Ant. ad Introitum. Ps. 24, 6, 3 et 22. Reminíscere miseratiónum tuarum, Dómine, et misericórdiæ tuæ, quæ a s?culo sunt : ne umquam dominéntur nobis inimíci nostri : líbera nos, Deus Israël, ex ómnibus angústiis nostris. Souvenez-vous de vos bontés, Seigneur, et de votre miséricorde qui datent des siècles passés. Que nos ennemis ne triomphent jamais de nous. Dieu d’Israël, délivrez-nous de toutes nos tribulations. Ps. ibid., 1-2. Ad te, Dómine, levávi ánimam meam : Deus meus, in te confído, non erubéscam. Vers vous, Seigneur, j’ai élevé mon âme ; mon Dieu, je mets ma confiance en vous, que je n’aie pas à rougir. V/. Glória Patri. Ecouter (mp3). Commentaire spirituel et musical par un moine sur le Blog de L'Homme Nouveau. |
NB : le 19 mars tombant cette année un dimanche, la fête de Saint Joseph est reportée au lendemain, lundi 20 mars. |
« Il ne faut jamais rester au seuil de son âme : il faut entrer à l'intérieur, y descendre, y réfléchir, y méditer, y travailler, et s'y laisser travailler. » « Certaines gens qui prennent la vie spirituelle au sérieux gaspillent tous leurs efforts à élever l'échafaudage, à le rendre de plus en plus solide et durable sans s'occuper de l'édifice lui-même. Ils agissent ainsi par une sorte de crainte inconsciente des véritables responsabilités de la vie chrétienne qui sont solitaires et intérieures, difficiles à exprimer même indirectement, et presque impossibles à communiquer à qui que ce soit. [...] Le travail le plus important, le plus authentique et le plus durable du chrétien s'accomplit dans les profondeurs de son âme. Il est invisible à tous, même à celui en qui il s'opère. Dieu seul le voit. Ce travail est d'ailleurs moins une question de fidélité à des idéaux généraux connus qu'à la foi : c'est l'acte intérieur, angoissé, presque désespérément solitaire, par lequel nous affirmons notre soumission totale à Dieu en saisissant Sa parole et la révélation de Sa volonté dans les profondeurs de notre être, et en obéissant à l'autorité qui Le représente. [...] Notre foi est alors un don total au Christ en qui nous plaçons toute notre espérance et par lequel nous attendons toute force et toute sainteté de Son amour miséricordieux. » Thomas Merton (1915-1968), Vie et Sainteté (chap. III), Traduit par Marie Tadié, Aux Editions du Seuil, Paris, 1966. |
Comme chaque dimanche, et au terme d’une semaine marquée par sa retraite spirituelle à Ariccia avec les principaux responsables de la Curie romaine, le Pape François est apparu ce dimanche midi à la fenêtre des appartements du Palais apostolique pour délivrer sa traditionnelle méditation de l’Angélus. Devant 35 000 fidèles rassemblés Place Saint-Pierre, le Pape François est revenu sur l’Évangile de ce deuxième dimanche du Carême, qui reprend le récit de la Transfiguration, dans le texte de saint Matthieu. Le compte rendu de Cyprien Viet à lire / écouter sur Radio Vatican. Texte intégral des paroles du pape François traduites en français sur Zenit.org. |
Beati omnes qui timent dominum qui ambulant in viis eius labores manuum tuarum quia manducabis beatus es et bene tibi erit vxor tua sicut vitis abundans in lateribus domus tue fili tui sicut nouelle oliuarum in circuitu mense tue. Ecce sic benedicetur homo qui timet dominum benedicat tibi dominus ex syon et videas bona Jherusalem omnibus diebus vite tue et videas filios filiorum tuorum pacem super israhel. Heureux qui craint le Seigneur et marche selon ses voies ! Tu te nourriras du travail de tes mains : Heureux es-tu ! A toi, le bonheur ! Ta femme sera dans ta maison comme une vigne généreuse, et tes fils, autour de la table, comme des plants d'olivier. Voilà comment sera béni l'homme qui craint le Seigneur. De Sion, que le Seigneur te bénisse ! Tu verras le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie, et tu verras les fils de tes fils. Paix sur Israël ! (Psaume 127) |