« Le véritable amour est celui qui s'attache à qui ne mérite pas d'être aimé. La patience authentique est celle qui supporte les aberrations et les injustices et, lorsqu'elle demeure stable au milieu des tentations, mérite de recevoir la belle couronne de la chasteté. Reconnaissez donc la juste valeur de la foi véritable. c'est celle qui croit et maintient l'espérance en la vérité et en la bonté de Dieu, au-delà de toute espérance comme de tout le désespoir dont la raison humaine ou nos sens peuvent être la cause. Grâce à elle nous voyons l'invisible pour aussi caché qu'il soit. Nous traversons les javelots de la rudesse que nous pensions reconnaître en Dieu pour atteindre jusqu'au plus intime de son Coeur. Là, nous apprenons qu'Il nous aime, même s'Il nous donne extérieurement à entendre le contraire. Nous estimons alors toutes ces choses à leur juste valeur, comme des moyens d'éprouver notre foi, d'exercer notre amour, d'accroître notre récompense et de pratiquer l'obéissance. En effet, celui qui aime lorsqu'il ressent uniquement qu'il est aimé, celui-ci n'aime pas vraiment. Ce qu'en fait il regarde, c'est lui-même. » Jean d'Avila (1500-1569), Lettre 175, in Baldomero Jiménez Duqué, "Jean d'Avila - Le saint Curé d'Espagne", Coll. Carmel vivant, Editions du Carmel, Toulouse, 2005. |
Depuis 1947, la Confrérie Sainte Clotilde organise chaque année en juin un pèlerinage national à Vivières, près de Villers-Cotterêts, où se trouvent une partie des reliques de la Sainte. Il se déroulera cette année le dimanche 19 juin 2011. La France et la Chrétienté ont besoin de nos prières et de l’intercession de Sainte Clotilde ! Tract et renseignements historiques et pratiques sur le site de la Confrérie (format pdf). |
« Plus on me prie pour quelqu'un, plus il reçoit de grâces, car une prière fidèle ne restera point sans fruit, quoique ce fruit échappe aux yeux des humains. » Notre Seigneur à Sainte Gertrude, in P. A.-N.-J. Saudreau, "Le Livre des Divines Paroles ou ce que le Seigneur a dit à ses intimes dans le cours des siècles" (Tome II ch. XXIII), Carcassonne, Imprimerie Nouvelle J. Parer, 1888 (3ème édition). |
