« Je Te salue, très miséricordieux Coeur de Jésus, Source vivante de toutes les grâces, Unique abri et notre refuge, en Toi je trouve l'éclat de l'espérance. Je Te salue, très compatissant Coeur de mon Dieu, Insondable, vivante source d'amour, D'où jaillit la vie pour l'homme pécheur, Ainsi que la source de toute douceur. Je Te salue, plaie ouverte du Très Saint Coeur, D'où sont sortis les rayons de miséricorde, Et d'où il nous est donné de puiser la vie, Uniquement avec le vase de la confiance. Je Te salue, bonté de Dieu, inconcevable, Jamais mesurée, ni approfondie, Pleine d'amour et de miséricorde, mais toujours sainte, Et cependant Tu es comme une bonne mère qui se penche sur nous. Je Te salue, trône de la miséricorde, Agneau de Dieu, Toi qui offris Ta vie en sacrifice pour moi, Toi devant qui chaque jour mon âme s'abaisse, Vivant en une foi profonde. » Sainte Faustine, Petit Journal (fin du 4ème cahier, oct. 1937, 1321), Parole et Dialogue, Paris, 2002. |
Lauda mater ecclesia, lauda Christi clementiam quae septem purgat vitia per septiformem gratiam. Maria, soror Lazari, quae tot commisit crimina, ab ipsa fauce tartari redit ad vitae limina. Post fluxae carnis scandala, fit ex lebete phiala, in vas translata gloriae de vase contumeliae. Aegra currit ad medicum, vas ferens aromaticum, et a morbo multiplici verbo curatur medici. Surgentem cum victoria Iesum videt ad inferis, prima meretur gaudia quae plus ardebat ceteris. Uni Deo sit gloria pro multiformi grati qui culpas et supplicia, remittit et dat praemia. Amen. |