Cela nous tue. La foi est fidélité définitive, comme celle de Marie. 3. Le dernier point : Dieu est notre force. Je pense aux dix lépreux de l’Évangile guéris par Jésus : ils vont à sa rencontre, ils s’arrêtent à distance et ils crient : « Jésus, maître, prends pitié de nous ! » (Lc 17, 13). Ils sont malades, ils ont besoin d’être aimés, d’avoir de la force et ils cherchent quelqu’un qui les guérisse. Et Jésus répond en les libérant tous de leur maladie. C’est impressionnant, cependant, de voir qu’un seul revient sur ses pas pour louer Dieu, haut et fort, et le remercier. Jésus lui-même le remarque : dix ont crié pour obtenir la guérison et un seul est revenu pour crier à haute voix son merci à Dieu et reconnaître que c’est Lui notre force. Savoir remercier, savoir louer pour ce que le Seigneur fait pour nous. Regardons Marie : après l’Annonciation, le premier geste qu’elle accomplit est un geste de charité envers sa vieille parente Élisabeth ; et les premières paroles qu’elle prononce sont : « Mon âme exalte le Seigneur », c’est-à-dire un chant de louange et d’action de grâce à Dieu, non seulement pour ce qu’il a fait en elle, mais aussi pour son action dans toute l’histoire du salut. Tout est donné par lui. Si nous pouvons comprendre que tout est don de Dieu, quel bonheur dans notre cœur ! Tout est donné par lui. Il est notre force ! Dire merci est si facile, et pourtant si difficile ! Combien de fois nous disons-nous merci en famille ? C’est un des mots-clés de la vie en commun. « Vous permettez », « excusez-moi », « merci » : si dans une famille on se dit ces trois mots, la famille progresse. « Vous permettez », « excusez-moi », « merci ». Combien de fois disons-nous « merci » en famille ? Combien de fois disons-nous merci à celui qui nous aide, nous est proche, nous accompagne dans la vie ? Souvent nous tenons tout pour acquis ! Et cela arrive aussi avec Dieu. C’est facile d’aller chez le Seigneur demander quelque chose, mais aller le remercier : « Bah, je n’y pense pas ». En continuant la célébration eucharistique invoquons l’intercession de Marie, pour qu’elle nous aide à nous laisser surprendre par Dieu sans opposer de résistance, à lui être fidèles chaque jour, à le louer et à le remercier, car c’est lui notre force. Amen. » Source : Site internet du Vatican. |
Le site internet du Vatican parle clairement en sa version française d'Acte de confiance... alors que certaines traductions (comme Zenit.org) ont indiqué "Acte de consécration"... Que dit le texte original italien ? "atto di affidamento" = "acte de confiance" La traduction proposée par I.MEDIA semble donc la plus proche du texte italien. L'on pourra bien sûr regretter que l'Acte de consécration au Coeur Immaculé de Marie précédemment annoncé - qui aurait répondu à la demande de Notre-Dame à Fatima, comme y avaient déjà répondu deux de ses prédécesseurs - ait été transformé par le Saint-Père en "Acte de confiance" en la Bienheureuse Vierge de Fatima... mais cela ne retire rien à la beauté de cette prière d'abandon... Beata Maria Vergine di Fatima, con rinnovata gratitudine per la tua presenza materna uniamo la nostra voce a quella di tutte le generazioni che ti dicono beata. Celebriamo in te le grandi opere di Dio, che mai si stanca di chinarsi con misericordia sull’umanità, afflitta dal male e ferita dal peccato, per guarirla e per salvarla. Accogli con benevolenza di Madre l’atto di affidamento che oggi facciamo con fiducia, dinanzi a questa tua immagine a noi tanto cara. Siamo certi che ognuno di noi è prezioso ai tuoi occhi e che nulla ti è estraneo di tutto ciò che abita nei nostri cuori. Ci lasciamo raggiungere dal tuo dolcissimo sguardo e riceviamo la consolante carezza del tuo sorriso. Custodisci la nostra vita fra le tue braccia: benedici e rafforza ogni desiderio di bene; ravviva e alimenta la fede; sostieni e illumina la speranza; suscita e anima la carità; guida tutti noi nel cammino della santità. Insegnaci il tuo stesso amore di predilezione per i piccoli e i poveri, per gli esclusi e i sofferenti, per i peccatori e gli smarriti di cuore: raduna tutti sotto la tua protezione e tutti consegna al tuo diletto Figlio, il Signore nostro Gesù. Amen. Source : Site internet du Vatican. |
Ce dimanche, 522 martyrs de la guerre d’Espagne ont été béatifiés à Tarragone en Catalogne, lors d’une cérémonie présidée par le cardinal Angelo Amato, préfet de la congrégation pour les causes des Saints. Une cérémonie exceptionnelle à laquelle ont participé de très nombreux prêtres, religieux et religieuses et de familles des martyrs. Parmi les 522 nouveaux bienheureux figurent 3 évêques, 82 prêtres diocésains, 3 séminaristes, 412 consacrés et 7 laïcs provenant de différents diocèses espagnols. Ils ont été tués pour la plupart entre 1936 et 1939 par les forces républicaines. Sept d'entre eux étaient étrangers : trois Français, un Cubain, un Colombien, un Philippin et un Portugais. La Guerre civile espagnole est encore un sujet de division dans le pays. L’Eglise ayant souvent été accusée de soutenir le franquisme. La Conférence épiscopale espagnole a d'ailleurs présenté ces Bienheureux comme des "martyrs du XXème siècle". Le 28 octobre 2007, Benoît XVI avait béatifié 498 martyrs sur la place Saint-Pierre, trois jours avant l'examen au Parlement espagnol de la loi de réhabilitation des victimes du franquisme, voulue par le premier ministre de l’époque José Luis Zapatero. L’hommage du Pape à leur témoignage A l’issue de l’Angélus ce dimanche place Saint-Pierre, le Pape a salué l’exemple de ces nouveaux bienheureux : « Aujourd’hui à Tarragone en Espagne, ont été proclamés bienheureux près de cinq-cents martyrs, tués en raison de leur foi durant la guerre civile espagnole, pendant les années trente. Louons le Seigneur pour leurs courageux témoignages, et par leur intercession, supplions-le de libérer le monde de toute violence » a dit le Pape. François a également enregistré un message vidéo qui a été retransmis au cours de la cérémonie espagnole. Un message dans lequel il demande aux nouveaux martyrs d’intercéder pour que nous ne soyons pas des chrétiens « sans substance », eux qui étaient des chrétiens « jusqu’au bout ». Source : Radio Vatican. |