« Ô Marie, ma Souveraine, très sainte et très bénie Mère de Dieu, pleine de grâce, vous toute pure, toute immaculée, porte céleste par laquelle nous courons de la terre au ciel ; souveraine de toutes choses après la Trinité, vêtement immaculé de celui qui a revêtu la lumière comme un manteau, arche sainte qui nous sauvez du déluge de l'iniquité, ah ! soyez mon salut, ma consolation, ma vie, ma lumière, mon espérance, mon refuge, ma protection, ma force, ma joie, mon rempart, mon armure, ma défense, ma gloire, ma patronne, ma médiatrice, ma maîtresse, mon bonheur, ma splendeur, ma garde constante auprès de Dieu ! Qui mieux que vous, ô Bienheureuse Vierge Marie, peut parler au Coeur de Notre-Seigneur Jésus-Christ ? Parlez, ô Souveraine, car votre Fils vous écoute, et tout ce que vous demanderez, vous l'obtiendrez : Mère d'un roi couronné que le Seigneur a établi sur toutes les oeuvres de ses mains, vous êtes vous-même constituée reine possédant en droit tout le royaume de votre Fils ! Notre-Dame du Sacré-Coeur, priez pour nous ! » Mgr Charles Amable de la Tour d'Auvergne (1826-1879), extrait d'une Instruction pastorale à l'occasion du couronnement de la statue de N.-D. du Sacré-Coeur à Issoudun, au nom du Souverain Pontife, le 8 sept. 1869. |
« Personne au monde n'a, comme Marie, connu Jésus : personne n'est meilleur maître et meilleur guide pour le faire connaître. » Daniel-Ange, Au coeur même de l'Eglise, DDB, 1966. |